Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Excentrique mais jamais égocentrique, "Garçon Chiffon" suit les chemins rebattus du roman de formation avec ses galères, ses hasards heureux, ses morts et ses renaissances symboliques. [...] un film d’outrance contrôlée, pas tellement survolté, au contraire doux et cotonneux, mais déjà un film-somme qui scelle les obsessions d’un auteur-acteur et porte en apothéose son art de jouer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Nicolas Maury, aussi émouvant qu'hilarant devant la caméra, passe à la réalisation avec une comédie existentielle très réussie.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Thierry Chèze
Profondément attachant.
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
On rit beaucoup aux atermoiements de ce jeune homme en souffrance qui cherche un sens à sa vie, mais d'un rire qui nous serre le cœur.
20 Minutes
par Caroline Vié
Nicolas Maury signe un premier film sensible et réussi.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Mélanie Klein
La mise en scène est maîtrisée, la direction d'acteurs impeccable et les émotions au diapason !
Bande à part
par Olivier Pélisson
Réjouissant long-métrage que le premier signé Nicolas Maury. Le comédien, à la fois devant et derrière la caméra, porte cette balade cocasse, miroir d’un monde amoureusement mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Tout le film, loin de l'ego trip tant redouté, n'a fait que tendre la main vers nous pour nous amener à ce moment où, enfin sortie de l'enfance et de la mélancolie, une voix se remet à chanter.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Or il y a dans cette forme d’autoportrait à la spontanéité étonnante, le miroir d’une belle âme, l’image diffractée d’un garçon à la sincérité désarmante, à la vérité touchante, qui se met à nu, bravant toute impudeur, pour montrer qui il est.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Pour son premier film, Nicolas Maury se livre, en assumant ses doutes et ses fragilités.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Un premier long-métrage enthousiasmant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Tour à tour tragique, comique, burlesque, déployant des merveilles de fantaisie, d’intelligence, de malice, Nicolas Maury questionne l’air de rien les grandes choses de l’existence : l’amour, la vie, la mort.
Le Figaro
par Nathalie Simon
On l’a vu au théâtre et surtout dans la série Dix pour cent. Il a écrit et réalisé son premier film, Garçon chiffon, un long-métrage léger et grave.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Profond et réjouissant.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Certains dialogues vous attrapent le cœur et Nathalie Baye, aussi juste qu'émouvante, déniche une nouvelle fois ici l'un des rôles les plus forts de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Dévoré par une jalousie maladive et frustré par une carrière languissante, un comédien trentenaire trouve du réconfort auprès de sa mère. Réalisateur, scénariste, acteur... Nicolas Maury porte toutes les casquettes pour un premier long métrage tout en délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Dans sa première réalisation, Nicolas Maury excelle en interprétant Jérémie, oiseau bizarre habitué au rejet, au travail comme en amour.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
POUR : Garçon chiffon n’a rien d’un robinet d’eau tiède. Certains le taxent d’égocentrisme. (...) Non, l’essentiel est ailleurs. Dans ce besoin viscéral de passer derrière la caméra qui traverse l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Le beau mouvement du film consiste à faire peu à peu apparaître des passerelles entre cette personnalité si insulaire et les autres — pas forcément ceux qu’il croyait. Et à laisser opérer l’alchimie qui sauve parfois les cas désespérés : la transmutation de toutes leurs écorchures en rayonnement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une comédie délicate, drôle et attachante.
CNews
par La rédaction
Nicolas Maury embarque les spectateurs dans un ego trip tragicomique qui peut agacer parfois, tant le héros semble dépassé par ses émotions sans parvenir à se sortir de son mal de vivre.
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
Plus qu’un film d’acteur, Garçon chiffon est un star vehicle. Pour Maury, bien sûr, qui fait un film « à sa mesure », mais aussi pour tous les acteurs qui jouent sur deux scènes à la fois, la leur et celle de la fiction.
Closer
par La Rédaction
Ce premier film se révèle touchant et parfois drôle. Dommage qu'il ne serve pas mieux l'impeccable Nathalie Baye, dont le personnage est un peu bâclé.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Film portrait, "Garçon chiffon" concentre toute sa mise en scène sur les acteurs et en premier lieu sur le rôle de Jonathan, dont on pardonnera la surdétermination.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Clarisse Fabre
C’est parce qu’il ne s’appesantit jamais, s’étoffe de beaux seconds rôles – Théo Christine – et s’aventure dans le fantastique que Garçon chiffon séduit par sa fantaisie mélancolique.
Positif
par Bernard Génin
L’agacement domine chez le spectateur durant la première heure, ainsi que la gêne devant cette impression d’autobiographie masochiste dont on se demande où elle va mener.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec une touche de couleur, un art de la douceur et un goût certain pour le maniérisme, Nicolas Maury signe une œuvre dont la fragilité fait tout le charme. Pas plus que cela non plus.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Le cinéaste en herbe, doué et doté d'un sens de l'autodérision incisif, offre un premier film singulier sur l'affirmation de soi. Imparfait, certes, mais tendre et drôle.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le premier long métrage en tant que réalisateur de Nicolas Maury est le portrait incisif d’un comédien névrosé. Une œuvre agréable et bien dialoguée, qui comporte plusieurs séquences réussies.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Révélé par la série Dix pour cent, l’acteur est passé derrière la caméra pour réaliser un premier film sensible autour d’un personnage qui lui ressemble mais dont les états d’âme finissent par ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré son charme, le film s'abîme dans les répétitions, dans une certaine pose, et ne parvient que trop rarement à incarner sur l'écran ses audaces scénaristiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
En dehors de l’observation minutieuse de son protagoniste dépressif (et donc de lui-même), Nicolas Maury peine à construire un récit intime et personnel, peu aidé par une esthétique empruntée et un rythme léthargique.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Au contraire de Maïwenn avec « ADN », Nicolas Maury, l’assistant de « Dix pour cent », a l’excuse du premier film et montre même un certain talent pour les scènes de réconciliation. Lesquelles n’arrivent qu’après une heure et demie d’atermoiements affectés et stériles pour qui ne partage pas ses angoisses de drama queen hyperémotive qui a trop vu Xavier Dolan et Christophe Honoré.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Sophie Benamon
CONTRE : Il est vrai qu’avec son heure cinquante, ce Garçon chiffon outrepasse la règle de Billy Wilder sur la durée des comédies : « Au-delà d’1 h 30, les minutes comptent double », avait coutume de dire le réalisateur de La Garçonnière. Il n’y a rien de plus vrai.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Excentrique mais jamais égocentrique, "Garçon Chiffon" suit les chemins rebattus du roman de formation avec ses galères, ses hasards heureux, ses morts et ses renaissances symboliques. [...] un film d’outrance contrôlée, pas tellement survolté, au contraire doux et cotonneux, mais déjà un film-somme qui scelle les obsessions d’un auteur-acteur et porte en apothéose son art de jouer.
Marie Claire
Nicolas Maury, aussi émouvant qu'hilarant devant la caméra, passe à la réalisation avec une comédie existentielle très réussie.
Ouest France
Profondément attachant.
Télé Loisirs
On rit beaucoup aux atermoiements de ce jeune homme en souffrance qui cherche un sens à sa vie, mais d'un rire qui nous serre le cœur.
20 Minutes
Nicolas Maury signe un premier film sensible et réussi.
BIBA
La mise en scène est maîtrisée, la direction d'acteurs impeccable et les émotions au diapason !
Bande à part
Réjouissant long-métrage que le premier signé Nicolas Maury. Le comédien, à la fois devant et derrière la caméra, porte cette balade cocasse, miroir d’un monde amoureusement mélancolique.
Critikat.com
Tout le film, loin de l'ego trip tant redouté, n'a fait que tendre la main vers nous pour nous amener à ce moment où, enfin sortie de l'enfance et de la mélancolie, une voix se remet à chanter.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Or il y a dans cette forme d’autoportrait à la spontanéité étonnante, le miroir d’une belle âme, l’image diffractée d’un garçon à la sincérité désarmante, à la vérité touchante, qui se met à nu, bravant toute impudeur, pour montrer qui il est.
Femme Actuelle
Pour son premier film, Nicolas Maury se livre, en assumant ses doutes et ses fragilités.
L'Humanité
Un premier long-métrage enthousiasmant.
Le Dauphiné Libéré
Tour à tour tragique, comique, burlesque, déployant des merveilles de fantaisie, d’intelligence, de malice, Nicolas Maury questionne l’air de rien les grandes choses de l’existence : l’amour, la vie, la mort.
Le Figaro
On l’a vu au théâtre et surtout dans la série Dix pour cent. Il a écrit et réalisé son premier film, Garçon chiffon, un long-métrage léger et grave.
Le Journal du Dimanche
Profond et réjouissant.
Le Parisien
Certains dialogues vous attrapent le cœur et Nathalie Baye, aussi juste qu'émouvante, déniche une nouvelle fois ici l'un des rôles les plus forts de sa carrière.
Les Fiches du Cinéma
Dévoré par une jalousie maladive et frustré par une carrière languissante, un comédien trentenaire trouve du réconfort auprès de sa mère. Réalisateur, scénariste, acteur... Nicolas Maury porte toutes les casquettes pour un premier long métrage tout en délicatesse.
Libération
Dans sa première réalisation, Nicolas Maury excelle en interprétant Jérémie, oiseau bizarre habitué au rejet, au travail comme en amour.
Première
POUR : Garçon chiffon n’a rien d’un robinet d’eau tiède. Certains le taxent d’égocentrisme. (...) Non, l’essentiel est ailleurs. Dans ce besoin viscéral de passer derrière la caméra qui traverse l’écran.
Télérama
Le beau mouvement du film consiste à faire peu à peu apparaître des passerelles entre cette personnalité si insulaire et les autres — pas forcément ceux qu’il croyait. Et à laisser opérer l’alchimie qui sauve parfois les cas désespérés : la transmutation de toutes leurs écorchures en rayonnement.
Voici
Une comédie délicate, drôle et attachante.
CNews
Nicolas Maury embarque les spectateurs dans un ego trip tragicomique qui peut agacer parfois, tant le héros semble dépassé par ses émotions sans parvenir à se sortir de son mal de vivre.
Cahiers du Cinéma
Plus qu’un film d’acteur, Garçon chiffon est un star vehicle. Pour Maury, bien sûr, qui fait un film « à sa mesure », mais aussi pour tous les acteurs qui jouent sur deux scènes à la fois, la leur et celle de la fiction.
Closer
Ce premier film se révèle touchant et parfois drôle. Dommage qu'il ne serve pas mieux l'impeccable Nathalie Baye, dont le personnage est un peu bâclé.
Franceinfo Culture
Film portrait, "Garçon chiffon" concentre toute sa mise en scène sur les acteurs et en premier lieu sur le rôle de Jonathan, dont on pardonnera la surdétermination.
Le Monde
C’est parce qu’il ne s’appesantit jamais, s’étoffe de beaux seconds rôles – Théo Christine – et s’aventure dans le fantastique que Garçon chiffon séduit par sa fantaisie mélancolique.
Positif
L’agacement domine chez le spectateur durant la première heure, ainsi que la gêne devant cette impression d’autobiographie masochiste dont on se demande où elle va mener.
Sud Ouest
Avec une touche de couleur, un art de la douceur et un goût certain pour le maniérisme, Nicolas Maury signe une œuvre dont la fragilité fait tout le charme. Pas plus que cela non plus.
Télé 7 Jours
Le cinéaste en herbe, doué et doté d'un sens de l'autodérision incisif, offre un premier film singulier sur l'affirmation de soi. Imparfait, certes, mais tendre et drôle.
aVoir-aLire.com
Le premier long métrage en tant que réalisateur de Nicolas Maury est le portrait incisif d’un comédien névrosé. Une œuvre agréable et bien dialoguée, qui comporte plusieurs séquences réussies.
La Croix
Révélé par la série Dix pour cent, l’acteur est passé derrière la caméra pour réaliser un premier film sensible autour d’un personnage qui lui ressemble mais dont les états d’âme finissent par ennuyer.
Les Echos
Malgré son charme, le film s'abîme dans les répétitions, dans une certaine pose, et ne parvient que trop rarement à incarner sur l'écran ses audaces scénaristiques.
Transfuge
En dehors de l’observation minutieuse de son protagoniste dépressif (et donc de lui-même), Nicolas Maury peine à construire un récit intime et personnel, peu aidé par une esthétique empruntée et un rythme léthargique.
L'Obs
Au contraire de Maïwenn avec « ADN », Nicolas Maury, l’assistant de « Dix pour cent », a l’excuse du premier film et montre même un certain talent pour les scènes de réconciliation. Lesquelles n’arrivent qu’après une heure et demie d’atermoiements affectés et stériles pour qui ne partage pas ses angoisses de drama queen hyperémotive qui a trop vu Xavier Dolan et Christophe Honoré.
Première
CONTRE : Il est vrai qu’avec son heure cinquante, ce Garçon chiffon outrepasse la règle de Billy Wilder sur la durée des comédies : « Au-delà d’1 h 30, les minutes comptent double », avait coutume de dire le réalisateur de La Garçonnière. Il n’y a rien de plus vrai.