Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
« Evil Dead Rise » réjouit par son « fan service » assumé et ses références aux classiques du cinéma d’horreur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Evil Dead n'a pas fini de faire fantasmer les fans d'horreur. Sur grand écran, c'est franchement jouissif.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Parisien
par La Rédaction
Après un début en fanfare, et un superbe générique de présentation, l’action connaît une petite demi-heure de mou, avant qu’on ne passe aux choses sérieuses. L’horreur va ensuite crescendo, pour un résultat qui justifie le classement dans la catégorie « interdit aux moins de 16 ans ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Christophe Lemaire
Cronin signe un film parfaitement dosé entre l'hommage sincère, la réinterprétation maligne et le gore outrancier, et parvient à trouer un équilibre convaincant entre les deux extrêmes de la franchise (l'attitude rigolarde des Raimi et le sérieux imperturbable du Alvarez).
Voici
par La Rédaction
Un remake du film culte de Sam Raimi totalement dénué d'ironie et au sadisme raffiné qui devrait combler les amateurs du genre.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Beaucoup moins bien écrit et un poil plus artificiel, Evil Dead Rise souffre de la comparaison avec le remake, mais n'en reste pas moins un tour de montagne russe gore hautement recommandable à qui aime la charcuterie fraiche.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
C’est bien fichu, efficace et sans âme, symptomatique d’une industrie peu encline à repenser les mythologies pop et qui n’en exploite que les artifices.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette suite fort réjouissante adopte la radicalité et le jusqu’au-boutisme de l’original, et y va à fond, sans inhibition.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Olivier Lamm
A partir d’un synopsis approximatif, Lee Cronin joue la carte du grand guignol zombiesque et signe une sanglante variation familiale de la série créée par Sam Raimi en 1981.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sylvestre Picard
Si Cronin ne parvient pas trop à équilibrer, au fond, son écriture et son image, son désir de nouveauté et son cahier des charges (les clins d'oeil aux films d'avant sont pas ouf, le côté catho-exorcisme non plus) on sent bien que c'est l'amour du gore qui l'anime.
La critique complète est disponible sur le site Première
IGN France
par Tarek Diouri-Adequin
Malgré de beaux efforts sur les aspects gores et les décors du film, Evil Dead Rise s’emmêle les pinceaux et en étant ni trop sérieux, ni trop déjanté, il peine à se distinguer dans le monde des films d’horreur.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Télé Loisirs
par M.L.
Un film parfois habile mais surtout redondant.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Moins potache parce que moins fauché, cet épisode presque trop sérieux ravira surtout les fans d’hémoglobine en cascade.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Les litres d’hémoglobine déversés pour ce nouvel opus ne suffisent pourtant pas vraiment à lever les passions.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
« Evil Dead Rise » réjouit par son « fan service » assumé et ses références aux classiques du cinéma d’horreur.
Filmsactu
Evil Dead n'a pas fini de faire fantasmer les fans d'horreur. Sur grand écran, c'est franchement jouissif.
Le Parisien
Après un début en fanfare, et un superbe générique de présentation, l’action connaît une petite demi-heure de mou, avant qu’on ne passe aux choses sérieuses. L’horreur va ensuite crescendo, pour un résultat qui justifie le classement dans la catégorie « interdit aux moins de 16 ans ».
Mad Movies
Cronin signe un film parfaitement dosé entre l'hommage sincère, la réinterprétation maligne et le gore outrancier, et parvient à trouer un équilibre convaincant entre les deux extrêmes de la franchise (l'attitude rigolarde des Raimi et le sérieux imperturbable du Alvarez).
Voici
Un remake du film culte de Sam Raimi totalement dénué d'ironie et au sadisme raffiné qui devrait combler les amateurs du genre.
Ecran Large
Beaucoup moins bien écrit et un poil plus artificiel, Evil Dead Rise souffre de la comparaison avec le remake, mais n'en reste pas moins un tour de montagne russe gore hautement recommandable à qui aime la charcuterie fraiche.
L'Obs
C’est bien fichu, efficace et sans âme, symptomatique d’une industrie peu encline à repenser les mythologies pop et qui n’en exploite que les artifices.
Le Journal du Dimanche
Cette suite fort réjouissante adopte la radicalité et le jusqu’au-boutisme de l’original, et y va à fond, sans inhibition.
Libération
A partir d’un synopsis approximatif, Lee Cronin joue la carte du grand guignol zombiesque et signe une sanglante variation familiale de la série créée par Sam Raimi en 1981.
Première
Si Cronin ne parvient pas trop à équilibrer, au fond, son écriture et son image, son désir de nouveauté et son cahier des charges (les clins d'oeil aux films d'avant sont pas ouf, le côté catho-exorcisme non plus) on sent bien que c'est l'amour du gore qui l'anime.
IGN France
Malgré de beaux efforts sur les aspects gores et les décors du film, Evil Dead Rise s’emmêle les pinceaux et en étant ni trop sérieux, ni trop déjanté, il peine à se distinguer dans le monde des films d’horreur.
Télé Loisirs
Un film parfois habile mais surtout redondant.
Télérama
Moins potache parce que moins fauché, cet épisode presque trop sérieux ravira surtout les fans d’hémoglobine en cascade.
aVoir-aLire.com
Les litres d’hémoglobine déversés pour ce nouvel opus ne suffisent pourtant pas vraiment à lever les passions.