Je ne vais pas trop rentrer dans l'histoire pour ne pas déflorer le final mais je tenais quand même à donner mon commentaire après mon visionnage:
Est-ce l'Histoire qui sert de toile de fond aux histoires de chacun ou sont-ce ces petites histoires qui forment la notre commune? J'ignore si la réalisatrice filme le quotidien pour dire l'Histoire ou si l'Histoire n'est que le cadre où la vie va s'écrire, se peindre, avec toute sa palette mais si, comparé à nos vies actuelles qui vont à 100 à l'heure, la langueur (attention il ne s'agit pas de dire lenteur) qui s'installe peut au départ dérouter, elle s'avère au final être en accord, allez, pour le thème disons en harmonie avec le 3e protagoniste, le violon. En fait c'est beau (il ne s'agit pas de dénigrer les documentaires habituels mais là on est dans le monde de l'artistique vus certains plans, trop souvent certains réalisateurs de docs oublient ou délaissent la forme pour le fond... quel plaisir de pouvoir lier les deux), en fait c'est beau donc, et.... languide... En fait, vu que je suis dans les métaphores artistiques, c'est comme écouter un bel adagio. (D'ailleurs la BO m'a bcp plu!)
Bref, la beauté des histoires qui font l'Histoire.