Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
L’ennui qu’il ressent, dans l'attente de passer à l'action, ne se communique pas à ce film palpitant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Les plus belles scènes de La Troisième Guerre sont précisément celles où les regards de ces sentinelles scrutant le monde trop familier qui les entoure composent un jeu de miroirs semblant tour à tour les masquer d'un voile d'étrangeté ou les renvoyer au contrait à leur part la plus aveugle et la plus intime.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Un premier long-métrage mature et maîtrisé, qui sonde avec pas mal d'intelligence le traumatisme et la paranoïa causés par le terrorisme.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le réalisateur traduit habilement les conséquences psychologiques d’un quotidien fait de vigilance et d’ennui en instaurant l’ambiance anxiogène d’un thriller paranoïaque ou d’un film de guerre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
La réussite du film tient à la dialectique subtile qu'il installe entre le dehors et le dedans.
Le Parisien
par Catherine Balle
Dans ce film percutant, porté par les impeccables Leïla Bekhti, Anthony Bajon et Karim Leklou, on découvre le travail singulier de ces soldats, qui consiste à traquer l’invisible en portant des armes de guerre, sans pouvoir intervenir face à des actes de délinquance.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Thierry Chèze
On a fini pourtant par ne plus voir ces militaires déployés après les attentats de janvier 2015. Giovanni Aloi est le premier à les raconter dans une fiction qui suit leur quotidien, remarquablement incarnés par Anthony Bajon, Leïla Bekhti et Karim Leklou dont la puissance tranquille fait oublier les maladresses d'un scénario parfois trop scolaire et explicatif.
Positif
par Baptiste Roux
Une odyssée de la stase et du bourbeux enlisement des espérances.
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Ce film sur l'attente et la frustration dresse le portrait d'un bleu (Anthony Bajon, excellent) qui, soumis à une tension insoutenable, finit par péter les plombs. Glaçant.
Télérama
par Jacques Morice
Un premier film audacieux, à l’atmosphère intrigante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Ce Désert des Tartares urbain, à la psychologie palpable, offre un nouveau rôle complexe au désormais incontournable Anthony Bajon.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Pour nos militaires confrontés à une guerre invisible, à la fois désœuvrés et aux aguets, c’est le « Désert des Tartares » en plein Paris. Sur un sujet jamais traité, ce film très réaliste frôle alors le surréalisme.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après La Prière de Cédric Kahn, Anthony Bajon, visage poupin et jeu intériorisé, confirme la gamme étendue de son jeu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Olivier Delcroix
On sort secoué de La Troisième Guerre. Ce drame, ni tout à fait film de guerre ni tout à fait polar, engendre un puissant sentiment de doute.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Un drame à l’intrigue attendue mais qui peut compter sur ses acteurs et un minutieux travail de documentation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
De plus en plus fantomatique et gagné par le brouillard, le film est convaincant lorsqu’il infuse cette étrangeté aux moindres recoins de la ville, passée au crible de subjectivités déréglées.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
L'ensemble reste prometteur, comme l'esquisse d'un grand film sur le sujet qui demanderait juste à être retravaillée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Bastien Gens
Si le film de Giovanni Aloi donne une impression de suffisance et d’artificialité, c’est peut-être à cause d’un certain manque de considération pour le milieu qu’il dépeint.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Ce chapelet d’idées crée hélas une trajectoire balisée comme si le film, pris dans les mailles d’un scénario trop occupé à énoncer, ne parvenait jamais vraiment à en dépasser les intentions.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
Si cette Troisième guerre parvient à capter une tension physique par la force de son incarnation, le scénario trop maladroit surligne et alourdit le propos.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Un film trop balisé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
L’ennui qu’il ressent, dans l'attente de passer à l'action, ne se communique pas à ce film palpitant.
Cahiers du Cinéma
Les plus belles scènes de La Troisième Guerre sont précisément celles où les regards de ces sentinelles scrutant le monde trop familier qui les entoure composent un jeu de miroirs semblant tour à tour les masquer d'un voile d'étrangeté ou les renvoyer au contrait à leur part la plus aveugle et la plus intime.
Ecran Large
Un premier long-métrage mature et maîtrisé, qui sonde avec pas mal d'intelligence le traumatisme et la paranoïa causés par le terrorisme.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur traduit habilement les conséquences psychologiques d’un quotidien fait de vigilance et d’ennui en instaurant l’ambiance anxiogène d’un thriller paranoïaque ou d’un film de guerre.
Le Monde
La réussite du film tient à la dialectique subtile qu'il installe entre le dehors et le dedans.
Le Parisien
Dans ce film percutant, porté par les impeccables Leïla Bekhti, Anthony Bajon et Karim Leklou, on découvre le travail singulier de ces soldats, qui consiste à traquer l’invisible en portant des armes de guerre, sans pouvoir intervenir face à des actes de délinquance.
Ouest France
On a fini pourtant par ne plus voir ces militaires déployés après les attentats de janvier 2015. Giovanni Aloi est le premier à les raconter dans une fiction qui suit leur quotidien, remarquablement incarnés par Anthony Bajon, Leïla Bekhti et Karim Leklou dont la puissance tranquille fait oublier les maladresses d'un scénario parfois trop scolaire et explicatif.
Positif
Une odyssée de la stase et du bourbeux enlisement des espérances.
Télé Loisirs
Ce film sur l'attente et la frustration dresse le portrait d'un bleu (Anthony Bajon, excellent) qui, soumis à une tension insoutenable, finit par péter les plombs. Glaçant.
Télérama
Un premier film audacieux, à l’atmosphère intrigante.
Voici
Ce Désert des Tartares urbain, à la psychologie palpable, offre un nouveau rôle complexe au désormais incontournable Anthony Bajon.
L'Obs
Pour nos militaires confrontés à une guerre invisible, à la fois désœuvrés et aux aguets, c’est le « Désert des Tartares » en plein Paris. Sur un sujet jamais traité, ce film très réaliste frôle alors le surréalisme.
La Croix
Après La Prière de Cédric Kahn, Anthony Bajon, visage poupin et jeu intériorisé, confirme la gamme étendue de son jeu.
Le Figaro
On sort secoué de La Troisième Guerre. Ce drame, ni tout à fait film de guerre ni tout à fait polar, engendre un puissant sentiment de doute.
Les Fiches du Cinéma
Un drame à l’intrigue attendue mais qui peut compter sur ses acteurs et un minutieux travail de documentation.
Libération
De plus en plus fantomatique et gagné par le brouillard, le film est convaincant lorsqu’il infuse cette étrangeté aux moindres recoins de la ville, passée au crible de subjectivités déréglées.
Paris Match
L'ensemble reste prometteur, comme l'esquisse d'un grand film sur le sujet qui demanderait juste à être retravaillée.
Critikat.com
Si le film de Giovanni Aloi donne une impression de suffisance et d’artificialité, c’est peut-être à cause d’un certain manque de considération pour le milieu qu’il dépeint.
Les Inrockuptibles
Ce chapelet d’idées crée hélas une trajectoire balisée comme si le film, pris dans les mailles d’un scénario trop occupé à énoncer, ne parvenait jamais vraiment à en dépasser les intentions.
Première
Si cette Troisième guerre parvient à capter une tension physique par la force de son incarnation, le scénario trop maladroit surligne et alourdit le propos.
aVoir-aLire.com
Un film trop balisé.