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    Un autre monde
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    301 critiques spectateurs

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    Lydia Ruiz
    Lydia Ruiz

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2022
    Un film vrai et touchant sur une réalité du monde du travail et ses rouages économiques qui broient l'humain à tous les niveaux de la société par le postulat " la fin justifie les moyens ".
    Les acteurs sontvd'ue justesse incroyable.
    Vincent Liindon toujours aussi incroyable dans la façon de montrer cette métamorphose qui s'opère en lui.
    Un très grand film, un vrai signal d'alarme pour notre société.
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2022
    Contrairement à ce que son titre évoque, « Un autre Monde » est bien ancré dans notre Monde actuel. Un monde de l’entreprise et des affaires qui sont tristement cruelles, hypocrites, déshumanisés. Découverte ou prise de conscience pour certains. Simple piqure de rappel pour d’autres. Quoiqu’il en soit le message est violent et délivré avec justesse et réalisme par le réalisateur et ses acteurs avec en chefs de file un excellent Vincent Lindon et une surprenante Marie Drucker.
    Delphine B.
    Delphine B.

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2022
    Très bon film. Le sujet de la complexité
    des compromissions dans la mise en place des plans sociaux dans le monde de l'entreprise est magnifiquement traité. Les acteurs sont fabuleux. A voir absolument pour mieux comprendre le monde du travail en entreprise.
    Cathy B
    Cathy B

    10 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 avril 2024
    Vraiment très déçue par ce film..... Pas de dialogues, rien de "profond ", et des longueurs, des longueurs ! Dommage, ce thème qui là est malheureusement déjà vu , réchauffé !! Ennui total.
    Bref dommage pour ces bons acteurs en dehors du film ......
    xavier.com
    xavier.com

    18 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2022
    superbe interprétation des acteurs dont Vincent Lindon qui excelle dans son rôle. un sujet de société. comment défendre ses équipes et se défendre pour garder son job. J ai adoré la fin..il y a eu quelques temps morts. les soucis avec son fils sont de trop. je recommande
    JudyCarlotta
    JudyCarlotta

    73 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 février 2022
    D'où me vient cet impression d'enfoncer des portes ouvertes ? De prêcher des convertis ? Franchement, ce côté « attention, je vous fais un film politique » (= « je fais dans le social » ), me dérange. Je préfère les films qui le font l'air de rien. Là on en reste à (voir plus haut). Bon, ok, faut mieux prendre un vrai acteur, même s'il vient d'un milieu très privilégié qu'une vraie victime du système (ben non au fait, et Ouistreham ? y en a une « vraie » qui crève l'écran !) Mais bon, vous pensez franchement que ceux qui sont le plus concernés (pas les victimes du système, non, les responsables de ce système) vont aller voir ce film (si, peut-être donner des sous pour le produire). Et les autres, ceux qui ont une « conscience sociale » … voir plus haut . Ras-le-bol de ce cinéma bonne conscience ! J 'y pense, j'y pense, et puis j'oublie...
    Marie M.
    Marie M.

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 février 2022
    Très bavard. Sans surprise. Le film, pourtant court, paraît très long. Lindon joue à merveille l'ami catastrophe. Sandrine Kiberlain pleure et se mouche avec talent.
    PEQ
    PEQ

    2 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2022
    Ce qu'il y a de fort dans ce film c'est l'intégrité que finit par gagner le personnage de Vincent Lindon à force de petits renoncements et de petites lâchetés - passées, présentes - qui le tourmentent. La casuistique dont il fait l'objet va crescendo dans des efforts sincères d'engagement transcendés par une humanité éprouvante.
    Saluons la performance éblouissante de Marie Drucker emprunte de probité et de générosité.
    peq
    Marie-Laure B
    Marie-Laure B

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2022
    Un angle précis, très précis, exploité avec brio. Les gros plans. Gros plans , cadrages de dos. On se sent progressivement englué comme les personnages.
    STROUN
    STROUN

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 février 2022
    Sujet traité avec brio et finesse : chaque scène est porteuse de sens !
    Très belle mise en scène avec d excellents acteurs A voir absolument
    Arnaud KaDo
    Arnaud KaDo

    64 abonnés 250 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2022
    Très bon film porté par deux excellents acteurs. Ce film donne a réfléchir . Le scénario est fin. Je recommande. En espérant que ça fasse réfléchir les managers d'aujourd'hui.
    clamarch
    clamarch

    12 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2022
    Excellemment interprété pour tous les rôles. Le sujet, que beaucoup de gens ont vécu, parle à tout le monde. Il est très bien traité, avec sensibilité sans sensiblerie. Personne n'est tout blanc ou tout noir. Comment faire pour que cela change ?
    POULAIPI
    POULAIPI

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 février 2022
    Film juste on retrouve des phrases entendues dans la vie professionnelle. Excellente performance des acteurs.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2022
    Commençons par un petit (le seul?) bémol, le titre du film ne percute pas comme son sujet, et résonne trop banalement. Peu importe, Brizé continue l'investigation des vies brisées par le travail. Non pas qu'il faille généraliser la fiction qu'il nous propose à toutes les entreprises. Cela serait manichéen et militant. En revanche, ce qu'il nous propose existe dans certains groupes, et parlera aux tripes des cadres qui y travaillent. Et au-delà, sans atteindre l'absurdité d'une politique de rentabilité hors-sol et à court terme, le propos n'est pas sans rappeler la position d'un encadrement pris en tenaille, proche de ses équipes, mais rattrapé par la concurrence mondiale.
    Le film ne retentira pas de la même façon vu par des yeux américains, et pourtant, la confcall avec le big boss est un climax d'un réalisme confondant. Quand on connait les milieux anglo-saxons, on connait et on attend le "but"… qui a mettre à terre l'interlocuteur. Un must!
    Lindon et Kiberlain expriment avec peu de mots - quasiment rien pour lui en dehors des réunions dans l'entreprise- le carambolage entre pression professionnelle et vie personnelle. Quelle présence physique du premier, à l'instar de Gourmet dans certains films des Dardenne, et en plus sans pathos facile. Et pourtant, la confrontation avec le burnout du fils aurait pu donné lieu à un traitement mélodramatique surligné.
    La musique est discrète mais bien écrite, pour apporter une coloration répétitive et oppressante au sentiment d'abattement et d'impasse auquel se confronte le cadre sincère et humain.
    Une bonne partie du casting vient d'acteurs non-professionnels - y compris l'un des producteurs du film!- et tous sont parfaitement crédible, y compris la "débutante" Marie Drucker.
    Au final, c'est un cocktail réussi que nous a préparé Brizé, l'un des meilleurs depuis Mademoiselle Chambon.
    Rendons hommage au passage au premier assistant réalisateur Emile Louis, fidèle collaborateur depuis six films, et venu présenter cette première à Lyon. Il a participé lui-aussi à la réussite du cocktail.
    cinéma- février 2022
    AZZZO
    AZZZO

    302 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 février 2022
    Depuis 20 ans, à chacun de mes anniversaires, ma femme m'offre une paire de chaussettes. C'est un rituel. Sans même avoir ouvert le paquet, je sais ce qu'il y a dedans. Stéphane Brizé est la chaussette du cinéma français : on connait le contenu sans même avoir vu le film. C'est toujours le même propos, la même histoire, la même vision caricaturale du monde de l'entreprise : celle des salauds de patrons et d'actionnaires qui pressurent jusqu'à la mort les pauvres ouvriers. Un manichéisme poussé à son paroxysme.
    Ma critique est téméraire car je devine déjà les objections : "Mais pas du tout, ce monde existe, ces entreprises qui ferment, qui délocalisent, ces plans de restructuration, cette souffrance des salariés, tout cela est une réalité". Et c'est vrai. Mais le problème n'est pas là.
    Le problème de Stéphane Brizé c'est qu'il déforme la réalité à des fins idéologiques. Il porte la lumière de son projecteur sur la partie qui l'arrange, occultant l'amont et l'aval de la question sociale qu'il prétend traiter. Imagine-t-on un film pleurant les morts allemands à Dresde en 1945, dénonçant des bombardement alliés assassins, sans mettre l'événement en perspective ? C'est pourtant ce que fait Stéphane Brizé pour parler de la société capitaliste.
    L'entreprise industrielle est au coeur d'un ensemble "conception - production - distribution". La mondialisation a mis sous concurrence la partie productive et fortement accru le processus d'externalisation. Les ouvriers occidentaux en sont les victimes directes (et tout le monde a de l'empathie pour ces salariés) MAIS ce processus économique de mise en concurrence n'a pas que des conséquences néfastes : dans les pays où la main d'oeuvre est à moindre coût il permet la croissance et l'essor de la consommation (osons comparer le niveau de vie des Chinois sous Mao avec celui de leurs petits-enfants) et, dans les pays développés, il participe à la satisfaction des besoins des populations par des prix moins élevés et, surtout, génère des millions d'emplois dans la conception, le transport, le marketing, la distribution et bien d'autres secteurs, grâce à l'accroissement de la productivité et des échanges. Pour preuve, rappelons que plus de 80 % des actifs français oeuvrent dans le secteur tertiaire.
    Soit Stéphane Brizé occulte volontairement cet aspect ce qui serait intellectuellement malhonnête, soit il ignore les ressorts de l'économie capitaliste dont il dénonce les méfaits. L'irréalisme de nombreuses scènes (les rencontres avec la Direction, le plan d'économie, la procédure de licenciement) incite fortement à croire qu'il ne maitrise pas son sujet. Au lieu d'un film subtil sur notre rapport schizophrénique à la mondialisation, le spectateur a droit à un épisode de Oui-Oui, celui où il découvre le monde de l'entreprise avec ses gentils ouvriers et ses méchants actionnaires ! Et si la réalité était plus complexe ? Et si nous étions également responsables de ce que nous dénonçons ?
    Si Stéphane Brizé veut sortir du monde binaire où ses certitudes l'ont enfermé, je lui recommande de voir l'excellent "Ceux qui travaillent" d'Antoine Russbach, qui traite du même sujet avec beaucoup plus de subtilité et, puisqu'il aime dénoncer les affres du capitalisme et de la mondialisation, je l'invite à ouvrir un manuel d'histoire de lycée pour constater ce à quoi ont abouti les nombreux systèmes économiques alternatifs qui, au XXe siècle, ont refusé la loi du marché.
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