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    Autant en emporte le vent
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    354 critiques spectateurs

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    Christobalx
    Christobalx

    9 abonnés 334 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mars 2023
    Un monument du cinéma hollywoodien d'époque, avec d'immenses acteurs de l'âge d'or sur toile de fond de guerre de sécession. Les costumes sont grandioses. L'histoire très romanesque, à la fois romantique et triste. Un chef d'œuvre que l'on se doit d'avoir vu dans sa vie. Je ne pourrais en dire plus, tout est dit.

    Ceci dit, je dois dire que je suis choquée par la récente polémique de HBO qui a décidé d'enlever le film de sa plate-forme pour cause de "préjugés racistes" dans celui-ci ! Où comment salir un chef-d'œuvre !! Arrêtez de cracher sur les films qui ont fait naître le cinéma !!
    Flubber Games
    Flubber Games

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 janvier 2024
    Meilleur film de l'histoire du cinéma , à voir au moins une fois dans sa vie pour se faire sa propre idée.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 561 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 mai 2021
    Le film est truffé de faux sentiment de postures et de stratégies sociales. Scarlett O'Hara est tout simplement un personnage terrible. Elle crie pleure et se plaint. Elle est faible folle des garçons et désespérément amoureuse. Elle gifle Prissy et lui dit qu'elle va vendre son sud. Scarlett est manipulatrice, menteuse, trompeuse, amoureuse et obsédée par son apparence. Et toutes ses tribulations sont soulignées par une musique mélodramatique et une météo sinistre. Même les scènes qui seraient autrement merveilleuses ne le sont pas. Le contraste entre l'arbre Scarlett et son père et le soleil couchant est tout simplement parfait. Mais il a pour but de faire avancer le mythe du vieux Sud idyllique. Après l'attaque d'Atlanta la caméra montre la terre couverte de soldats et remonte jusqu'au drapeau confédéré. Bien que tournée de manière experte la scène est utilisée pour susciter la sympathie pour la cause perdue. Ce film est en concurrence avec Naissance d'une Nation pour le titre de film terrible le plus célèbre de tous les temps. Autant en emporte le vent est moins raciste mais beaucoup plus célébré que Naissance d'une nation. Compte tenu de ces deux critères il est difficile de dire lequel est le pire. Naissance d'une nation a été rayé du Top 100 des films de l'AFI tandis que Autant en emporte le vent est toujours perché à la quatrième place. La raison en est qu'il est bien pire et pernicieux qu'il n'est inoffensif...
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 151 abonnés 5 135 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 février 2015
    Du grand cinéma. Dur de faire une critique si courte soit-elle d'un sommet du 7eme art. C'est une fresque magnifique, non dénuée d'humour et de grandeur d'âme. Une énorme réussite
    Alasky
    Alasky

    350 abonnés 3 402 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2021
    Magistral. Tout a déjà été dit sur ce film de l'âge d'or du Cinéma hollywoodien. Le charme désuet de ce film fascine toujours des décennies après sa sortie, la réalisation et l'esthétique du film sont léchées, impeccables. Les couleurs, les décors et les costumes sont somptueux. La musique est sublime, elle me file des frissons encore aujourd'hui. Le couple à l'affiche Clark Gable/Vivien Leigh est vraiment très beau et un des plus charismatiques de l'histoire du Cinéma.
    evariste75
    evariste75

    154 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2024
    Ce film est beaucoup trop long ! Je suggérerais qu'il soit recoupé et ramené à une durée plus raisonnable de 2h45 .... Vivien Leigh joue un personnage extraordinaire aux multiples facettes, très fort et très émouvant à la fois.... En revanche le personnage incarné par Clark Gable est trop monolithique, cynique, violent, 2nd degré pour que l'on s'y interesse vraiment...
    Bruno François-Boucher
    Bruno François-Boucher

    109 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 septembre 2020
    Impressionnant de par l’ampleur de ses moyens, la qualité et la fluidité de sa mise en scène, pas le moindre petit détail ne lui échappe. Le plus grand mélodrame de l’Histoire du Cinéma tient encore sacrément le coup 80 ans plus tard. Si l’entreprise surprend toujours pour sa beauté formelle et le réalisme de certaines séquences (la fuite des habitants d’Atlanta avant l’arrivée des nordistes) c’est la modernité et la puissance d’interprétation de Vivien Leigh qui frappe avant tout. Le personnage de Scarlett O’Hara était une partition géniale que la jeune actrice alors âgée de 29 ans a transcendé. On sait que Vivien Leigh après avoir lu le roman lors de sa parution en 1936 s’est immédiatement identifiée au destin du personnage. Elle embarqua pour les Etats-Unis dès qu’elle sut le film en préparation, persuadée d’emporter le rôle de Scarlett.
    La magnificence des décors de Lyle Wheeler, les somptueux costumes de Walter Plunkett et la splendide photographie de Ernest Haller et Ray Rennahan continuent de nous éblouir. L’émotion, intacte, parcourt le spectateur tout au long des passionnantes 3h 40 de projection. Il ne faut pas oublier, rappelle Olivier Eyquem, la contribution majeure du production designer William Cameron Menzies. Il a peint chaque plan et son travail était si minutieux qu'ils « suffisait » de suivre ses indications. C'est lui qui avec Selznick a donné au film son unité. Lyle Wheeler, son directeur artistique, est devenu un pilier de la Fox où il a contribué à quantité de grands films.
    Il serait vain et stupide de vouloir limiter le film à une vision raciste et rétrograde qui faillit aboutir récemment à son interdiction. Remercions Spike Lee dont on connaît la dureté de l’engagement de s’élever contre une telle aberration. Lee insiste à juste titre pour que le film soit montré dans les écoles pour ses qualités cinématographiques et aussi comme témoin d’une vision de l’esclavage dans l’époque où il a été tourné afin d’alerter la conscience des jeunes générations tout en mesurant l’importance du chemin parcouru dans les films depuis.
    Michael78420
    Michael78420

    45 abonnés 1 447 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 août 2024
    Voir pour la première fois en 2024 un film sorti en 1939 et ne pas s'ennuyer une seconde pendant quatre heures. Ce film avait quatre-vingt-cinq ans lorsque je l'ai vu, dans une version précédée d'un cartouche prévenant le spectateur des propos racistes tenus dans le film. Remise en contexte historique oblige... Scarlett O'Hara (Vivien Leigh), la chaudasse du comté, aguiche tous les hommes qui passent à sa portée pour qu'ils se détournent de leurs conquêtes, tandis qu'elle ne pense en réalité qu'à Ashley Wilkes (Leslie Howard). Manipulatrice des hommes, elle n'hésite pas à se marier par intérêt avec ce brave Kennedy au détriment de sa propre sœur. De son côté Rhett Butler (Clark Gable) commence dès le départ par dire la vérité sur l'issue prévisible de la Guerre de Sécession, ce que les Sudistes ne supportent pas (de tout temps les gens n'aiment pas qu'on leur dise la vérité...). Les deux héros s'attirent sans s'aimer, Butler allant jusqu'à dire à Scarlett : "Vous ne valez pas trois cents dollars, vous ne pouvez apporter que de la souffrance à un homme." Ce qui ne l'empêchera pas de la demander en mariage, allez comprendre ! Ou encore, exaspéré par Scarlett, Buttler s'exclame : "Je me suis toujours dit qu'une raclée avec un bon fouet vous ferait un bien immense !" Les deux sont des personnages étonnamment modernes bien que le début de l'action se déroule en 1861. Elle faisant tout pour son indépendance financière. Lui s'occupait de sa fille comme un papa aimant, en se résignant à la ramener à Scarlett : "Rien ne remplace une mère, même quand elle n'est pas à la hauteur de sa tâche." Les décors sont grandioses, les images sont belles et n'ont pas à rougir des hautes définitions actuelles. Seule la musique m'a parue excessive, comme souvent dans les films des années 1930-1950. Un film à voir absolument.
    Gwen R
    Gwen R

    47 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 janvier 2024
    Une récit romanesque dans un sud esclavagiste (certes polissé) qui se concentre sur une héroine "attachiante" qui s'attache à un rêve amoureux et passe à coté de l'amour. Sa vie et celle de a terre du sud se confondent; s'éffondrent dans une photographie sublime.
    SB88
    SB88

    24 abonnés 1 160 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 août 2024
    Le doublage en français donne au personnage de Scarlette qqch d’enfantin et insupportable. Les jeunes hommes sont heureux de partir à la guerre (ah bon ?) et les femmes douces et naïves. On est bien dans un autre temps ! Pour un film de 1936, la réalisation est magnifique et le jeu "moderne"
    Par moment, ça m’a fait penser aux "oiseaux se cachent pour mourir" dans l’amour définitif et faisant souffrir. Les personnages vieillissent mais pas physiquement !
    À voir pour le côté classique !
    3,6/5
    ronny1
    ronny1

    36 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juin 2020
    « Gone with the Wind » est le film de tous les records. Le plus grand nombre d’entrée, la plus grosse recette, le film le plus vu avec « Wizard of Oz » grâce à des ventes vidéo significatives. Considéré comme un des plus grands films de l’histoire du cinéma, il bénéficie donc d’une surestimation évidente. Cocktail souffrant d’un mélange peu homogène. D’un côté les délires baroques et spectaculaires : l’incendie de la gare d’Atlanta, les ciels rouges, les escaliers monumentaux, les soldats mourants par milliers à même le sol (première grande grue de l’histoire du cinéma) qui sont la marque de David O’Selznick (le sommet sera atteint par « Duel au soleil » réalisé en 1946 par King Vidor) et son designer et réalisateur deuxième équipe, William Cameron Menzies. De l’autre un film d’amour tantôt délicat (Cukor), tantôt brutal (Fleming), parfois déchirant avec des ruptures de ton qui font perdre le rythme, générant ci et là quelques bâillements. Malgré la grandeur du sujet cinématographique, le film peine ainsi à assumer ses envolées. Fidèle au roman, la première partie, avec quelques raccourcis, fonctionne bien, marqué par la pâte fluide de Ben Hecht. La suite est caractéristique des réserves décrites plus haut. Margaret Mitchell, vraie sudiste dont les deux grands pères officiers dans l’armée confédérée furent blessés pendant la guerre de sécession, hait les yankees. Le film aborde trop peu les véritables raisons de la guerre : s’approprier l’économie des états du Sud (ah, Wall Street déjà !), en prétextant l’abolition de l’esclavage (un siècle et demi plus tard ce n’est toujours pas gagné pour les afro américains). Il a néanmoins le mérite d’être le premier film parlant qui prend résolument le parti du sud en montrant une image peu flatteuse des nordistes. Il décrit aussi avec beaucoup de justesse les va-t’en guerre excités qui n’écoutent pas la voix de la sagesse (Ashley) ou de la logique (Rhett). Sur le fond les ligues aussi puritaines qu’hypocrites (ça va généralement de pair) reprochèrent un côté raciste et rétrograde au récit. L’esclavage aboli, la grande majorité des afro américains connurent un autre type d’esclavage : celui du travail, avec ses ghettos, ses salaires de misères, ses cadences infernales, les famines, le repos inexistant et son cortège de morts par épuisement. Puis le chômage et le désespoir. De plus jusqu’à la seconde guerre mondiale, par la chasse aux « niggerss », ceux qui furent soit écorchés, soit brulés vifs, se comptaient par dizaines chaque weekend dans les états du sud est des Etats Unis (faits qui brillent par leur absence au sein du cinéma américain jusqu’à la fin des années soixante). C’est dans ce contexte que Margaret Mitchell écrivit son roman, plus qu’ambigüe vis à vis du Ku Klux Klan. Gommant cet aspect, le film retranscrit plutôt bien les maîtres bienveillants, Mamy faisant presque partie de la famille, a tel point que certaines ligues (majoritairement New Yorkaises) reprochèrent à Hattie McDaniel son rôle. Elle répondit qu’elle préférait gagner 700 $ (28 000 $ actuels) par semaine en jouant une servante, que d’en gagner 7 en en étant une). Le nouvel ordre yankee est suggéré lors de la scène des travailleurs bagnards dont le traitement horrifie Scarlett. Une fois ces remarques sur le fond évacuées reste l’interprétation (oscarisée) parfois outrancière de Vivien Leigh (la performance la plus longue connue à ce jour) au sein d’un casting féminin de qualité, avec une Olivia de Havilland très sobre, une Hattie McDaniel qui apporte un peu de profondeur à un rôle caricatural et des deuxième rôles qui font le job. Côté mâle, face à l’excellent Clark Gable (comme toujours), un Leslie Howard qui apporte beaucoup de finesse au seul personnage subtil du film. Avec 222 minutes (plus ouvertures, intermèdes et final), ce très très long métrage, parfois très très long, est davantage l’œuvre monumentale d’un directeur artistique que celle d’un véritable réalisateur.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 094 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mai 2022
    Au-delà de(s) l'histoire(s) de coeur de Scarlett, Autant en Emporte le Vent nous montre la guerre de Sécession et le choc entre le Nord et le Sud.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 363 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 juillet 2020
    “Il était un pays de coton qu’on appelait le Sud. On y trouvait le meilleur de la galanterie, des chevaliers et des dames, des maîtres et des esclaves. Mais tout ceci n’existe plus qu’en rêve. Le vent a emporté cette civilisation.” Réalisé en 1939, la phrase introductive du film “Autant en emporte le vent” a de quoi nous faire bondir aujourd’hui, car cela signifie qu’il était bon d’avoir des esclaves. Pourtant “Autant en emporte le vent” est un classique de la littérature puis cinématographique. L’action se déroule en Georgie en 1891. Scarlett O’Hara est une jeune femme de la haute société sudiste. C’est une femme qui a de nombreux soupirants à ses sabots mais qui ne se satisfait pas de ne pas les avoir tous, une femme qui se trouve trop jeune et trop belle pour se vêtir en veuve, une femme qui traite les noirs comme des enfants, une femme égoïste qui semble bien loin des réalités de la guerre de Sécession qui éclate. Au fur et à mesure que l’intrigue avance, sa personnalité se complexifie et son amour impossible avec Ashley se transforme en véritable tragédie. La reconstitution des décors et des costumes, les dramaturgies et les bons sentiments font d’“Autant en emporte le vent” une fresque de quatre heures épiques et mémorables.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Eselce
    Eselce

    1 395 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2015
    Plus de 3 heures de film sur la fin d'une époque et la jeune, belle et impitoyable Scarlett. Aujourd'hui, il est difficile de regarder "Autant en emporte le vent" d'une seule traite. Le personnage de "Scarlett" est sans doute le mieux interprété. L'histoire n'est pas mauvaise et les décors superbes. Mais les histoires d'amour à l'eau de rose et les nombreuses niaiseries du film forment une boule d'ennui. Il a mal vieilli sur le début et est à réserver à la gente féminine à mon goût. Bien que la dernière demie-heure est assez grandiose.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 novembre 2007
    Autant le dire d'emblée, "Autant en emporte le vent" (1950) est une grosse production Hollywoodienne qui se démarque par sa grandeur technique plus que pour son expérimentation sensorielle. Car il est vrai l'image est belle, peut-être trop, à l'image de ce couché de soleil récurrent qui renvoie aux clichés cartes postales. Car voilà tout, c'est une carte postale cinématographique, au même titre que "Ben Hur" et "Titanic", avec le rythme plaisant en moins. Mise à part dans la seconde partie où l'intrigue à la dramatique montante nous laisse émerveillé d'autant qu'il est excitant de voir la bourgeoisie Georgienne et Scarlett O'Hara, désagréable à souhait, en pleine décadence. Parlons-en de Scarlett O'Hara : Une interprétation signée Vivien Leigh, un rôle d'actrice surprenant tant on s'éprend à adorer la détester. Au même titre que Clark Gable, plus cabotin, qui réserve son lot de comportements machistes et répugnants. Là où Victor Fleming réussit merveilleusement c'est dans le chemin que le film prend lorsqu'il évoque la douloureuse destinée de ses personnages durant le conflit historique de la guerre de Sécession, de même que sur la construction évidemment difficile d'une femme dont l'égocentricité et la méchanceté grandissante sera payé par un destin éminnement malheureux. En revanche, tout n'est pas parfait. La scène de danse n'arrive pas à la cheville d'une réalisation Visconti, la scène festive n'atteint guère une séquence à la Cimino, une dramaturgie bien en dessous d'un certain "Barry Lyndon" de Kubrick et un formalisme dans le traitement qui ferait sourire un Bergman. Et avons-le, certaines séquences nous accablent d'ennui.
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