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Road-movie statique, le superbe film de Hassen Ferahni dresse le portrait de Malika, tenancière d’une buvette dans le Sahara. Y défilent et jouent, aux confins du documentaire, toutes sortes de figures de la société algérienne : motards, musiciens, imams...
La critique complète est disponible sur le site Libération
Régnant sur un territoire de vent et de poussière, la taulière est bel et bien filmée dans la souveraineté de son maintien et de ses éclats de voix, mais aussi l’énigme de sa présence au milieu de nulle part.
En cinéaste complice, Hassen Ferhani accueille les histoires ou les provoque : (...) le film évite le portrait trop centré en s’ouvrant aux visages et aux récits passagers pour dresser une histoire collective.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Hassen Ferhani ne décolle jamais sa rétine du visage de Malika, la propriétaire d’un relais dans le désert algérien, qui par sa seule détermination, à la fois butée et magnanime, réussit à faire de son petit îlot décrépi un palais munificent du langage et du débat.
143, rue du désert devient alors un film sur la résistance possible contre la globalisation, sur un village d’Astérix miniature avec son unique habitante pas prête à baisser les armes. Une belle réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
Road-movie statique, le superbe film de Hassen Ferahni dresse le portrait de Malika, tenancière d’une buvette dans le Sahara. Y défilent et jouent, aux confins du documentaire, toutes sortes de figures de la société algérienne : motards, musiciens, imams...
Positif
Subtil et majestueux, "143, rue du Désert" est une métaphore incarnée du cinéma tel qu’on l’aime.
Télérama
Un documentaire d’une grande beauté.
Cahiers du Cinéma
Régnant sur un territoire de vent et de poussière, la taulière est bel et bien filmée dans la souveraineté de son maintien et de ses éclats de voix, mais aussi l’énigme de sa présence au milieu de nulle part.
Critikat.com
En cinéaste complice, Hassen Ferhani accueille les histoires ou les provoque : (...) le film évite le portrait trop centré en s’ouvrant aux visages et aux récits passagers pour dresser une histoire collective.
Le Monde
A ne pas manquer.
Les Fiches du Cinéma
Hassen Ferhani ne décolle jamais sa rétine du visage de Malika, la propriétaire d’un relais dans le désert algérien, qui par sa seule détermination, à la fois butée et magnanime, réussit à faire de son petit îlot décrépi un palais munificent du langage et du débat.
Ouest France
Passionnant.
aVoir-aLire.com
Portrait sensible d’une femme, dont le commerce est voué à disparaître, au profit de l’installation d’une station-service.
Première
143, rue du désert devient alors un film sur la résistance possible contre la globalisation, sur un village d’Astérix miniature avec son unique habitante pas prête à baisser les armes. Une belle réussite.