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    Autant en emporte le vent
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    354 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 mars 2021
    Pour beaucoup "Autant en emporte le Vent", la grandiose adaptation du roman éponyme de Margareth Mitchell par le réalisateur Victor Flemming (Le Magicien d'Oz) est une des œuvres maîtresses du 7ème art. Presque quatre-vingt-deux ans après sa sortie, qu'en reste-t-il ? Voici, ce que j’ai penser du film.

    Tout d’abord, pour bien comprendre le film, il faut savoir que l’histoire se base dans l’Amérique ségrégationniste. Et plus en particulier dans le Sud opposé à l’abolition de l’esclavage, car cela voudrait dire que c’est la fin d’un système économique qui permet aux plus riches de s’enrichir et mettrez en péril toute leurs affaires. Scarlett O’Hara, est la fille d’un de ces riches propriétaires. Rebelle, caractérielle, profondément égocentrique. Cette jeune femme est comme la plupart de toutes les demoiselles de son époque, obnubilé par une seule chose : le mariage. Au cours d’une réception, alors qu’elle vient d’accepter une demande en mariage pour pallier sa détresse amoureuse précédente, elle fait la rencontre de Rhet Butler, un homme à la réputation sulfureuse…

    Je pense que ce qui fait que le film est resté dans les mémoires, c’est en premier toute les scènes d’actions. En effet que ce soit les batailles entre sudistes et nordistes ou l’impressionnante scène de l’incendie de Tara, elles sont aussi bien à coupés le souffle qu’assez proche de la réalité historique, je pense. Même pour ceux qui n’auront pas lu le roman, on aura l’impression d’y être et de déjà tout connaître. Quand les fidèles lecteurs auront l’impression que ces scènes surgissent des pages de Mme Mitchell. Pour l’époque, les effets spéciaux étaient prodigieux, et même encore aujourd’hui il reste assez déroutant. La photographie est très belle, les décors et les costumes sont magnifique…De ce point de vu, c’est-à-dire juste artistiquement, le film est un chef d’œuvre. Même si le technicolor et les images ont vieilli, il y a quelques chose en elle qui reste frais, naturelle, et éblouissant.

    Ensuite, je pense que ce film mérite d’être vu, car il nous offre une critique riche et complexe de la mentalité des sudistes, vu comme les méchants. Savoir s’il étaient racistes ou non ? Méchants réellement ou non ? Ici, ce sont des débats stériles. On nous décrit un mode de vie. D’un côté la vie de ces « blancs » faites d’oisiveté, de fête, et de jouissance, et de l’autre les gens de la classe ouvrière qui triment pour un rien. Que ce soit certes, les esclaves qui c’est vrai ne sont pas épargnés de clichés en tout genre (j’ai pour ma part beaucoup aimé le personnage de Suellen, et adoré la composition de Hattie Mc Daniels qui campe une Mama autoritaire, fidèle, compatissante bref profondément gentille) ou le personnage de la prostitué. Qui en dépit de sa mauvaise vie, est la femme la plus juste et honnête avec le personnage de Mélanie (jouée par Olivia de Havilland).

    A ce propos, le personnage iconique de Scarlett O’Hara est l’incarnation parfaite de cette mentalité sudiste. Egocentrique, jalouse, manipulatrice…cette femme est une vraie garce, prête à tout. Vivien Leigh l’incarne à la perfection. Je n’ai jamais vu autant de passion, de détails et de complexité retranscrite à l’écran dans un jeu d’acteur. En voyant cela, on se dit que Vivien Leigh n’a pas volé son oscar de la meilleure actrice. Elle est tout simplement éblouissante dans ce rôle qui lui va si bien. Elle réussi à nous faire aimer, et compatir au sort d’un personnage qu’on devrait profondément haïr. Ce qui est hyper intéressant chez ce personnage, c’est toutes les phases par lesquelles, elle passe. Garce au début, elle se révèle au cours du film courageuse, rebelle, indépendante, jalouse, amoureuse…pourtant il faut que la malheureuse touche le fond du trou pour apprendre à se relever. Sa dernière réplique en anglais « After all, tomorrow is another day » sonne alors comme un coup de poignard en même temps qu’un cri d’espérance. Vivien Leigh sublime cela dans sa prestation. Aucune actrice ne pouvait mieux convenir au rôle, même encore aujourd’hui. Scarlett était Vivien et Vivien était Scarlett. On comprends mieux au vu de sa prestation, pourquoi l’actrice s’est battue pour obtenir le rôle.

    Quant au personnage de Rhet Butler, je serais moins favorable. Je le trouve, il est vrai, vraiment détestable. On a qu’une envie le gifler tout du long. Et Clark Gable m’a horripilé durant tout le film. Macho, violent, vulgaire…j’ai vraiment du mal à apprécier à la fois le rôle et le personnage. Son rôle est mal écrit, tout comme sa romance avec Scarlett. J’espère que dans le roman, il est mieux que cela. Parce que je suis vraiment déçu du rôle et de l’acteur. Une des raisons qui fait que je le haïs est qu’il force en permanence Scarlett à l’embrasser alors qu’elle le repousse, ou qu’il l’emmène de force dans leurs chambres après leurs mariages, après une nouvelle dispute violente. Se sont-ils réconciliés, ou l’a-t-il violé ? Le mystère reste entier…L’histoire d’un bad boy qui change au contact de sa belle et douce aurait pu être intéressant, si ici elle avait été bien écrite, exploiter correctement et traité avec respect. Est-ce un problème lié au roman ou non ? Je ne sais rien. Le fait est que cette relation me paraît malsaine et je ne vois pas d’amour. Cela étant, je suis d’accord, il faut remettre les choses dans le contexte de l’époque. Mais quand même ! Non, je pense que le rôle nécessiterait un gros travail de réécriture afin de le rendre plus humain et moins macho et violent. Avec un acteur moins brut de décauffrage.

    Enfin, pour moi la force d’« Autant en emporte le vent » est que le film est une saga familiale. Je m’explique. D’une durée de près de quatre heures, on en apprécie la qualité et chaque détail si on regarde petit bout par petit bout. Toute une soirée ne suffirait pas. Le film étant tellement foisonnant tout comme le livre j’imagine (vu qu’il y a 3 Tomes), fourni, détaillé…

    Ce film c’est aussi une musique de film légendaire signé Max Steiner qui ne vous laisseras pas indemne. Grandiose, clinquante…elle est tout ce que l’on peut aimer dans le cinéma américain et le 7ème art en générale. Le thème de Tara, est sans doute le plus connus de cette superbe bande-originale et le meilleur de tous.

    Si il n’est pas un chef d’œuvre, pour moi Autant en emporte le vent n’en reste pas moins un classique qu’il faut avoir vu à la fois avec recul et mise en relation avec l’époque. Malgré pas mal de défaut, le film a également de grandes qualités à ne pas négligés. De toute façon, je pense qu’un visionnage et une minable critique n’arriverait pas à expliquer tous les enjeux du film. Cela reste tout de même pour moi une jolie surprise à défaut d’être un coup de cœur. Il y a une belle morale de fin, et ce personnage de Scarlett est l’un des plus beaux.
    Guillaume182
    Guillaume182

    130 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 décembre 2011
    Un très grand classique du cinéma qui est resté très populaire.

    Le film aux dix oscars!!

    De gros moyens ont été mis en oeuvre afin de pouvoir réaliser ce film aux décors grandioses et aux costumes splendides mis au service d'une histoire riche qui ne manque pas de rebondissements et de dramaturgie.
    Entre cupidité, ambitions, dès-amour et amour les personnages principaux on du mal à s'en sortir

    Rarement on aura vu d'aussi bons acteurs dans un film, pourtant l'exercice ne devait être facile, il faut savoir jouer avec beaucoup d'émotions, car dans ce film il se passe beaucoup de choses.

    Gable et Leigh sont des acteurs géniaux!

    Autant en emporte le vent un chef-d'oeuvre captivant du début jusqu'à la fin.
    bidulle3
    bidulle3

    66 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 décembre 2009
    dans l'etat de georgie, une riche famille irlandaise vie grace a l'amour de sa terre, mais on est a la veille d'une guerre entre nordiste et sudiste, la famille O'hara va etre en est un dommage colateral.
    agé de seize ans, la jeune scarlett O'hara (vivien leigh) est amoureuse du seduisant ashley (leslie howard), mais ce dernier va se marier avec melanie hamilton (ollivia de havilland) c'est alors que scarlett va etre jallouse de cette derniere et va se mettre a la hair.
    mais scarlett va faire la rencontre de rhett butler (clarke gable), c'est alors qu'il s'epprend d'amour pour scarlett O'hara, va t'il pouvoir surmonté cette amour impossible ...
    victor fleming signe avec autant en emporte le vent l'un des plus grand film de l'histoire du cinema, outre l'histoire d'amour, on y voit une amerique en feu, en guerre qui lutte contre la faim, l'honneur des homme sur le front.
    clarke gable est parfait dans un role sur mesure, aimant une femme qui ne l'aime pas, mais de fait de ces immense sentiment, il attendra l'amour de celle pour qui il n'a jamais autant aimé d'autre femme.
    la virtuosité de la realisation est magnifique, les paysage avec les couché de soleil sont inoubliable, un grand chef d'oeuvre
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2024
    J'ai vu "Autant en emporte le vent" au cinéma dans les années 80 et, à l'époque, un entracte était proposé à la moitié du film. Je l'ai revu d'une seule traite sur ARTE pendant les fêtes et j'avoue que les émotions d'il y a quarante ans restent les mêmes. "Autant en emporte le vent" est le « plus grand film de tous les temps ». Je ne vais pas répéter les éloges de mes collègues sur le site, mais aborder l'angle de la personnalité de la sulfureuse Vivien Leigh. Dès les premières minutes, nous sommes confrontés à une personnalité narcissique, manipulatrice et menteuse. Rhett Butler dit à un moment que Scarlett et lui sont (profondément) égoïstes ; narcissique serait plus juste et Scarlett est beaucoup plus perverse que lui, ses agissements provoquant jusqu'à la destruction physique de l'autre. Les personnalités narcissiques sont des destructeurs, imbus de leur personne et pratiquant le « Moi je » à outrance. Seule l'empathie et la bienveillance de la merveilleuse Olivia de Havilland, la seule capable d'influencer en bien, permettent de canaliser par à-coups les pulsions destructrices de Scarlett. Chasser le naturel, il revient au galop ; Scarlett n'est pas dans le déni amoureux, elle n'a pas d'émotions positives et ne peut aimer (ses maris, sa fille, ses sœurs…). Alors, elle se raccroche à la terre, objet physique et symbolique dénué d'émotions pour justifier qui elle est. Sa blessure narcissique est bien trop grande. Un film unique et intemporel porté par des acteurs exceptionnel. « The » chef-d'œuvre, par excellence. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    107 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mars 2014
    Bien sûr, les dialogues et le jeu des acteurs/actrices sont désuets. Cependant, ce film dégage tant d'émotions, la complexités des personnages est telle, le contexte historique également, qu'on ne peut qu'être séduit, même soixante quinze ans plus tard, par ce chef d'œuvre du cinéma. Absolument indispensable...
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    195 abonnés 2 511 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 octobre 2016
    Très beau film de Victor Fleming, qui mérite vraiment son statut de chef-d’œuvre.
    Les acteurs sont impeccables. Clark Gable est génial, et fait preuve d'un charisme sans avoir à forcer. Vivien Leigh est absolument excellente, difficile de ne pas succomber à son charme. Son personnage, très complexe est très attachant et son évolution est très intéressante (passante de la jeune séductrice capricieuse à la femme battante). Leslie Howard et Olivia de Havilland sont très bien également.
    Le seul défaut du film est son incroyable longueur (presque quatre heures). Bref, il faut avoir du temps devant soi pour se lancer dans ce film.
    L'histoire est sublime, une grande partie du mérite revient à Margarett Mitchell (l'auteure du livre). Les décors sont sublimes.
    À voir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 juin 2010
    Naturellement, ce film est très marqué par une idéologie "yabon banania" et "le Sud c'était quand même sympa avec ses belles maisons à colonnes blanches". Plus aucun studio ne sortirait un film comme ça tel quel aujourd'hui de peur de voir 15 000 associations lui tomber sur le dos (voir le massacre de "l'intégrale" Tex Avery sortie récemment en coffret). Si on fait abstraction des côtés déplaisants pour un spectateur du XXIe s., il reste un bon mélo, bien larmoyant, un peu lourd parfois. Si Vivien Leigh est excellente, le point fort du film c'est Clark Gable, absolument GEANT dans ce rôle de canaille cynique et très sympathique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mars 2018
    Un chef d'œuvre culte, magnifique et fabuleux du septième art avec des acteurs excellents, une BO marquante et un scénario bien écrit.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 avril 2012
    Induit en erreur par les affiches et les photos du film top glamour qui sont passées devant mes yeux de temps en temps dans ma vie, je supposais que la relation sentimentale liant les personnages de la craquante Vivien Leigh et de l'épais Clark Gable constituait la quintessence du romantisme niais et simplet (un peu comme celle entre le blondinet efféminé et la boulotte rousse dans cet autre film de plus de trois heures où un gros bateau coule à la fin) ; or, cette relation est en fait tout le contraire : il s'agirait plutôt d'une anti-histoire d'amour dans la mesure où l'union entre les antipathiques Scarlett O'Hara et Rhett Butler est surtout motivée par des intérêts personnels, intérêts pécuniaires pour la première, intérêts du sang pour le second ; d'une manière générale, la tonalité du film se révèle amère et cynique puisque sont croqués, plutôt habilement, ces grands travers humains qui empêchent tout optimisme concernant l'avenir de l'Homme (cupidité, vanité, repli sur soi, individualisme, hypocrisie et jalousie sociales, etc. (on n'est pas loin de tout ce qui fait le sel des romans de Balzac, là)) (pour finir, si je ne mets pas quatre étoiles au film, c'est parce qu'il développe une espèce de patriotisme pro-Sud qui m'a assez gêné, patriotisme se traduisant par un véritable angélisme quant à la représentation de l'esclavage, une diabolisation excessive des Nordistes et, à demi-mot, par une apologie de la justice personnelle).
    pi93joe
    pi93joe

    12 abonnés 521 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2011
    J'ai trouvé l'histoire excellente, le film réaliste et bien construit, de meme que les décors. Je respecte profondément Vivien Leigh, dont la performance m'a fait insulter son personnage durant tout le film et j'aurais mis plus si le film n'avait pas été aussi long !
    Gabriel B
    Gabriel B

    5 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 septembre 2012
    Chef d’œuvre incontestable. Ce film aura 100 ans qu'il n'aura pas encore vieilli.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 juillet 2019
    Ce chef d'œuvre est un classique du cinéma, un immanquable. Pourquoi ? Bah, ces 4 heures de grand spectacle (qui passent très vite, d'ailleurs) montrant l'histoire d'amour entre Scarlett O'hara et Rhett Butler sur fond de guerre de Sécession (ils sont eux dans le camp des sudistes) sont juste magnifiques : la photographie (d'ailleurs récompensée par un Oscar) est belle, sublimant de nombreux plans -la mise en scène étant elle aussi très bonne. Les acteurs sont tous très bons (Viven Leigh et Clark Gable sont excellents), les personnages intéressants, et l'histoire excellente. Alors oui, il y a un caractère raciste dans certaines scènes, mais le livre dont est adapté le film, écrit par Margaret Mitchell (ancienne sudiste), qui elle, est une vraie raciste, l'est bien plus (il vante le Ku Klux Klan). Les producteurs et réalisateurs ayant largement atténué ce ton là, personne ne remarque ou presque le ton raciste du film (moi, on me l'a dit avant visionnage). Bref, un chef d'œuvre très bien interprété, aux couleurs éblouissantes, aux scènes mémorables et aux personnages travaillés. Un chef d'œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 octobre 2009
    Aucun budget, aucun charisme, aucune mise en scène... La magie n'opère jamais.
    Simplicissimus
    Simplicissimus

    8 abonnés 189 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2018
    Le film des superlatifs: 10 Oscars, oeuvre peut-être la plus célèbre de toute l'histoire du cinéma,la plus emblématique,en tout cas,de l'âge d'or des grands studios hollywoodiens,de ses stars et de ses "tycoons".
    Drame plutôt que mélodrame,"Autant en emporte le vent" se subdivise en deux parties: une peinture à fresque de la société du sud avant et pendant la guerre de Sécession,avec les grands mouvements de foule(le grand bal,le siège d'Atlanta) de la première partie;la focalisation sur les rapports tumultueux et passionnels du couple Rhett Butler/Scarlett O Hara dans la seconde partie.
    Qui d'autre que Clark Gable aurait pu jouer Rhett Butler?
    On se le demande encore à voir l'acteur apporter son naturel,sa raillerie et son charme viril à cette canaille sympathique de Rhett Butler...
    Pour incarner Scarlett O Hara, la production n'avait pas intérêt à se tromper dans le choix de l'actrice: le personnage est présent de la première à la dernière scène du film,quand Gable ne fait des apparitions que de loin en loin, dans la première partie.
    L'anglaise Vivien Leigh crève l'écran: tour à tour mutine,spontanée,amoureuse,dure,calculatrice,elle compose un personnage de femme ambitieuse très moderne.
    Elle restera Scarlett O Hara devant l'éternité pour les cinéphiles et...pour les lecteurs de Margaret Mitchell.
    Il est intéressant de noter que par contraste avec le couple moderne aux relations âpres qu'elle forme avec Gable,le couple Ashley Wilkes/Mélanie Hamilton joués par Leslie Howard et Olivia de Havilland apparaît plus classique, comme représentatif des valeurs du vieux Sud, qui appartiennent au passé.
    Olivia de Havilland est lumineuse pour jouer la douce Mélanie; Leslie Howard n'a pas une tâche facile pour défendre le falot et mélancolique Asley Wilkes...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 décembre 2017
    Sans aucun doute l'un des beaux beaux film des années 50, le couple Clark Cable et Vivien Leigh est magistral. Le tableau est rehaussé de magnifiques couleurs et une leçon d'histoire sur la guerre de sécession. Peut être un peu long.
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