Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Ciné Live
par Laurent Weil
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Il faut se laisser aller sans essayer de comprendre cette fantaisie macabre et baroque, filmée dans l'excès (...) et jouer le jeu : vous en serez récompensé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Première
par Jean-Yves Katelan
Beineix (...) est resté ambitieux. A la fois dans ses exigences visuelles et surtout, ici, dans le choix de son sujet (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
(...) Beineix réussit certaines séquences impossibles avec brio mais s'empêtre aussi dans une intrigue vaseuse d'argent volé (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro Magazine
par Valérie Lejeune
(...) comme nous n'avons pas dîné ensemble depuis huit ans, il (J.-J.Beineix) nous offre fromage ET dessert. Forcément, c'est un peu lourd.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) baigné dans une lumière glauque, le film de Beineix vacille entre l´esthétisme parapublicitaire qui fit le premier renom du cinéaste et une violence burlesque beaucoup mieux venue.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Si le cinéaste (...) n'a rien perdu de sa patte et de son art de filmer, on est, en revanche, plus réservé sur les cabrioles du scénario et la volonté de mélanger le burlesque (...) avec le polar.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Du cabinet du docteur Beineix, on sort un peu perplexe. Mais, finalement, on ne devrait pas regretter le prix de la consultation.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Mortel Transfert recèle une énigme sans réponse : qu'a voulu dire Beineix avec ce bizarre bricolage sans âme ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Plus qu'un film, Mortel transfert est un voyage dans le temps, une excursion en plein cœur d'une époque révolue pour tous, exceptée pour Jean-Jacques Beineix, véritable "hibernatus" coincé à l'ère de la frime et des couleurs criardes (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
On n'a pas saisi (...) même à la fin, au terme des 122 minutes de projection, pourquoi Beineix s'était lancé dans cette histoire qui brasse de tout pour faire du rien, ou du si peu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Ni comédie - bien que parfois burlesque - ni polar, le film, rempli d'outrances, est surtout habité par un étrange malaise confinant au morbide. Les personnages s'égarent dans ce scénario qui trébuche sur la forme (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
C'est du Z chiadé, un polar psycho-sexuel tellement au-delà de la nullité cinématographique qu'il en deviendrait presque intéressant s'il n'était aussi ringard et prétentieux. Mortel ennui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jean-Marc Lalanne
(...) un film très malade, coincé entre des restes de velléités esthétisantes années 80 et un intérêt nouveau pour le langage, ce mauvais objet.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eric Derobert
Cette saga sur le thème Mais qui a tué Olga ? aurait pu présenter des vertus comiques sur le registre de l'absurde (...). Elle s'y essaie parfois, et y échoue pour une raison très prosaïque, à savoir l'indigence de la mise en scène (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Repérages
par Julien Welter
Eclairages bleutés, utilisations sentencieuses du scope et humour de cinquième catégorie : Jean-Jacques Beinex est de retour et a su, malgré les années qui passent (...), garder intacts tous ses défauts.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
(...) Beineix est aujourd'hui un cinéaste qui ne passe jamais à travers le miroir (comme Cocteau) mais reste désespérément collé à la vitre de son téléviseur. Il se contente d'une «récup'» d'images qui, elles-mêmes, récupéraient le cinéma (...)
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Il faut se laisser aller sans essayer de comprendre cette fantaisie macabre et baroque, filmée dans l'excès (...) et jouer le jeu : vous en serez récompensé.
Première
Beineix (...) est resté ambitieux. A la fois dans ses exigences visuelles et surtout, ici, dans le choix de son sujet (...)
Aden
(...) Beineix réussit certaines séquences impossibles avec brio mais s'empêtre aussi dans une intrigue vaseuse d'argent volé (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro Magazine
(...) comme nous n'avons pas dîné ensemble depuis huit ans, il (J.-J.Beineix) nous offre fromage ET dessert. Forcément, c'est un peu lourd.
Le Monde
(...) baigné dans une lumière glauque, le film de Beineix vacille entre l´esthétisme parapublicitaire qui fit le premier renom du cinéaste et une violence burlesque beaucoup mieux venue.
Le Parisien
Si le cinéaste (...) n'a rien perdu de sa patte et de son art de filmer, on est, en revanche, plus réservé sur les cabrioles du scénario et la volonté de mélanger le burlesque (...) avec le polar.
Les Echos
Du cabinet du docteur Beineix, on sort un peu perplexe. Mais, finalement, on ne devrait pas regretter le prix de la consultation.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Mortel Transfert recèle une énigme sans réponse : qu'a voulu dire Beineix avec ce bizarre bricolage sans âme ?
Chronic'art.com
Plus qu'un film, Mortel transfert est un voyage dans le temps, une excursion en plein cœur d'une époque révolue pour tous, exceptée pour Jean-Jacques Beineix, véritable "hibernatus" coincé à l'ère de la frime et des couleurs criardes (...)
L'Obs
On n'a pas saisi (...) même à la fin, au terme des 122 minutes de projection, pourquoi Beineix s'était lancé dans cette histoire qui brasse de tout pour faire du rien, ou du si peu.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Journal du Dimanche
Ni comédie - bien que parfois burlesque - ni polar, le film, rempli d'outrances, est surtout habité par un étrange malaise confinant au morbide. Les personnages s'égarent dans ce scénario qui trébuche sur la forme (...)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
C'est du Z chiadé, un polar psycho-sexuel tellement au-delà de la nullité cinématographique qu'il en deviendrait presque intéressant s'il n'était aussi ringard et prétentieux. Mortel ennui.
Libération
(...) un film très malade, coincé entre des restes de velléités esthétisantes années 80 et un intérêt nouveau pour le langage, ce mauvais objet.
Positif
Cette saga sur le thème Mais qui a tué Olga ? aurait pu présenter des vertus comiques sur le registre de l'absurde (...). Elle s'y essaie parfois, et y échoue pour une raison très prosaïque, à savoir l'indigence de la mise en scène (...)
Repérages
Eclairages bleutés, utilisations sentencieuses du scope et humour de cinquième catégorie : Jean-Jacques Beinex est de retour et a su, malgré les années qui passent (...), garder intacts tous ses défauts.
Urbuz
(...) Beineix est aujourd'hui un cinéaste qui ne passe jamais à travers le miroir (comme Cocteau) mais reste désespérément collé à la vitre de son téléviseur. Il se contente d'une «récup'» d'images qui, elles-mêmes, récupéraient le cinéma (...)