Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Porté par Tallulah Cassavetti, formidable jeune comédienne brute de décoffrage dont c’est le premier rôle et à qui l’on prédit une belle carrière, le film offre un portrait décalé, drôle, enlevé, candide et profond d’une adolescente un peu sauvage mais si sincère. Un long-métrage enthousiasmant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Transfuge
par Serge Kaganski
[...] une puissance de regard indéniable, des variations esthétiques en accord avec les affects d’Esther (le personnage principal), des virages surprenants, un juste équilibre entre les questionnements de l’héroïne et l’érotisation de son corps, le surgissement d’une actrice comparable à ce que furent ceux de Sandrine Bonnaire, Béatrice Dalle, Fabienne Babe (à laquelle ressemble un peu Cassavetti), Hafsia Herzi ou Adèle Exarchopoulos.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Beaucoup de soin et d’exigence dans ce film vivifiant, au service d’un regard bienveillant sur le féminin.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Alice Leroy
À la faveur d’un beau travelling nocturne, le film paraît basculer dans une tonalité plus fantastique.
Elle
par Thomas Jean
Un premier film prometteur.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Révélant un nouvel espoir en la personne de Tallulah Cassavetti, ce premier film reprend les codes du récit initiatique avec subtilité et nuance.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Maroussia Dubreuil
Entre érotisme et mysticisme, ce premier film [...] brosse le portrait sensible d'une jeune fille à la dérive, partie à son insu à la conquête d'elle-même.
Positif
par Philippe Rouyer
Anna Cazenave Cambet a placé la barre haut, et a autant soigné ses cadres que la direction d’acteurs.
Télérama
par Louis Guichard
Un premier film lumineux porté par son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
De l’or pour les chiens est une épopée sentimentale et spirituelle d’une adolescence, brûlée par les feux de l’été. Un film résolument sincère et prometteur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Anna Cazenave Cambet prouve dès la première séquence, une scène de sexe filmée à la bonne distance, qu’elle a le sens du cadre. E
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
Lorsque Esther échoue à Paris dans un monastère, De l'or pour les chiens dévoile sa singularité esthétique.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
La jeune cinéaste détourne le fléchage attendu du teen movie pour conduire son héroïne à la réappropriation de son identité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Une oeuvre solaire d'une sensualité à fleur de peau.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un voyage par-delà les a priori et les barrières morales qui, s’il ne révolutionne pas le genre, a le mérite de révéler une nouvelle venue à la candeur magnétique, Tallulah Cassavetti.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Du cinéma sensoriel, en mouvement qui permet au spectateur de se projeter en Esther, quel que soit son âge ou son sexe. Et une apparition : Tallulah Cassavetti. Pour son premier rôle, elle livre une composition emballante (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce récit initiatique d’une adolescente échoue à intéresser à son sort et à susciter des émotions.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
On peine à cerner là où la réalisatrice veut en venir [...]. "De l’or pour les chiens" n’est est pas moins porté par une mise en scène et une comédienne prometteuses.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Laura Tuillier
On pense immédiatement à Une vraie jeune fille, le premier film de Catherine Breillat tourné en 1975. Hélas, De l’or pour les chiens n’en a pas l’intensité délétère et désespérée et, après un premier plan séquence frontal, il se replie sur des ellipses pudiques et des beaux plans de fin d’été avec soleil rasant et mélancolie gentillette.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
Porté par Tallulah Cassavetti, formidable jeune comédienne brute de décoffrage dont c’est le premier rôle et à qui l’on prédit une belle carrière, le film offre un portrait décalé, drôle, enlevé, candide et profond d’une adolescente un peu sauvage mais si sincère. Un long-métrage enthousiasmant.
Transfuge
[...] une puissance de regard indéniable, des variations esthétiques en accord avec les affects d’Esther (le personnage principal), des virages surprenants, un juste équilibre entre les questionnements de l’héroïne et l’érotisation de son corps, le surgissement d’une actrice comparable à ce que furent ceux de Sandrine Bonnaire, Béatrice Dalle, Fabienne Babe (à laquelle ressemble un peu Cassavetti), Hafsia Herzi ou Adèle Exarchopoulos.
Bande à part
Beaucoup de soin et d’exigence dans ce film vivifiant, au service d’un regard bienveillant sur le féminin.
Cahiers du Cinéma
À la faveur d’un beau travelling nocturne, le film paraît basculer dans une tonalité plus fantastique.
Elle
Un premier film prometteur.
Les Fiches du Cinéma
Révélant un nouvel espoir en la personne de Tallulah Cassavetti, ce premier film reprend les codes du récit initiatique avec subtilité et nuance.
Marie Claire
Entre érotisme et mysticisme, ce premier film [...] brosse le portrait sensible d'une jeune fille à la dérive, partie à son insu à la conquête d'elle-même.
Positif
Anna Cazenave Cambet a placé la barre haut, et a autant soigné ses cadres que la direction d’acteurs.
Télérama
Un premier film lumineux porté par son héroïne.
aVoir-aLire.com
De l’or pour les chiens est une épopée sentimentale et spirituelle d’une adolescence, brûlée par les feux de l’été. Un film résolument sincère et prometteur.
L'Obs
Anna Cazenave Cambet prouve dès la première séquence, une scène de sexe filmée à la bonne distance, qu’elle a le sens du cadre. E
Le Monde
Lorsque Esther échoue à Paris dans un monastère, De l'or pour les chiens dévoile sa singularité esthétique.
Les Inrockuptibles
La jeune cinéaste détourne le fléchage attendu du teen movie pour conduire son héroïne à la réappropriation de son identité.
Ouest France
Une oeuvre solaire d'une sensualité à fleur de peau.
Paris Match
Un voyage par-delà les a priori et les barrières morales qui, s’il ne révolutionne pas le genre, a le mérite de révéler une nouvelle venue à la candeur magnétique, Tallulah Cassavetti.
Première
Du cinéma sensoriel, en mouvement qui permet au spectateur de se projeter en Esther, quel que soit son âge ou son sexe. Et une apparition : Tallulah Cassavetti. Pour son premier rôle, elle livre une composition emballante (...).
La Croix
Ce récit initiatique d’une adolescente échoue à intéresser à son sort et à susciter des émotions.
Le Journal du Dimanche
On peine à cerner là où la réalisatrice veut en venir [...]. "De l’or pour les chiens" n’est est pas moins porté par une mise en scène et une comédienne prometteuses.
Libération
On pense immédiatement à Une vraie jeune fille, le premier film de Catherine Breillat tourné en 1975. Hélas, De l’or pour les chiens n’en a pas l’intensité délétère et désespérée et, après un premier plan séquence frontal, il se replie sur des ellipses pudiques et des beaux plans de fin d’été avec soleil rasant et mélancolie gentillette.