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    Albatros
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    monique h.
    monique h.

    49 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 novembre 2021
    un super grand film de xavier beauvois , pas de pathos , la vraie vie de gendarme et le role social de ceux ci
    jeremie renier superbe dans ce role de commandant de gendarmerie et papa des beaux paysages d' etretat et de la mer
    vraiment du grand cinéma
    Lilicot
    Lilicot

    4 abonnés 187 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2021
    Le combat intérieur d'un homme confronté à un dilemme qui l'amène à tuer une personne pour la protéger. Un film sobre qui laisse la place aux acteurs pour exprimer les sentiments. Excellente interprétation. Un film à voir.
    Jorik V
    Jorik V

    1 267 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 novembre 2021
    Cinéaste qui prend son temps (en moyenne un film tous les cinq ou six ans), Xavier Beauvois délaisse un temps ses prestations devant la caméra (il s’est tout de même donné un tout petit rôle ici) pour nous revenir en grande forme avec cet « Albatros » de très bonne facture. Son nouveau film prend son temps mais ne nous ennuie jamais et se divise en trois sujets distincts, parfaitement agencés et articulé en deux parties. On y d’abord voit le quotidien d’une caserne de gendarmerie à Étretat. C’est factuel et très intéressant entre la paperasse, des suicides sur les célèbres falaises ou encore la gestion des personnes ivres sur la voie publique. Un quotidien varié parfois loin de l’idée que l’on peut se faire ce métier. Ensuite, dans une veine très à la mode en ce moment, le long-métrage dénonce l’étranglement financier dont son victimes les agriculteurs et le désespoir du monde agricole. C’est parfaitement retranscrit et le film se fait l’écho d’œuvres récentes telles que « Petit paysan », « Au nom de la terre » ou « La Terre des hommes », bien que ce ne soit pas le sujet principal. Enfin, un tournant dans « Albatros » va emmener le scénario vers la reconstruction morale du personnage principal après une tragédie que l’on taira. Peut-être la partie la moins intéressante (de manière relative cependant) et celle qui fait que le film s’essouffle un légèrement dans son tout dernier tiers. Et donc, si la première partie s’assimile à une chronique juste et simple mais puissante sur le métier de gendarme couplée à un cri d’alarme pour le monde paysan, et notamment des éleveurs, la seconde penche plus vers le drame psychologique.



    Dans tous les cas, le fil conducteur du film de Xavier Beauvois reste le personnage de Laurent, incarné par un Jérémie Rénier à son meilleur. L’acteur est très présent sur les écrans en ce moment (bientôt sortira aussi le moins réussi « L’ennemi ») et se révèle impeccable en gendarme intègre, altruiste et foncièrement bon qu’un drame va bouleverser pour le pire et le meilleur. En filigrane des thèmes abordés, sa vie personnelle et familiale va nous toucher et le plan final clôture avec une grâce infinie cette partie de l’intrigue. On n’aurait pas misé sur lui pour un tel rôle. A tort, puisqu’il est parfait et investi comme jamais. A ses côtés une chef monteuse qui fait ses débuts d’actrice sous la houlette de Beauvois qui lui avait déjà donné un petit rôle dans « Les Gardiennes ». Elle est toute aussi épatante et son physique singulier tranche agréablement avec les actrices consensuelles qu’on a l’habitude de voir en compagne d’un personnage principal. Ils forment un couple merveilleux auquel on s’attache, auquel on s’identifie et surtout qui nous touche. « Albatros » est un film âpre qui sera peut-être un peu lent ou anodin pour certains mais qui n’en demeure pas moins un beau film. Un drame du quotidien, nécessaire, juste et définitivement inspiré. Parfois les choses simples de la vie (ses drames comme ses bonheurs) accouchent des plus belles œuvres.



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    Isabel I.
    Isabel I.

    38 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2021
    Il faut un certain temps pour que le film  commence vraiment. La première  partie est centrée sur le quotidien  parfois sordide d'un gendarme intègre . Partie nécessaire pour mieux comprendre le moment où  tout bascule pour Laurent.
    Mais du coup il y  a un certain flou sur LE ou LES trop nombreux sujets qui sont abordés mais jamais vraiment approfondis.
    Est ce un film pour vanter et valoriser la gendarmerie ?
    Doit-on prendre conscience des difficultés des agriculteurs ?
    Une pointe d'écologie aussi: quel monde laisser à  nos enfants ?
    Est-ce une publicité pour Fécamp et son bord de mer , très joliment filmé d'ailleurs, de très beaux paysages  maritimes . L'eau à perte de vue : jusqu'où se perdre ?
    Et puis le drame, la vie qui se fissure , la culpabilité, la remise en question.
    Les silences remplacent les paroles. Beaucoup de silences, peut-être trop de silence.
    Il faut alors poser des actes symboliques pour se reconstruire.  La mer, lieu pour partir, se retrouver seul face à soi-même, pour se sauver, se retrouver.
    Quelques scènes très fortes  et là ,enfin,  de l'émotion. Des comédiens très pudiques très justes. A trop vouloir évoquer toutes ces idées le réalisateur nous égare sur trop de pistes de réflexion, pistes inabouties ; quelques  imperfections dans le rythme  mais c'est un film qui vaut d'être vu.
    Marie Helene Van Den Broucke
    Marie Helene Van Den Broucke

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2021
    Ne pas divulgacher pour se laisser embarqué(e) dans l'événement central et la redistribution des rôles qu'il implique pour le gendarme finalement assez fragilisé par son métier avant celui-ci, sa femme plus forte quand on la voit diriger les jours d'éclatement et apparaître au travail, une petite fille qui fait penser à Brigitte Fossey par son jeu, pas seulement par sa blondeur, des seconds rôles intéressants à observer vivre, agir et réagir,le paysage d'Etretat et la Mer filmés comme des Marines des Siècles précédents devenant ainsi personnages à part entière. De grands moments de solitude pour le Héros en pleine recherche de ressort intérieur rédempteur montrés avec lenteur mâturante, sobriété, pudeur et suggestion.
    Du vrai Xavier Beauvois ancré dans la contemporanéité de 2019-2020.
    Louis M.
    Louis M.

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 novembre 2021
    Une nullité sans nom, une histoire sans rebondissements, une fin bâclée laissant grandement sur sa faim , des plans bancaux, tantôt pas droits, tantôt pas centrés, un film qui n'a pas lieux d'être. Le pire film qu'il m'a été l'occasion de voir.
    Florence D.
    Florence D.

    7 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 novembre 2021
    C'est l'histoire d'une gentille petite ville normande avec un gentil gendarme bientôt marié à une gentille jeune femme. Le couple a une gentille petite fille et notre gendarme et ses gentils collègues veillent avec gentillesse sur les gentils habitants. Il faut une éternité avant qu'un événement (raconté dans le synopsis!!) fasse basculer ce gentil petit récit. Ensuite, le ton du film reste uniforme (ah ah) et monotone avec un héro peu convaincant.
    J'aime généralement beaucoup le cinéma de Xavier Beauvois mais je me suis cette fois méchamment ennuyée.
    Aubert Elliot
    Aubert Elliot

    6 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2021
    Pendant près de 2h, on s'immisce dans la vie de Laurent. Adjudant dans la gendarmerie d'Étretat, il va faire face à la rude réalité des agriculteurs français et empêcher l'acte de désespoir de Julien. Malheureusement, spoiler: le gendarme lui donnera involontairement la mort
    plongeant Laurent dans un état de dépression avancé. Pour retrouver la paix intérieure, l'adjudant se lance dans une traversée partant du Havre jusqu'à Terre-Neuve à bord d'un First 30. spoiler: Son retour au port d'attache
    sera riche en émotion avec la présence de sa compagne et sa fille.
    Les longs instants de silence sont pour moi nécessaires afin de se plonger dans la peau du gendarme ! Les images mettent en avant le département des Seine-Maritimes.
    JEAN-FRANCOIS Bordier
    JEAN-FRANCOIS Bordier

    1 abonné 32 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 novembre 2021
    j 'ai vu ce film au cinéma BALZAC réputé être un lieu pour cinéphiles

    a la fin du film on a entendu : quel NAVET et aussi des réactions positives en réponse.

    J'avoue avoir été déçu. En gros il y a 3 films dans ce film au scénario plutôt mièvre

    Pendant 45 mn il ne se passe rien : c'est un documentaire sur la gendarmerie d'une petite ville . On a envie de s'engager !

    on voit un gendarme en couple avec une petite fille , confortement logé dans un appartement de la gendarmerie : dis metres pour se rendre au travail.!

    de temps en temps il y a un suicide, un déminage sur la plage, un alcoolique sympa qu'il faut raisonner, un automobiliste garé sur un talus la nuit, des copains qui ont des ennuis ou des soucis et auxquels on rend visite : c'est la tournée des copains et amis et des RV sympas avec le maire et le médecin.

    quand on signale des incestes chez le gitans, il faut surtout ne pas y aller et botter en touche vers les services sociaux

    on a du pouvoir, on est reconnu et aimé , c'est formidable. En fait on fait un job d'assistante sociale...

    jusqu'au jour où un bon copain agriculteur se révolte contre l'Europe qui ne verse pas les subventions et les controles vétérinaire et là le deuxième film commence

    L'agriculteur n'admet pas le controle et il s'en va

    Le gendarme ami ( adjudant chef de poste) estime -aussi incroyable que cela paraisse- qu'il y a délit de fuite ( alors qu'aucune infraction n'est signifiée. Le voila qui alerte tous les services locaux pour intercepter le fuyard, qui finalement revient de lui même en menaçant de se suicider avec son fusil de chasse.

    L'adjudant -assistant social le conjure de ne rien faire et pour éviter le drame ne trouve rien de mieux que de lui tirer dans la jambe, sans sommation, ce qui provoque une hémorragie fatale.

    L'adjudant est mis en garde à vue ( pas de menottes) le juge qualifie l'infraction d'homicide et voilà notre héros en controle judiciaire à la maison avec bobonne.

    le 3ème film relate le départ en mer de l'adjudant , fils et petit fils de marin de grande peche, qui navigue, navigue navigue, brave les éléments ainsi que son controle judiciaire. Il culpabilise tant d'avoir tué son ami qu'il prévoit de fuir vers Terre Neuve, mais change d'avis et le voilà qui revient à Etretat où sa femme et sa fille l'attendent.

    FIN

    c'est donc bien un navet, un peu sauvé par le jeu de l'acteur principal

    a part lui tout le monde joue faux et la petite fille du réalisateur qui fait l'enfant a bien du mal.

    si vous êtes gendarme un traitement de faveur vous est réservé : engagez vous
    Virginie P
    Virginie P

    48 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 novembre 2021
    Déçue. Beaucoup trop long, on se demande quand le film va démarrer.
    La première ½ heure ressemble plus à un documentaire décrivant le triste quotidien d'une gendarmerie dans un milieu rural.

    Puis arrive enfin la bavure (figurant dans la bande annonce) suivie de la trop trop longue rédemption en mer (qq scènes sont néanmoins intéressantes) et un fin cucul la praline avec le retour du repenti dont femme et fillette l'attendent plantées sur le ponton.

    Les acteurs principaux, Jérémie Renier, la femme et la petite fille du cinéaste, sont néanmoins à la hauteur mais avec un scénario plus en sensibilité et en accroche avec un personnage principal plus travaillé en profondeur, ce film aurait pu être une petite merveille.
    cinono1
    cinono1

    298 abonnés 2 054 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 novembre 2021
    Quand il faut filmer une région ou un groupe de personnes, Xavier Beauvois est un maître qui, à l'aide de sa caméra et par petite touches successives, sait faire affleurer une vérité. Quand il filmé l'intériorité d'un personnage, il est plus a la peine, en tout cas dans ce film, ou finalement la 2e partie qui pourrait être le point d'orgue, donne en fait peu d'émotion. Tout est en place, la femme, l'enfant, le drame mais cela reste très scolaire et peu inspiré. Conclusion, Beauvois est un meilleur paysagiste que portraitiste
    cdf80
    cdf80

    8 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 novembre 2021
    Vous distinguerez sans peine deux parties bien distinctes, dans la seconde on s'ennuie un peu , pour le reste vous verrez une histoire assez simple et crédible ainsi qu'une métaphore sur la culpabilité et comment la traiter
    Omar K.
    Omar K.

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 novembre 2021
    Une (des) histoire simple, vraie, sincère, dramatique, forte, très très très belle. La finesse, la justesse, la sensibilité du jeu de tous les acteurs est renversante. Sans parler du fond de l'histoire, dans laquelle on est emmené... Je recommande.
    Medelguer
    Medelguer

    9 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2021
    Ce film est l'ADN typique du film français de notre époque ; une BA qui en dit beaucoup trop, une construction émaillée du même schéma de dénonciation sociétale qui frappe notre époque, et une lenteur quasi documentaire.

    Le premier tiers est long comme un film diffusé l'après midi sur une télévision publique. Les personnages charbonnent pour se donner une identité et une présence à l'écran mais cela reste beaucoup trop plat pour faire rêver. L'histoire est pleine de moments nobles mais elle est violentée par la rudesse avec laquelle les scènes sont ciselées.

    Reste que le paysage est proprement magnifique. Etretat et ses panoramas font certes respirer le film mais lui permettent aussi de ralentir, cette fois ci intelligemment.

    La deuxième partie est assez intéressante, même si il aurait fallu creuser, argumenter, parler, dénoncer de cette même verve moralisatrice du premier tiers, les souffrances ressenties par le personnage, qui s'est alors transformé en monolithe inexpressif.
    Cependant on peut saluer l'interprétation dans ces moments là de l'acteur principal qui arrive à devenir quasi terrifiant quand il sourit de nouveau, à bord de son bateau frappé comme son esprit par des vagues plus hautes que lui, et qui font imaginer au spectateur que ce sourire ne peut camoufler le fait qu'à l'intérieur de lui tout est en ruines.

    La fin est certes grotesque à mes yeux, car complètement à côté du sujet - il y aurait eu une bonne poignée de directions possibles qui auraient rendu l'histoire plus globales et attachantes.

    On ressort de ce film avec une sensation d'inachevé mais avec un beau message, une belle lumière de soleil couchant dans nos esprits. Le bruit assourdissant des vagues m'a personnellement porté au dessus de quelques subtilités proposées par le film, et même si j'en suis sorti un peu déçu, j'ai quand même apprécié le moment de navigation qu'il m'a offert en sa compagnie.
    Kiberen
    Kiberen

    22 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2021
    Connu de beaucoup pour "Le Petit Lieutenant" où "Des Hommes et des Dieux", Xavier Beauvois (dont j'ai absolument manqué tous ses films depuis 2010) aborde ce problème comme toujours d'un point de vue extrêmement humain. La première heure du film est une grande réussite, tant il prend son temps pour installer ce contexte d'une petite communauté de gens qui se connaissent bien, marquant à l'écran la différence entre les forces de l'ordre des grandes villes par rapport aux gendarmes situés dans de plus petits patelins. Cette première heure très quotidienne, installe parfaitement le contexte familial de notre personnage principal (Jéremie Renier toujours au top), nous montre plusieurs situations de gestion policière se déroulant sans accroc, et met en place l'élément déclencheur qui viendra tout faire basculer. Beauvois profite de cette première partie pour installer son propos, nous questionnant sur ces gens qui doivent être la perfection pour nous défendre, mais qui sont aussi fragiles que nous dans leur vie intime.

    Sans jamais excuser les débordements, Beauvois compose des personnages qui sont fiers d'être policiers, mais qui ne pardonnent pas tout, notamment avec le personnage de Victor Belmondo (bon sang qu'il ressemble à notre Jean-Paul, ça en devient terrifiant). Beauvois nous invite à questionner l'impossible, à nous rendre compte qu'un être humain ne peut être plus parfait qu'un autre et que son statut, son rôle dans la société n'y changera rien. Notre gendarme qu'on suit à des problèmes de vie intime, notre gendarme n'est pas un dieu, et notre gendarme peut chuter, car l'erreur est humaine comme on dit. Tout le reste du film se consacrera à aborder la question de l'erreur : comment la gérer, comment s'en relever, est ce que notre vie s'arrête, est ce qu'on peut fuir la vérité. Si le rythme ralentit soudainement, c'est pour mieux nous ancrer dans ce vide, dans cet équilibre brisé qui touche tout le monde.

    Le film n'est pas pour autant exempt de défauts, et si le fond est intéressant, la forme est bien moins engageante. Visuellement très (voir trop) classique, le film souffre d'une direction de la photographie terne, qui affaiblit la force visuelle de la composition de certains plans, et d'une utilisation de certaines caméras en extérieur avec une résolution immonde qui donne le sentiment de regarder des stock footages promotionnels sur une télé 4K à Darty. Le fond à aussi ses faiblesses, et si le propos est dans l'ensemble toujours juste, sa finalité m'a semblé un peu faible et fait plus office de justification pour lancer le générique de fin.

    Imparfait sur plusieurs points, les défauts de "Albatros" ne viennent jamais entacher le propos de son film. Son questionnement sur la capacité à devoir réagir vite et comment cela peut engendrer une erreur, dont certains "faux raccords" de montage peuvent symboliser à quel point les choses vont parfois trop vite quand il faut réagir, est proprement fait. Beauvois ne juge personne, mais ne pardonne pas, Beauvois offre un beau portrait de ce qui fait notre humanité, et si ce n'est pas son plus grand film, c'est l'un de ceux dont le propos m'a semblé le plus fort.
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