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25 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Le dernier film d’Andreï Konchalovsky, "Michel-Ange" (Il peccato) tient du miracle : suivant le peintre en proie à ses démons, le spectateur assiste à la résurrection d’un monde. Une véritable splendeur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Michèle Levieux
Andreï Konchalovsky, le grand cinéaste russe, réalise, à plus de 80 ans, un chef-d’œuvre de vitalité et de véracité, portant le cinéma au rang d’art sacré.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Jean-Loup Bourget
On peut sans danger avancer l’hypothèse que ce portrait magistral de Michel-Ange est aussi, à la manière du Balzac de Rodin, un magistral autoportrait.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Andrei Konchalovsky signe avec "Michel-Ange" un audacieux biopic du génial artiste de la Renaissance.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans une langue tout aussi complexe que dépouillée, Andrey Konchalovsky décrit les tourments d’un immense artiste partagé entre sa passion pour Dante, la création, le besoin d’argent et les contingents politiques. Proprement envoutant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Bastien Gens
De cette reconstitution émane une odeur putride qui rend les visions de Michel-Ange aussi splendides que sidérantes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Anna Fournier
A la fois charnelle et dépouillée, la mise en scène de Konchalovsky transporte, exaltant à chaque plan une folle envie de cinéma. "Michel-Ange", le grand film d'un cinéaste de 83 ans, d'une énergie surprenante, une toile de maître.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un portrait qui impose le respect.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Konchalovsky montre un artiste en avance sur son temps, freiné par ses contemporains dans une vision bressonnienne, traversée de fulgurances.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
La passion, au sens christique, est-elle la condition de l’art ? Le film, austère et puissant, est porté par une ardente vision.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Derrière les apparences du classique film biographique se dévoile ici, une réflexion sur l’artiste pris au piège des trivialités de son métier et de l’emprise d’une grâce que d’aucuns nommeraient divine, mais que l’on appellerait plutôt du génie.
Le Figaro
par Eric Biétry-Rivierre
Ultime prouesse : la reconstitution de la chapelle Sixtine en chantier. Elle est à l’image de cette restitution au plus près d’un contexte pour le moins instable mais d’où -paradoxalement - sont sorties quelques-unes des plus belles expressions du génie humain.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Le grand cinéaste russe Andreï Konchalovsky nous fait partager les doutes d’un artiste de la Renaissance en nous immergeant dans la société de cette époque. Sa mise en scène, à la fois narrative et contemplative, est d’une grande beauté.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
C'est l'autoportrait de Kontchalovski qui affleure au travers de cette reconstitution, superbe, de la vie du peintre florentin. [...] Surplombé par cinquante ans d’histoire, Michel-Ange aurait pu céder à la tentation de s’inscrire dans la tradition du grand film de maître. Derrière la splendeur des images, c’est au contraire par son économie narrative que le film surprend.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Une plongée renversante de beauté.
Première
par Thomas Baurez
Konchalovsky parvient avec une simplicité apparente à nous faire ressentir les affres de la création.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par La Rédaction
Ces “débordements” pourraient finir par lasser s’ils n’étaient pas aussi magnifiquement vécus – incarnés est en dessous de la vérité en l’occurrence – par un Alberto Testone impressionnant tout du long, et sans que ses faux airs de Hugh Jackman y soient pour quoi que ce soit.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Dans ce XVI e siècle naissant qui conjugue la beauté et la barbarie, Michel-Ange est lui-même crasseux comme un peigne et touché par la grâce. Alberto Testone lui donne ses beaux traits burinés, visage torturé, à la fois semblable à l’idée qu’on s’en fait et si profondément vivant qu’il déborde le cliché.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
Le film a le mérite de décrire le rôle violent exercé par des mécènes puissants, les deux grandes familles rivales de l’époque (les Médicis et les Della Rovere).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Sabine Gignoux
Au final, sa peinture d’une Renaissance où la violence et la crasse côtoient le sublime recèle peu de surprises. À l’exception d’une scène centrale autour d’un énorme bloc de marbre, extrait dans la montagne de Carrare, que Michel-Ange convoite à tout prix. Ce « monstre » (...) finit par sauver le film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Konchalovsky livre une immersion sensorielle dans les coulisses de la création, à une époque où les papes-mécènes font et défont les artistes.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Andreï Kontchalovski filme les contradictions et la quête éperdue de son héros avec un étrange mélange de ferveur et de distanciation. Une évocation surprenante, à la fois artistique et politique, qui mérite le détour.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Philippe Lançon
Dans un biopic léché, Andreï Konchalovsky dépeint les états d’âme de l’artiste de génie, sur fond de rivalités papales entre les familles Della Rovere et Médicis.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
par Clarisse Fabre
Andreï Kontchalovski compose de très beaux tableaux, mais son film sur la vie du peintre souffre d’un certain académisme.
Cahiers du Cinéma
par Philippe Fauvel
Konchalovsky voulait que l’odeur de la sueur, du vomi ou de la salive traversent l’écran, mais en jouant sur les oppositions (par exemple le précieux Raphaël face au crasseux Michel-Ange) il réduit le dégoût, la maladie ou la folie à ce qu’en expriment les acteurs, parfois de manière grotesque.
Bande à part
Le dernier film d’Andreï Konchalovsky, "Michel-Ange" (Il peccato) tient du miracle : suivant le peintre en proie à ses démons, le spectateur assiste à la résurrection d’un monde. Une véritable splendeur.
L'Humanité
Andreï Konchalovsky, le grand cinéaste russe, réalise, à plus de 80 ans, un chef-d’œuvre de vitalité et de véracité, portant le cinéma au rang d’art sacré.
Positif
On peut sans danger avancer l’hypothèse que ce portrait magistral de Michel-Ange est aussi, à la manière du Balzac de Rodin, un magistral autoportrait.
Transfuge
Andrei Konchalovsky signe avec "Michel-Ange" un audacieux biopic du génial artiste de la Renaissance.
aVoir-aLire.com
Dans une langue tout aussi complexe que dépouillée, Andrey Konchalovsky décrit les tourments d’un immense artiste partagé entre sa passion pour Dante, la création, le besoin d’argent et les contingents politiques. Proprement envoutant.
Critikat.com
De cette reconstitution émane une odeur putride qui rend les visions de Michel-Ange aussi splendides que sidérantes.
Culturopoing.com
A la fois charnelle et dépouillée, la mise en scène de Konchalovsky transporte, exaltant à chaque plan une folle envie de cinéma. "Michel-Ange", le grand film d'un cinéaste de 83 ans, d'une énergie surprenante, une toile de maître.
Femme Actuelle
Un portrait qui impose le respect.
Franceinfo Culture
Konchalovsky montre un artiste en avance sur son temps, freiné par ses contemporains dans une vision bressonnienne, traversée de fulgurances.
L'Obs
La passion, au sens christique, est-elle la condition de l’art ? Le film, austère et puissant, est porté par une ardente vision.
La Septième Obsession
Derrière les apparences du classique film biographique se dévoile ici, une réflexion sur l’artiste pris au piège des trivialités de son métier et de l’emprise d’une grâce que d’aucuns nommeraient divine, mais que l’on appellerait plutôt du génie.
Le Figaro
Ultime prouesse : la reconstitution de la chapelle Sixtine en chantier. Elle est à l’image de cette restitution au plus près d’un contexte pour le moins instable mais d’où -paradoxalement - sont sorties quelques-unes des plus belles expressions du génie humain.
Les Fiches du Cinéma
Le grand cinéaste russe Andreï Konchalovsky nous fait partager les doutes d’un artiste de la Renaissance en nous immergeant dans la société de cette époque. Sa mise en scène, à la fois narrative et contemplative, est d’une grande beauté.
Les Inrockuptibles
C'est l'autoportrait de Kontchalovski qui affleure au travers de cette reconstitution, superbe, de la vie du peintre florentin. [...] Surplombé par cinquante ans d’histoire, Michel-Ange aurait pu céder à la tentation de s’inscrire dans la tradition du grand film de maître. Derrière la splendeur des images, c’est au contraire par son économie narrative que le film surprend.
Ouest France
Une plongée renversante de beauté.
Première
Konchalovsky parvient avec une simplicité apparente à nous faire ressentir les affres de la création.
Rolling Stone
Ces “débordements” pourraient finir par lasser s’ils n’étaient pas aussi magnifiquement vécus – incarnés est en dessous de la vérité en l’occurrence – par un Alberto Testone impressionnant tout du long, et sans que ses faux airs de Hugh Jackman y soient pour quoi que ce soit.
Sud Ouest
Dans ce XVI e siècle naissant qui conjugue la beauté et la barbarie, Michel-Ange est lui-même crasseux comme un peigne et touché par la grâce. Alberto Testone lui donne ses beaux traits burinés, visage torturé, à la fois semblable à l’idée qu’on s’en fait et si profondément vivant qu’il déborde le cliché.
Télérama
Le film a le mérite de décrire le rôle violent exercé par des mécènes puissants, les deux grandes familles rivales de l’époque (les Médicis et les Della Rovere).
La Croix
Au final, sa peinture d’une Renaissance où la violence et la crasse côtoient le sublime recèle peu de surprises. À l’exception d’une scène centrale autour d’un énorme bloc de marbre, extrait dans la montagne de Carrare, que Michel-Ange convoite à tout prix. Ce « monstre » (...) finit par sauver le film.
Le Journal du Dimanche
Konchalovsky livre une immersion sensorielle dans les coulisses de la création, à une époque où les papes-mécènes font et défont les artistes.
Les Echos
Andreï Kontchalovski filme les contradictions et la quête éperdue de son héros avec un étrange mélange de ferveur et de distanciation. Une évocation surprenante, à la fois artistique et politique, qui mérite le détour.
Libération
Dans un biopic léché, Andreï Konchalovsky dépeint les états d’âme de l’artiste de génie, sur fond de rivalités papales entre les familles Della Rovere et Médicis.
Le Monde
Andreï Kontchalovski compose de très beaux tableaux, mais son film sur la vie du peintre souffre d’un certain académisme.
Cahiers du Cinéma
Konchalovsky voulait que l’odeur de la sueur, du vomi ou de la salive traversent l’écran, mais en jouant sur les oppositions (par exemple le précieux Raphaël face au crasseux Michel-Ange) il réduit le dégoût, la maladie ou la folie à ce qu’en expriment les acteurs, parfois de manière grotesque.