Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Au final, Xavier Beauvois signe un grand film, profond, inspirant et impeccablement interprété.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Dans Albatros, la caméra de Xavier Beauvois réussit à attraper le réel sans se grever de grilles idéologiques. Ainsi le spectateur accompagne les paysans et les gendarmes sans que lui soit imposé un regard préconçu sur ces métiers. Sa capacité à saisir les situations avec une manière d'épaisseur documentaire nous semble une qualité distinctive de son cinéma.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un film puissant.
20 Minutes
par Caroline Vié
Jérémie Renier est éblouissant dans ce film où la pudeur de Xavier Beauvois fait des merveilles.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Déchiré et déchirant, Jérémie Renier traverse en funambule magnifiquement émouvant ce film réaliste, à l’aspect brut et documentaire, sur la précarité et la dignité.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une belle étude psychologique.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une mise en scène pugnace et un bouleversant épilogue, comme une lueur de (sur)vie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Loin de tout chantage émotionnel, le naturalisme devient mysticisme. On n’a pas fini de parler du virement de bord effectué par Xavier Beauvois. Il donne toute sa profondeur à ce drame ravageur.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Comme un voyage sur le flot des âmes, Albatros tend les bras à une humanité essentielle. Xavier Beauvois, dans ce portrait de gens ordinaires, invite à un regard compassionnel.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Beauvois, qui aurait sans doute pu s’éviter une séquence d’hallucination, n’a pas son pareil pour scruter les âmes en miettes. Il décrit la solitude, le remords, l’incompréhension. Son Albatros a de la force, une puissance qui n’exclut pas les moments d’intimité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Victoria Gairin
Albatros est bien plus qu'un drame social, c'est un film sur la solidarité, la culpabilité, la difficulté de se pardonner à soi-même.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Film atypique entre chronique, polar et grand récit marin, « Albatros » dresse un portrait passionné de la Normandie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le réalisateur met en scène un gendarme d’Étretat confronté à la misère sociale, et signe un film intense et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Pascale Vergereau
Un drame social qui sonne juste.
Paris Match
par Yannick Vely
Filmant le quotidien d’un gendarme exemplaire dans une France en pleine crise, l’auteur de «Des Hommes et des Dieux» parvient à trouver le juste équilibre entre l’intime et l’universel, l’appel du large et le retour à la terre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Sous l’uniforme, Jérémie Renier fait preuve d’une profondeur de jeu remarquable, sûr de lui, puis d’une fragilité extrême.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Rare derrière la caméra, Xavier Beauvois (Des hommes et des dieux, Les Gardiennes) revient en force avec cet émouvant portrait d'un homme dépassé par les événements.
Télérama
par Samuel Douhaire
Beauvois est, certes, moins convaincant dans cette deuxième partie qui flirte parfois avec les clichés. Mais son audace à bousculer ainsi son récit, à sortir de sa zone de confort pour prendre le large, ne manque pas de panache.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un drame social poignant.
Bande à part
par Pierre Charpilloz
On aurait volontiers partagé plus longtemps le quotidien jamais banal de la brigade d’Étretat. Dommage que toute cette matière si passionnément humaine soit affadie par les rouages trop visibles du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Tout à la précision des gestes, le cinéaste détaille en décors réels un quotidien qu’il fréquente lui-même dans la vie, voisin de cette gendarmerie dont le doyen fait partie du casting. S’il s’octroie une apparition en poivrot local à la limite de la complaisance, il va loin dans une forme d’hommage, sinon à «la loi et l’ordre», à ce que leur exercice le plus trivial contient de stoïcisme.
Critikat.com
par Valentin Denis
Alors que les deux premières étapes du récit avaient finement construit une situation sociale pour le moins épineuse, le film s’en détourne au moment même où il pourrait prendre les sujets les plus délicats à bras-le-corps.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
(...) le cinéaste change de registre et emprunte des accents lyriques qui font bifurquer le récit dans une autre direction. Il y est à l’évidence moins à son aise. Mais celle-ci n’altère pas les qualités générales d’un film plein de sensibilité et d’humanité, qui doit beaucoup à la justesse de son interprète principal.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dans un style quasi documentaire servi par le jeu naturaliste d'acteurs non professionnels, Xavier Beauvois suit le quotidien d'un homme bien sous tous rapports, désarmé face à la misère sociale. Puis le film vire étrangement de bord [...].
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Après la police du Petit lieutenant, Xavier Beauvois sait montrer l’humanité de la gendarmerie rurale. Tout est crédible et Jérémie Renier est une nouvelle fois excellent.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Éric Derobert
L’avant et l’après d’une crise annoncée. Le meilleur d’Albatros, c’est l’avant, constat aux contours subtils, où s’invitent parfois d’autres contours moins raffinés mais nécessaires, lorsqu’il s’agit de mettre en état de choc le spectateur.
Première
par Thierry Chèze
Beauvois aime chacun des personnages qu’il filme autant qu’il hait cette misère sociale toujours là, prête à ruiner la solidarité puissante qu’ils ont tissé pour résister justement à la houle. La dignité est le maître mot de ce film intense.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec Albatros, Beauvois réussit le maillage de trois tableaux bouleversants : celui du quotidien d’une caserne de gendarmerie, celui d’une famille dont la vie bascule, et celui du monde paysan en souffrance.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si Albatros dépeint avec brio le quotidien lourd et morose d’une équipe de gendarmes, le récit s’égare dans un mélodrame qui s’étire en longueur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La forme que va prendre cette croisée des chemins ressemble à une fuite en avant.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Avec Albatros, Xavier Beauvois réalise une subtile étude autour des rapports hommes-femmes qui, dans la deuxième partie, s’essouffle et se mue en un portrait d’homme blessé beaucoup plus conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Parisien
Au final, Xavier Beauvois signe un grand film, profond, inspirant et impeccablement interprété.
Transfuge
Dans Albatros, la caméra de Xavier Beauvois réussit à attraper le réel sans se grever de grilles idéologiques. Ainsi le spectateur accompagne les paysans et les gendarmes sans que lui soit imposé un regard préconçu sur ces métiers. Sa capacité à saisir les situations avec une manière d'épaisseur documentaire nous semble une qualité distinctive de son cinéma.
Télé 7 Jours
Un film puissant.
20 Minutes
Jérémie Renier est éblouissant dans ce film où la pudeur de Xavier Beauvois fait des merveilles.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Déchiré et déchirant, Jérémie Renier traverse en funambule magnifiquement émouvant ce film réaliste, à l’aspect brut et documentaire, sur la précarité et la dignité.
Femme Actuelle
Une belle étude psychologique.
L'Obs
Une mise en scène pugnace et un bouleversant épilogue, comme une lueur de (sur)vie.
La Voix du Nord
Loin de tout chantage émotionnel, le naturalisme devient mysticisme. On n’a pas fini de parler du virement de bord effectué par Xavier Beauvois. Il donne toute sa profondeur à ce drame ravageur.
Le Dauphiné Libéré
Comme un voyage sur le flot des âmes, Albatros tend les bras à une humanité essentielle. Xavier Beauvois, dans ce portrait de gens ordinaires, invite à un regard compassionnel.
Le Figaro
Beauvois, qui aurait sans doute pu s’éviter une séquence d’hallucination, n’a pas son pareil pour scruter les âmes en miettes. Il décrit la solitude, le remords, l’incompréhension. Son Albatros a de la force, une puissance qui n’exclut pas les moments d’intimité.
Le Point
Albatros est bien plus qu'un drame social, c'est un film sur la solidarité, la culpabilité, la difficulté de se pardonner à soi-même.
Les Echos
Film atypique entre chronique, polar et grand récit marin, « Albatros » dresse un portrait passionné de la Normandie.
Marianne
Le réalisateur met en scène un gendarme d’Étretat confronté à la misère sociale, et signe un film intense et émouvant.
Ouest France
Un drame social qui sonne juste.
Paris Match
Filmant le quotidien d’un gendarme exemplaire dans une France en pleine crise, l’auteur de «Des Hommes et des Dieux» parvient à trouver le juste équilibre entre l’intime et l’universel, l’appel du large et le retour à la terre.
Télé 2 semaines
Sous l’uniforme, Jérémie Renier fait preuve d’une profondeur de jeu remarquable, sûr de lui, puis d’une fragilité extrême.
Télé Loisirs
Rare derrière la caméra, Xavier Beauvois (Des hommes et des dieux, Les Gardiennes) revient en force avec cet émouvant portrait d'un homme dépassé par les événements.
Télérama
Beauvois est, certes, moins convaincant dans cette deuxième partie qui flirte parfois avec les clichés. Mais son audace à bousculer ainsi son récit, à sortir de sa zone de confort pour prendre le large, ne manque pas de panache.
Voici
Un drame social poignant.
Bande à part
On aurait volontiers partagé plus longtemps le quotidien jamais banal de la brigade d’Étretat. Dommage que toute cette matière si passionnément humaine soit affadie par les rouages trop visibles du scénario.
Cahiers du Cinéma
Tout à la précision des gestes, le cinéaste détaille en décors réels un quotidien qu’il fréquente lui-même dans la vie, voisin de cette gendarmerie dont le doyen fait partie du casting. S’il s’octroie une apparition en poivrot local à la limite de la complaisance, il va loin dans une forme d’hommage, sinon à «la loi et l’ordre», à ce que leur exercice le plus trivial contient de stoïcisme.
Critikat.com
Alors que les deux premières étapes du récit avaient finement construit une situation sociale pour le moins épineuse, le film s’en détourne au moment même où il pourrait prendre les sujets les plus délicats à bras-le-corps.
La Croix
(...) le cinéaste change de registre et emprunte des accents lyriques qui font bifurquer le récit dans une autre direction. Il y est à l’évidence moins à son aise. Mais celle-ci n’altère pas les qualités générales d’un film plein de sensibilité et d’humanité, qui doit beaucoup à la justesse de son interprète principal.
Le Journal du Dimanche
Dans un style quasi documentaire servi par le jeu naturaliste d'acteurs non professionnels, Xavier Beauvois suit le quotidien d'un homme bien sous tous rapports, désarmé face à la misère sociale. Puis le film vire étrangement de bord [...].
Les Fiches du Cinéma
Après la police du Petit lieutenant, Xavier Beauvois sait montrer l’humanité de la gendarmerie rurale. Tout est crédible et Jérémie Renier est une nouvelle fois excellent.
Positif
L’avant et l’après d’une crise annoncée. Le meilleur d’Albatros, c’est l’avant, constat aux contours subtils, où s’invitent parfois d’autres contours moins raffinés mais nécessaires, lorsqu’il s’agit de mettre en état de choc le spectateur.
Première
Beauvois aime chacun des personnages qu’il filme autant qu’il hait cette misère sociale toujours là, prête à ruiner la solidarité puissante qu’ils ont tissé pour résister justement à la houle. La dignité est le maître mot de ce film intense.
Sud Ouest
Avec Albatros, Beauvois réussit le maillage de trois tableaux bouleversants : celui du quotidien d’une caserne de gendarmerie, celui d’une famille dont la vie bascule, et celui du monde paysan en souffrance.
aVoir-aLire.com
Si Albatros dépeint avec brio le quotidien lourd et morose d’une équipe de gendarmes, le récit s’égare dans un mélodrame qui s’étire en longueur.
Le Monde
La forme que va prendre cette croisée des chemins ressemble à une fuite en avant.
Les Inrockuptibles
Avec Albatros, Xavier Beauvois réalise une subtile étude autour des rapports hommes-femmes qui, dans la deuxième partie, s’essouffle et se mue en un portrait d’homme blessé beaucoup plus conventionnel.