Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Lady Gaga et Joaquin Phoenix, deux archanges dans l’univers de DC et dans une subversion de la figure du vilain en amoureux rayonnant, dans la comédie musicale la plus dingue de l’année.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Joaquin Phoenix est sublime, presque irréel, corps décharné, squelettique, ne laissant que l’essence brute de lui-même.
Le Parisien
par Renaud Baronian
À l’arrivée, c’est beau, grand, musical, sombre, violent, émouvant et romantique à la fois : du grand art.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Le duo formé par Lady Gaga et Joaquin Phoenix fait des étincelles.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Le lecteur aura compris que ce très étrange film a les défauts de ses qualités : déstructuré et sans ancrage, ne trouvant jamais tout à fait son souffle ni son élan, tantôt horripilant tantôt fascinant, ce collage surchargé parvient à être aussi aberrant et dément que son personnage.
Elle
par Françoise Delbecq
Si les premières critiques sont partagées, nous, en tout cas, nous sommes conquises.
La critique complète est disponible sur le site Elle
GQ
par Adam Sanchez
Film de procès sans suspense sur son issue, comédie musicale qui ne pointe le bout de son nez que dans un acte de détournement (du réel et de ses monstres en uniforme), Joker : Folie à deux parvient avec élégance et malice à échapper à ce qu’il aurait pu être — c’est-à-dire une catastrophe, un gros machin clinquant.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Pablo Patarin
La force du film, comme sa faiblesse, réside finalement dans sa richesse, et dans la capacité du spectateur à y piocher ce qu’il souhaite, eu égard à sa propre moralité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Delphine De Freitas
Une suite onirique où la frontière entre réalité et fantasme s’efface peu à peu en chansons, qu’interprètent en live un éblouissant duo d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Les idées de mise en scène fusent. Joaquin Phoenix éclipse Lady Gaga par sa prestation habitée. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Dans ce deuxième volet bien barré des aventures du sociopathe écorché vif, le réalisateur Todd Phillips orchestre la rencontre explosive et musicale entre deux suppôts de l’enfer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Todd Phillips déconstruit son personnage - tout autant que son Joker - avec cette suite musicale et radicale, tout sauf superflue.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
La prestation de Lady Gaga et la qualité des effets visuels suffisent à s'offrir une virée dans les salles obscures.
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Joker : Folie à deux a trois fois plus de moyens pour ne rien raconter de plus, mais avec un emballage chic et toc de comédie musicale. Résultat : un film qui semble constamment courir après son sujet, sans jamais le trouver.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Et le charme opère, même si la chanteuse s'est efforcée de ne pas être toujours très juste, pour être raccord avec son comparse. Mais les scènes de procès prennent beaucoup de place, trop sans doute, et elles s'enchaînent après une mise en place de l'intrigue déjà un peu longue.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Belle idée que de prendre le contre-pied du premier, hommage aux thrillers urbains des 1970’s et parabole post-Trump, à travers un huis clos carcéral et judiciaire, quasi introspectif, dont on ne s’échappe que par le biais de séquences chantées, reprises de standards jazz-pop des 1960’s, fantasmées par les deux tourtereaux. Hélas, la romance pénitentiaire redonde (2h19 !) et les apartés musicaux, qui circonscrivent l’aliénation de Fleck, manquent de folie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Du premier film, Todd Phillips semble prendre le contre-pied en dézinguant à tout va l’icône politique créée, malgré lui, par ceux qui voulaient lui donner du sens. Que les fans se consolent : il leur reste Joaquin Phoenix, qui à lui seul vaut le déplacement.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Après le hit de 2019, Todd Phillips se détourne avec audace et intelligence des attentes pour livrer un film musical incandescent, mû par une volonté profonde de résister aux injonctions hollywoodiennes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Une suite rythmée, qui mêle mélo, récit de procès et comédie musicale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Geek
par Amandine Jonniaux
Joker : Folie à deux est une curiosité. Une curiosité parce qu'il réussit parfois là où on ne l'attendait pas comme un aspect musical pas si déroutant dans son contexte et des numéros réussis, mais il montre un tel dédain pour sa propre histoire ou ses personnages qu'on finit par se demander qui est le plus fou des deux entre le Joker et Todd Phillips. Et pas dans le sens le plus amusant du terme.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Film de procès, comédie musicale, critique de la société du spectacle… Le film finit par s'enliser dans ses ambitions louables.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Mad Movies
par A.P.
C'est d'ailleurs là la plus grande tare du long métrage : son incapacité à créer un rapport de cause et de conséquence entre ses différents chapitres.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Cette suite se révèle laborieuse, tant elle rumine la question de la double personnalité et celle d'un pays violent (...). Restent une mise en scène virtuose et les interprétations de Joaquin Phoenix et Lady Gaga, deux performances hors pair.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si premier opus offrait un personnage haut en couleur et en complexité, ce Joker sanglotant et vieillissant ne convainc pas vraiment. Une suite peut-être de trop dans la saga.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Saboter Joker : Folie à Deux comme s’il convoquait l’esprit de G.G. Allin (punk rocker extrême à qui il avait consacré un documentaire, son premier film, HATED, en 1993) pourquoi pas. Mais même les gestes punk méritent d’être soignés.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Josué Morel
Folie à deux est à peine un film, mais plutôt un métatexte rébarbatif qui, comme son personnage, masque sa vacuité sous un maquillage bariolé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmsactu
par Veronica Sawyer
L'énorme déception de cette année. On peut saluer l'audace de Todd Philipps d'avoir voulu surprendre. Dommage que le résultat soit des plus ratés... et ennuyeux. Rien ne fonctionne dans ce film.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Joker : folie à deux ne raconte pas grand-chose et son épilogue nous fait regretter que l’épisode 1, drame nihiliste qui captait quelque chose de l’air du temps, ne soit pas resté un one-shot, comme une claque cinglante nous laissant dans un état de sidération.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
On dirait la version carcérale et cafardeuse de La La land, les compositions de Justin Hurwitz et l'allant de Damien Chazelle en moins. Au passage, la vision de la maladie mentale est au-delà de la caricature.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Philippe Guedj
Malgré la présence de Lady Gaga, cette pénible suite musicale du nihiliste « Joker » nous fait davantage broyer du noir que voir la vie en rose.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Olivier Lamm
A deux doigts du saccage, Joker : Folie à deux est un petit film malade qui en dit long sur le trouble qui ronge Hollywood et qui pousse à tirer sur la corde, encore et encore, même quand elle est attachée à une potence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Un cas d'école de ratage à quasiment tous les étages.
Première
par Frédéric Foubert
Cette suite de Joker, sous forme de musical dépressif, est tellement morne et inefficace qu’elle ressemble presque à un sabordage en règle de la part de Todd Phillips et Joaquin Phoenix.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Lady Gaga et Joaquin Phoenix, deux archanges dans l’univers de DC et dans une subversion de la figure du vilain en amoureux rayonnant, dans la comédie musicale la plus dingue de l’année.
Le Dauphiné Libéré
Joaquin Phoenix est sublime, presque irréel, corps décharné, squelettique, ne laissant que l’essence brute de lui-même.
Le Parisien
À l’arrivée, c’est beau, grand, musical, sombre, violent, émouvant et romantique à la fois : du grand art.
20 Minutes
Le duo formé par Lady Gaga et Joaquin Phoenix fait des étincelles.
Cahiers du Cinéma
Le lecteur aura compris que ce très étrange film a les défauts de ses qualités : déstructuré et sans ancrage, ne trouvant jamais tout à fait son souffle ni son élan, tantôt horripilant tantôt fascinant, ce collage surchargé parvient à être aussi aberrant et dément que son personnage.
Elle
Si les premières critiques sont partagées, nous, en tout cas, nous sommes conquises.
GQ
Film de procès sans suspense sur son issue, comédie musicale qui ne pointe le bout de son nez que dans un acte de détournement (du réel et de ses monstres en uniforme), Joker : Folie à deux parvient avec élégance et malice à échapper à ce qu’il aurait pu être — c’est-à-dire une catastrophe, un gros machin clinquant.
L'Humanité
La force du film, comme sa faiblesse, réside finalement dans sa richesse, et dans la capacité du spectateur à y piocher ce qu’il souhaite, eu égard à sa propre moralité.
LCI
Une suite onirique où la frontière entre réalité et fantasme s’efface peu à peu en chansons, qu’interprètent en live un éblouissant duo d’acteurs.
Le Journal du Dimanche
Les idées de mise en scène fusent. Joaquin Phoenix éclipse Lady Gaga par sa prestation habitée. Bouleversant.
Le Monde
Dans ce deuxième volet bien barré des aventures du sociopathe écorché vif, le réalisateur Todd Phillips orchestre la rencontre explosive et musicale entre deux suppôts de l’enfer.
Les Fiches du Cinéma
Todd Phillips déconstruit son personnage - tout autant que son Joker - avec cette suite musicale et radicale, tout sauf superflue.
Public
La prestation de Lady Gaga et la qualité des effets visuels suffisent à s'offrir une virée dans les salles obscures.
Ecran Large
Joker : Folie à deux a trois fois plus de moyens pour ne rien raconter de plus, mais avec un emballage chic et toc de comédie musicale. Résultat : un film qui semble constamment courir après son sujet, sans jamais le trouver.
Franceinfo Culture
Et le charme opère, même si la chanteuse s'est efforcée de ne pas être toujours très juste, pour être raccord avec son comparse. Mais les scènes de procès prennent beaucoup de place, trop sans doute, et elles s'enchaînent après une mise en place de l'intrigue déjà un peu longue.
L'Obs
Belle idée que de prendre le contre-pied du premier, hommage aux thrillers urbains des 1970’s et parabole post-Trump, à travers un huis clos carcéral et judiciaire, quasi introspectif, dont on ne s’échappe que par le biais de séquences chantées, reprises de standards jazz-pop des 1960’s, fantasmées par les deux tourtereaux. Hélas, la romance pénitentiaire redonde (2h19 !) et les apartés musicaux, qui circonscrivent l’aliénation de Fleck, manquent de folie.
La Croix
Du premier film, Todd Phillips semble prendre le contre-pied en dézinguant à tout va l’icône politique créée, malgré lui, par ceux qui voulaient lui donner du sens. Que les fans se consolent : il leur reste Joaquin Phoenix, qui à lui seul vaut le déplacement.
Les Inrockuptibles
Après le hit de 2019, Todd Phillips se détourne avec audace et intelligence des attentes pour livrer un film musical incandescent, mû par une volonté profonde de résister aux injonctions hollywoodiennes.
Télérama
Une suite rythmée, qui mêle mélo, récit de procès et comédie musicale.
Le Journal du Geek
Joker : Folie à deux est une curiosité. Une curiosité parce qu'il réussit parfois là où on ne l'attendait pas comme un aspect musical pas si déroutant dans son contexte et des numéros réussis, mais il montre un tel dédain pour sa propre histoire ou ses personnages qu'on finit par se demander qui est le plus fou des deux entre le Joker et Todd Phillips. Et pas dans le sens le plus amusant du terme.
Les Echos
Film de procès, comédie musicale, critique de la société du spectacle… Le film finit par s'enliser dans ses ambitions louables.
Mad Movies
C'est d'ailleurs là la plus grande tare du long métrage : son incapacité à créer un rapport de cause et de conséquence entre ses différents chapitres.
Télé 7 Jours
Cette suite se révèle laborieuse, tant elle rumine la question de la double personnalité et celle d'un pays violent (...). Restent une mise en scène virtuose et les interprétations de Joaquin Phoenix et Lady Gaga, deux performances hors pair.
aVoir-aLire.com
Si premier opus offrait un personnage haut en couleur et en complexité, ce Joker sanglotant et vieillissant ne convainc pas vraiment. Une suite peut-être de trop dans la saga.
CinemaTeaser
Saboter Joker : Folie à Deux comme s’il convoquait l’esprit de G.G. Allin (punk rocker extrême à qui il avait consacré un documentaire, son premier film, HATED, en 1993) pourquoi pas. Mais même les gestes punk méritent d’être soignés.
Critikat.com
Folie à deux est à peine un film, mais plutôt un métatexte rébarbatif qui, comme son personnage, masque sa vacuité sous un maquillage bariolé.
Filmsactu
L'énorme déception de cette année. On peut saluer l'audace de Todd Philipps d'avoir voulu surprendre. Dommage que le résultat soit des plus ratés... et ennuyeux. Rien ne fonctionne dans ce film.
La Voix du Nord
Joker : folie à deux ne raconte pas grand-chose et son épilogue nous fait regretter que l’épisode 1, drame nihiliste qui captait quelque chose de l’air du temps, ne soit pas resté un one-shot, comme une claque cinglante nous laissant dans un état de sidération.
Le Figaro
On dirait la version carcérale et cafardeuse de La La land, les compositions de Justin Hurwitz et l'allant de Damien Chazelle en moins. Au passage, la vision de la maladie mentale est au-delà de la caricature.
Le Point
Malgré la présence de Lady Gaga, cette pénible suite musicale du nihiliste « Joker » nous fait davantage broyer du noir que voir la vie en rose.
Libération
A deux doigts du saccage, Joker : Folie à deux est un petit film malade qui en dit long sur le trouble qui ronge Hollywood et qui pousse à tirer sur la corde, encore et encore, même quand elle est attachée à une potence.
Ouest France
Un cas d'école de ratage à quasiment tous les étages.
Première
Cette suite de Joker, sous forme de musical dépressif, est tellement morne et inefficace qu’elle ressemble presque à un sabordage en règle de la part de Todd Phillips et Joaquin Phoenix.