Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire CIeutat
Marc Dugain adapte librement Eugénie Grandet et réalise un film dont l’épure fait résonner pleinement le caractère très actuel de son discours.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La sixième adaptation du célèbre roman trouve chez ses interprètes sa valeur cardinale.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Du roman de Balzac, féroce satire du patriarcat, Marc Dugain a tiré un film à la fois fidèle et contemporain. La lumière, signée Gilles Porte, est superbement crépusculaire, et la distribution, si claire et juste qu’on pourrait se croire au Français, dans une comédie de Molière.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Marc Dugain réussit, avec une économie de moyens, une admirable et crépusculaire adaptation du roman de Balzac.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Marc Dugain vient mettre son grain de sel dans le bouillon balzacien ! Mais il le fait avec finesse, précision, et avec un trio d’acteurs hors pair : Olivier Gourmet, Joséphine Japy et Valérie Bonneton.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Yves Jaeglé
L’écrivain et cinéaste Marc Dugain livre ce mercredi en salles une très belle vision d’"Eugénie Grandet".
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Dugain privilégie un tempo ralenti pour illustrer cette étude de mœurs soignée dans la direction des acteurs, les décors naturels, les costumes et la lumière, avec de superbes plans tournés à la bougie. Une réussite.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Si les choix de Marc Dugain irriteront peut-être quelques puristes, son Eugénie Grandet, mis en scène avec sobriété et remarquablement mis en lumière (...), rappelle, s'il en était besoin, combien l'oeuvre de Balzac, non contente de décrire son époque avec une implacable lucidité, entretient aussi de puissantes correspondances avec la nôtre.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une adaptation de Balzac sage mais éblouissante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Philippe Niel
Tout spectateur ayant lu Balzac connaît le devenir de riche héritière de l’héroïne, mais dans cette version elle va au-delà, car en quittant les intérieurs sombres de la maison de Saumur, elle part régler ses comptes d’amour trahi, avec panache, et se forger un destin de « femme libérée » prête à parcourir le monde.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Une très belle adaptation du roman de Balzac, habitée par un Olivier Gourmet fabuleux, qui pousse le curseur de l'abject à son paroxysme.
Télérama
par Mathilde Blottière
Splendide, la photographie nous donne l’impression d’être enfermés dans une toile flamande, entre couleurs mordorées et teintes mornes de pièces qu’on devine mal chauffées, entretenues au minimum.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un film sur l'émancipation d'une jeune femme pas si lisse, et plus ambiguë qu'il n'y parait.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Face à Olivier Gourmet, magistral de rugosité, Joséphine Japy donne toute sa délicatesse à cette version très féministe du roman de Balzac, portée par une mise en scène très picturale et d'une belle austérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
ugain réussit son Eugénie Grandet parce qu’il en respecte toute l’ambiguïté avec une maîtrise jamais prise en défaut.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Évidemment sociétal, le film révèle une fois encore le talent de cinéaste de Dugain, sa maîtrise de l’espace-temps dont il use à sa guise, des acteurs dont on sent qu’ils mesurent leur chance de servir un tel texte et un paysage qui, pour ne rien gâcher, est lui servi par une superbe photographie.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec cette adaptation du roman de Balzac, Marc Dugain réalise un beau film sur l’émancipation d’une jeune femme.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
L’écrivain et cinéaste Marc Dugain donne ainsi un ton moderne et féministe à son adaptation, à la fois émouvant récit d’émancipation et drame féroce sur la cupidité.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Cette honnête adaptation de Balzac vaut par son matériau littéraire original, la sobriété de son dispositif et le jeu de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Il faut reconnaître à Dugain que l'ennui qui distille son adaptation est le fruit de son cran à tenter de filmer l'ennui - tâche bien difficile pour qui semble si peu attendre de la forme cinématographique.
Le Monde
par Murielle Joudet
On peine à trouver ce qui, ici, fait cinéma tant tout y est purement illustratif.
Bande à part
Marc Dugain adapte librement Eugénie Grandet et réalise un film dont l’épure fait résonner pleinement le caractère très actuel de son discours.
Franceinfo Culture
La sixième adaptation du célèbre roman trouve chez ses interprètes sa valeur cardinale.
L'Obs
Du roman de Balzac, féroce satire du patriarcat, Marc Dugain a tiré un film à la fois fidèle et contemporain. La lumière, signée Gilles Porte, est superbement crépusculaire, et la distribution, si claire et juste qu’on pourrait se croire au Français, dans une comédie de Molière.
La Croix
Marc Dugain réussit, avec une économie de moyens, une admirable et crépusculaire adaptation du roman de Balzac.
Le Figaro
Marc Dugain vient mettre son grain de sel dans le bouillon balzacien ! Mais il le fait avec finesse, précision, et avec un trio d’acteurs hors pair : Olivier Gourmet, Joséphine Japy et Valérie Bonneton.
Le Parisien
L’écrivain et cinéaste Marc Dugain livre ce mercredi en salles une très belle vision d’"Eugénie Grandet".
Le Point
Dugain privilégie un tempo ralenti pour illustrer cette étude de mœurs soignée dans la direction des acteurs, les décors naturels, les costumes et la lumière, avec de superbes plans tournés à la bougie. Une réussite.
Les Echos
Si les choix de Marc Dugain irriteront peut-être quelques puristes, son Eugénie Grandet, mis en scène avec sobriété et remarquablement mis en lumière (...), rappelle, s'il en était besoin, combien l'oeuvre de Balzac, non contente de décrire son époque avec une implacable lucidité, entretient aussi de puissantes correspondances avec la nôtre.
Les Fiches du Cinéma
Une adaptation de Balzac sage mais éblouissante.
Positif
Tout spectateur ayant lu Balzac connaît le devenir de riche héritière de l’héroïne, mais dans cette version elle va au-delà, car en quittant les intérieurs sombres de la maison de Saumur, elle part régler ses comptes d’amour trahi, avec panache, et se forger un destin de « femme libérée » prête à parcourir le monde.
Télé Loisirs
Une très belle adaptation du roman de Balzac, habitée par un Olivier Gourmet fabuleux, qui pousse le curseur de l'abject à son paroxysme.
Télérama
Splendide, la photographie nous donne l’impression d’être enfermés dans une toile flamande, entre couleurs mordorées et teintes mornes de pièces qu’on devine mal chauffées, entretenues au minimum.
Voici
Un film sur l'émancipation d'une jeune femme pas si lisse, et plus ambiguë qu'il n'y parait.
Le Journal du Dimanche
Face à Olivier Gourmet, magistral de rugosité, Joséphine Japy donne toute sa délicatesse à cette version très féministe du roman de Balzac, portée par une mise en scène très picturale et d'une belle austérité.
Première
ugain réussit son Eugénie Grandet parce qu’il en respecte toute l’ambiguïté avec une maîtrise jamais prise en défaut.
Rolling Stone
Évidemment sociétal, le film révèle une fois encore le talent de cinéaste de Dugain, sa maîtrise de l’espace-temps dont il use à sa guise, des acteurs dont on sent qu’ils mesurent leur chance de servir un tel texte et un paysage qui, pour ne rien gâcher, est lui servi par une superbe photographie.
Sud Ouest
Avec cette adaptation du roman de Balzac, Marc Dugain réalise un beau film sur l’émancipation d’une jeune femme.
Télé 7 Jours
L’écrivain et cinéaste Marc Dugain donne ainsi un ton moderne et féministe à son adaptation, à la fois émouvant récit d’émancipation et drame féroce sur la cupidité.
aVoir-aLire.com
Cette honnête adaptation de Balzac vaut par son matériau littéraire original, la sobriété de son dispositif et le jeu de ses interprètes.
Cahiers du Cinéma
Il faut reconnaître à Dugain que l'ennui qui distille son adaptation est le fruit de son cran à tenter de filmer l'ennui - tâche bien difficile pour qui semble si peu attendre de la forme cinématographique.
Le Monde
On peine à trouver ce qui, ici, fait cinéma tant tout y est purement illustratif.