Avis sur Acceleration

Hum. Une production Cinetel Films. Ça m'a refroidi direct. Y a mon idole Dolph Lundgren mais je m'attendais au pire. Et en fait, il reste planqué derrière son ordinateur à donner ses instructions à une meuf toute vêtue de cuir. Il paie de sa personne dans la fusillade de fin histoire de justifier le maigre cachet qu'on a dû lui promettre. Et c'est tout. Ce n'est pas le seul à se contenter du minimum. Car il y a aussi Danny Trejo présent l'espace d'une scène seulement et Quinton Rampage Jackson qui ne fera pas mieux. Tout repose sur les épaules de la "cuireuse" à la recherche de son fils et qui, pour cela, filera des gnons à différents parrains de la pègre. Jusqu'au boss de fin incarné par Sean Patrick Flannery qui en profite pour cabotiner comme un beau diable en truand psychopathe adepte à la fois de la roulette russe et de la tarte au citron meringuée. Tout petit film d'action se passant la nuit dans des entrepôts ou des caves, deux, trois fusillades, quelques coups de poing...Un DTV dans la lignée que ceux que Dolph tourne depuis plusieurs années tels que Don't Kill It, Altitude ou Black Water.

... notez qu'on s'en doutait un peu. Prenez des bourrins de série Z de Danny Trejo (qui aura tout joué de "machete" aux fajitas old el paso) à Dolph Lundgren qui passe 95% du film assis... vous me direz qu'à 89 ans, on peut pardonner. Rajoutez d'ex gloires du MMA comme Chuck Liddell ou Quinton Rampage Jackson, ajoutez un scenar qui est à la fois minimaliste et incomprehensible et enfin une heroine dotée d'une tete chevaline assez marquée et d'une plus grosse capacité à prendre des pains qu'à en donner et vous obtenez "acceleration". Pitoyable. 0.5 / 5

Daube ... scènes d actions nulles, scénario sans surprise, évidemment mal réalisé... pauvre Lungren ! Il faut payer les factures... mais là ça ne paiera pas grand chose. Difficile de tenir jusqu'à la fin du film tellement c est nul

Je n'ai jamais vu un navet aussi mauvais que celui là. Passé votre chemin. Les acteurs et les effets spéciaux sont nuls.