Simon le Magicien a été présenté en sélection officielle au Festival de Berlin 1999.
Alternant comédies (Shooting fish) et drames (Under the skin, Resurrection man), Stuart Towsend a démontré l'étendue de sa palette. Il l'a prouvé sous la direction de Michael Winterbottom (Wonderland) et Michel Blanc (Mauvaise passe).
Révélé par son rôle dans Shine (Scott Hicks, 1996), Noah Taylor a notamment joué dans Welcome to Woop Woop (Stephan Elliott, 1997) et True love ans chaos (Stavros Kazantzidis, 1997).
Cet Anglais a débuté au théâtre avant de réaliser quelques courts métrages, dont le remarqué National Achievement Day (1995).
Il signe avec Simon le Magicien son premier long métrage.
Depuis, Ben Hopkins a réalisé The nine lives of Tomas Katz, primé au Festival de la science-fiction de Nantes, Utopia 2000.
« Jadis, on punissait les païens en les attachant par les pieds la tête en bas et en leur faisant brûler la plante des pieds. Effectivement, sur les vitraux de certaines églises du 13ème siècle, Simon le Magicien est représenté la tête en bas. Ce personnage de Simon le Magicien revient couramment dans les légendes populaires du début de la chrétienté. Pour les romains catholiques, Simon incarnait la magie chrétienne. Plusieurs légendes vont dans ce sens. »