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Note moyenne
3,1
21 titres de presse
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Transfuge
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Bande à part
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Closer
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Elle
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Femme Actuelle
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Marie Claire
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Télé 7 Jours
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Cahiers du Cinéma
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L'Obs
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La Croix
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La Voix du Nord
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Le Monde
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Le Point
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Les Inrockuptibles
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Première
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aVoir-aLire.com
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Dernières Nouvelles d'Alsace
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Le Dauphiné Libéré
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Le Journal du Dimanche
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Le Parisien
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Les Fiches du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Transfuge
Un magnifique film carcéral.
Bande à part
Pour son troisième film, l’actrice et réalisatrice Brigitte Sy nous emporte dans un film où l’amour se déploie avec une rare douceur, mais aussi lucidité, entre tremblement du désir empêché, fulgurance de l’amour maternel et la mort qui rôde.
Closer
Des histoires d'amour et de prison qui délivrent un élan d'espoir. Béatrice Dalle est sublime.
Elle
Laetitia Casta et Damien Bonnard forment un beau couple de cinéma.
Femme Actuelle
Le spectacle de ces gens pataugeant dans des destins glauques éveille surtout de la compassion, grâce à un judicieux emploi des interprètes.
Marie Claire
Dans cette romance entre un braqueur en prison et une fille un peu paumée, grâce et fragilité se tiennent la main.
Télé 7 Jours
La cinéaste ne juge jamais ses personnages ni leurs actes. Elle les regarde vivre, aimer, espérer, avec tendresse, et une justesse étayée par sa propre expérience.
Cahiers du Cinéma
Malgré des dialogues parfois volontaristes et une progression scénarisée, qui laisse peu de place aux temps morts, le film gagne sa beauté dans son calme et son refus du spectaculaire.
L'Obs
Le film, très incarné par ses actrices, Casta et Dalle mais aussi Coralie Russier – autant de portraits féminins hors norme qui renversent la représentation habituelle du film de prison –, fait assez forte impression.
La Croix
À Ronit Elkabetz qui interprétait l’héroïne des Mains libres, succède Lætitia Casta, moins crédible que l’actrice israélienne décédée. Le bonheur est pour demain donne l’impression de répéter en partie ce film précédent avec son motif de femme à la vie volée, cadenassée à celle de son amoureux derrière les barreaux – motif terriblement romantique ou suranné, dépeint en tout cas avec une grande authenticité.
La Voix du Nord
Pas de voyeurisme malsain ou de récit codifié. Juste un parcours qui se dessine entre passion irraisonnée et naïveté confondante. Pas forcément le plus court chemin vers le bonheur.
Le Monde
Malgré un sujet difficile, on entre dans le film comme dans une maison conviviale où ça va et vient toute la journée… C’est sans doute le petit secret de la réalisatrice Brigitte Sy qui, pour avoir bien connu le milieu carcéral et ses implications, sait en révéler la part la plus touchante.
Le Point
Dans le rôle de la mère de Claude et confidente de Sophie, Béatrice Dalle apporte le poids de son vécu et une authenticité sans fard.
Les Inrockuptibles
C’est aussi ce qui fait la réussite de "Le bonheur est pour demain" : son intelligence et donc sa noirceur, car le monde est noir, même si le film se termine joliment sur une plage avec des enfants.
Première
Laetitia Casta, par sa crédibilité immédiate dans la peau de ce personnage, par sa capacité à jouer les femmes amoureuses à qui aucun obstacle ne fait peur sans que jamais on voit les coutures de son interprétation, emmène le film encore plus loin.
aVoir-aLire.com
Une œuvre dense et sensible, produite, réalisée et jouée par des femmes qui aiment l’amour et qui le crient haut et fort.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Malgré quelques paresses scénaristiques, l'œuvre résonne comme une exploration audacieuse des affres de l'amour fou et des choix qui redéfinissent nos vies.
Le Dauphiné Libéré
La mise en scène de Brigitte Sy, ancrée dans son vécu et ses interactions avec le monde carcéral, donne une touche d'authenticité et d'intensité aux différentes strates de l'histoire.
Le Journal du Dimanche
Laetitia Casta et Damien Bonnard déploient une belle énergie [...], mais cela ne suffit pas à donner du souffle à une intrigue désordonnée, qui manque de romanesque et d’enjeux.
Le Parisien
Pourtant, au milieu de ce récit pas vraiment passionnant, surgit la composition remarquable, éblouissante, très émouvante d’une Béatrice Dalle à son meilleur dans le rôle de Lucie : elle vaut à elle seule le détour.
Les Fiches du Cinéma
Brigitte Sy explore à nouveau, mais de façon plus romanesque et maladroite, son histoire personnelle.