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Curtis Hanson, à l'aise dans le suspense et le polar (...), s'essaie ici à la comédie psychologique avec retournements et hésitations sur fond de crise de la cinquantaine... Son meilleur atout : Michael Douglas, très inspiré (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
Loin des pensums psychologiques et de leur moralisme lacrymal, Wonder boys est une ballade tamisée et mélancolique, qui revendique une certaine roublardise.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Chronique intelligente et amère sur la création, la vocation et la résignation, Wonder Boys est un très beau film soutenu par une réalisation, un script et une interprétation subtils.
La critique complète est disponible sur le site Elle
(...) une tragi-comédie douce amère dont l'ambiance désenchantée n'est pas sans rappeler celle d'Etat second (Peter Weir,1993) et l'humour pince-sans-rire des frères Coen (...)
(...) Hanson applique la sagesse d'oncle Alfred (Hitchcock) : il vaut mieux partir d'un cliché qu'y arriver. Avec Wonder Boys, le décollage est immédiat.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
En artisan discret (...), Curtis Hanson tente de toucher le classicisme du doigt comme d'autres caressent la pelure de Marylin : avec une fascination teintée de nostalgie
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
(...) le film ne collectionne pas seulement les saynètes malignes mais surtout les clichés sur les écrivains, ces grands enfants excentriques, gentiment marginaux et mythomanes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Si l'humour est présent, on est loin de la noirceur comique d'American Beauty, la référence récente en matière de dépression filmée. Grand directeur d'acteurs, Hanson semble en revanche s'être fait plaisir avec son casting.
La critique complète est disponible sur le site Première
Un écrivain comme ça, ça n'existe pas. Même un frappadingue comme Ellroy (...) arbore un air propret, vit dans une banlieue huppée et écoute de la musique classique. La pose artiste, c'est du folklore.
Le Parisien
(...) une comédie dramatique très émouvante. Dans la peau de cet écrivain (...), Michael Douglas prouve qu'il peut encore nous surprendre.
Aden
Curtis Hanson, à l'aise dans le suspense et le polar (...), s'essaie ici à la comédie psychologique avec retournements et hésitations sur fond de crise de la cinquantaine... Son meilleur atout : Michael Douglas, très inspiré (...)
Chronic'art.com
Loin des pensums psychologiques et de leur moralisme lacrymal, Wonder boys est une ballade tamisée et mélancolique, qui revendique une certaine roublardise.
Elle
Chronique intelligente et amère sur la création, la vocation et la résignation, Wonder Boys est un très beau film soutenu par une réalisation, un script et une interprétation subtils.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
C'est inclassable et complètement réussi : on rit jaune, on grince des dents, on est supris. Et Michael Douglas est formidable, en glandu largué.
Le Figaroscope
C'est drôle, émouvant, bien vu. Michael Douglas y gagnera sans doute un oscar.
Le Journal du Dimanche
(...) une comédie volontairement décousue et toujours surprenante.
Le Monde
(...) Curtis Hanson confirme avec Wonder Boys son statut important au sein d´un système hollywoodien en quête d´auteurs.
MCinéma.com
(...) une tragi-comédie douce amère dont l'ambiance désenchantée n'est pas sans rappeler celle d'Etat second (Peter Weir,1993) et l'humour pince-sans-rire des frères Coen (...)
Repérages
Ce film dispersé et farfelu, qui ne s'astreint pas vraiment à faire de choix, fleure (...) bon les 60's.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) Hanson applique la sagesse d'oncle Alfred (Hitchcock) : il vaut mieux partir d'un cliché qu'y arriver. Avec Wonder Boys, le décollage est immédiat.
Urbuz
En artisan discret (...), Curtis Hanson tente de toucher le classicisme du doigt comme d'autres caressent la pelure de Marylin : avec une fascination teintée de nostalgie
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
(...) le film ne collectionne pas seulement les saynètes malignes mais surtout les clichés sur les écrivains, ces grands enfants excentriques, gentiment marginaux et mythomanes.
Première
Si l'humour est présent, on est loin de la noirceur comique d'American Beauty, la référence récente en matière de dépression filmée. Grand directeur d'acteurs, Hanson semble en revanche s'être fait plaisir avec son casting.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
Un écrivain comme ça, ça n'existe pas. Même un frappadingue comme Ellroy (...) arbore un air propret, vit dans une banlieue huppée et écoute de la musique classique. La pose artiste, c'est du folklore.