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Un visiteur
4,0
Publiée le 29 septembre 2006
Très amusant, tout en pâte à modelé, bourré de clins d'oeil à "La Grande Evasion", ce film fait passer un très bon moment aux plus petits comme aux plus grands !!!
Un film d'animation drôle, imaginatif et référencé de Peter Lord et Nick Park avec un scénario modelé à la perfection, des dialogues sacrément bien pondus et des gags à picorer toutes les dix secondes.
"Chicken Run" est un film qui se distingue par son animation en volume audacieuse et son hommage comique à "La Grande Évasion". Situé dans un cadre pastoral anglais des années 50, le film présente une communauté de poules, menée par la courageuse Ginger, luttant contre leur destin morne et, éventuellement, mortel dans le poulailler de la ferme Tweedy. L'arrivée du coq américain Rocky apporte un élan d'espoir et une dose d'humour, malgré le fait que ses prétendues capacités de vol s'avèrent être un canular.
Là où "Chicken Run" excelle vraiment, c'est dans son animation en volume exquise et son attention aux détails, offrant des textures et des expressions qui donnent vie aux personnages d'une manière qui n'est souvent pas réalisable avec d'autres formes d'animation. Le film bénéficie également d'un doublage vocal exceptionnel, où chaque acteur prête sa voix de manière à enrichir l'unicité de son personnage, offrant une gamme d'émotions qui oscillent entre l'hilarité et le pathétique.
Cependant, le film n'est pas sans défauts. Bien que la prémisse soit ingénieuse et l'humour constant, "Chicken Run" a tendance à s'appuyer un peu trop sur des tropes familiers et des gags prévisibles, ce qui peut parfois sembler redondant. De plus, bien que l'intrigue soit globalement engageante, il y a des moments où le rythme fléchit, laissant le spectateur désirer une progression plus dynamique ou des rebondissements plus audacieux.
Un autre point de discorde peut résider dans la complexité de ses thèmes. Pour certains, le mélange de comédie légère avec des sous-textes plus sombres de captivité et de survie pourrait sembler discordant. Bien que cette dualité ajoute une couche d'intérêt, elle peut également sembler mal équilibrée à certains moments, comme si le film ne parvenait pas à décider s'il devait pencher vers un divertissement purement comique ou adopter une approche plus grave de sa narration.
En conclusion, "Chicken Run" est une réalisation notable dans le monde de l'animation, offrant une expérience visuellement captivante et des personnages mémorables. Toutefois, malgré ses nombreuses forces, le film est parfois entravé par un manque d'originalité narrative et un équilibre incertain entre son humour et ses thèmes plus sérieux. En fin de compte, il se positionne comme une œuvre divertissante et techniquement impressionnante, bien qu'elle ne révolutionne pas le genre ni n'atteigne la perfection dans sa réalisation.
Pour moi, le meilleur film pour enfants "adulte" avec Les indestructibles et Toy Story. C'est très drôle, animé à la perfection, le scénario à La Grande Evasion est top. Enfin, cette ode à la liberté s'avère fine et très intelligente pour un film d'animation. Bravo aux anglais créateurs de cette perle poulesque...
Rempli de références (Braveheart, lagrande évasion, indiana jones), de jeux de mots, de gags et répliques à mourir de rire, on s'ennuie à aucun moment tant c'est rythmé et dosé. Les personnages sont cools et attachants, le concept donne lieu à beaucoup de créativité. L'animation est folle, même si les designs des poules sont particuliers. John Powell et Harry Gregson-Williams sont décidément un bon duo pour la musique. Le casting est réussi que ce soit en VO (Julia Sawalha, Mel Gibson, Imelda Staunton, Timothy Spall) ou en VF (Valérie Lemercier, Gérard Depardieu, Frédéric Norbert). Au final c'est tellement génial que la seule chose qu'on reproche au film c'est de ne pas durer plus longtemps. En effet c'est un peu court, et un peu prévisible par moment.
Étonnamment encensé par la plupart des critiques à sa sortie, "Chicken Run" ne tient malheureusement pas les promesses de son animation. Cette dernière est, il est vrai, très réussie, et laissait présager autre chose que cette historiette bien mollassonne. Transposer la Shoah dans un poulailler ? Pourquoi pas, à condition que le scénario suive, ainsi que l'humour décalé et détonnant censé aller avec. C'est la précisément que "Chicken Run" pèche ; comme souvent chez Dreamworks, cette entreprise souffre de deux chose fatales. Premièrement, un scénario inconsistant, empruntant tous les raccourcis possibles, et finissant dans le plus prévisible des happy end. Deuxièmement un humour proprement inexistant, engendrant plus de flops que de rires, dont la finesse n'arrive jamais à la cheville de Pixar ou Disney. Un peu de folie, de déjanté, de second degré n'auraient pas été de trop. Préférez largement un bon vieux "Wallace et Gromit".
Super film d'animation ,sur des poules enferméés dans une basse_court du style "La grande évasion"et qu'il veulent fuir une mort certaine avec l'aide d'un coq trés vantard.Au final on passe un trés trés trés bon moment (les grands et les petits).
Dans le Yorkshire, la vie paisible du poulailler de la ferme Tweedy fait le bonheur de ses poules, enfin… toutes sauf Ginger, qui ne rêve que d’une chose, retrouver la liberté, les grands espaces et surtout, pouvoir gambader dans l’herbe fraîche. Pourtant, ses congénères ne sont pas du même avis et semblent se satisfaire de leur train-train quotidien… Mais Ginger n’a pas dit son dernier mot et va tout mettre en oeuvre pour les sortir de cette prison.
Les studios Aardman (Wallace et Gromit) passent à la vitesse supérieur, après avoir réalisés (et produits) bon nombre de courts-métrages d’animation, Peter Lord & Nick Park unissent leurs forces pour mettre au point le tout premier long-métrage de leur société (toujours en stop-motion et en plasticine, sorte de pâte-à-modeler).
C’est ainsi que voit le jour Chicken Run (2000), qui nous entraîne en plein coeur d’une ferme avicole (qui ressemble à s’y méprendre, à un camp de concentration). Sur place, les poules s’activent pour tenter de trouver un échappatoire et ainsi, s'offrir une vie meilleure, là où l’herbe est plus verte. Et c’est aidé d’un coq gouailleur qu’elles y parviendront… ou pas.
Imaginez La Grande Évasion (1963) de John Sturges, où Steve McQueen & Charles Bronson seraient remplacés par des gallinacés, c’est à peu de chose près ce que vous réserve le film. Il a fallu un travail titanesque (18 mois de tournage) pour arriver à donner vie à ces poules faites en pâte-à-modeler (on finit très rapidement par oublier qu’elles sont modelées image par image, tant le rendu est impressionnant). Elles sont dodues, gaffeuses, rieuses & drôles, difficile de ne pas tomber sous leur charme. Si la réalisation est remarquable, on pourra aussi saluer le choix des voix pour le doublage français qui y apporte lui aussi toute son importance (Valérie Lemercier, Gérard Depardieu, Claude Piéplu & Josiane Balasko).
Il y a une énergie naïve et enfantine qui donne à ce film d'animation un sacré rythme. Humour et action avec des poulettes très drôles. La prouesse est évidemment à applaudir. C'est formidablement bien fait.
Une animation originale, drôle et trépidante, qui n'a pas pris une ride au fil des décennies, et qui divertit toutes les générations. J'ai adoré cette histoire rappelant maintes fois "La Grande Évasion". Les décors et les personnages sont hauts en couleurs, et les voix françaises collent bien à l'ensemble.
Plutôt simpliste en général mais qui s'avère très original et bien réalisé. Les personnages sont drôles et attachants avec d'excellents dialogues et l'ensemble propose du suspense. Le film peut ravir les petits et les grands avec une double lecture montrant la difficulté du travail d'éleveur obligeant parfois à se tourner vers une production moins naturelle. Sans oublier un message envers la cause animale et de l'exploitation parfois peu humaine à destination de ceux-ci.
un pure divertissement, un film d'animation faite à partir de pâte à modeler, un vrai régal pour les yeux. visiblement inspiré de "la grande évasion" dont c'est l'un des clins d'œil cinématographique. oui, le poulailler ressemble à un camp de concentration avec ses bourreaux, aussi cruel et inhumain qu'un docteur nazi qui travaille sur des expériences. les poulets sont tous destiné à aller dans la machine à tourte à moins de trouver un moyen de s'évader. les situations cocasses sont vraiment drôle, malgrés le sujet, le scénario est inventive, des dialogues ciselées, des effets spéciaux magnifique. un chef d'oeuvre.
Cette aventure fantastique réalisée par Peter Lord et Nick Park nous offre de belles animations, un humour et un rythme fous, des dialogues originaux, et des personnages sympathiques. Bref un très bon moment de divertissement. Le sujet : Dans le Yorkshire à la ferme Tweedy, les poules de la basse-cour rêvent d'herbe fraiche et de liberté. Avec l'aide du coq libre Rocky et la vaillante Ginger à leur tète, se prépare "La Grande Évasion".
Dans une ferme de production d’œufs, les poules pondeuses sont installées dans des baraquements /poulaillers entourés d'un grillage, le tout ressemblant à un camp de concentration de la seconde guerre mondiale. Elles rêvent de s'évader et le film tourne autour de leurs efforts pour trouver un moyen d'échapper à leur mort quand elles ne sont plus productives. Un coq américain avec la voix de Mel Gibson va tenter de les aider à s'échapper. C'est une parodie du film « La Grande Evasion ». Il y a sans cesse des trouvailles amusantes que seuls les adultes détecteront. Les deux scénaristes ont vraiment beaucoup de talent.