Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Difficile de ne pas se laisser submerger en même temps que ce manager dépassé tentant vainement d’enrayer un processus inéluctable. La force de l’interprétation de Vincent Lindon et l’évolution de son personnage sont d’une force inouïe.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Comme toujours, Lindon est formidable. Mais tout autour de lui, tous les acteurs jouent impeccablement, dans un style minimaliste redoutablement puissant, Marie Drucker surprenant en business woman impitoyable.
L'Humanité
par Michaël Melinard
Un autre monde est des trois volets le plus chorégraphié. Le plus abouti aussi. Son choix de tourner à plusieurs caméras, d’alterner des cadres soignés avec des séquences à l’épaule insuffle du rythme à l’œuvre. Brizé explore les possibilités du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un autre monde brosse avec une force dévastatrice le portrait d’un cadre loyal soudain défié par les barrières morales avec lesquelles il composait jusqu’alors. Le voilà soudain tenté par le mensonge, confronté à la trahison, condamné à la solitude. Lindon impérial, faut-il le préciser ?
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Avec un naturalisme assuré, maître dans l’art du réel et du détail, Vincent Lindon qui fut l’agent de sécurité et le syndicaliste devient avec la même indiscutable authenticité le cadre en costume-cravate.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
L’alternance entre le professionnel et le privé, des désaccords de bureaux incessants aux réunions familiales, donne tout son sens à ce drame social tendu, émouvant et jamais manichéen.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Après « La Loi du marché » et « En guerre », Stéphane Brizé poursuit son exploration du monde du travail, à travers le portrait d'un patron d'usine dans la tempête. Un film tranchant et haletant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Vincent Lindon y incarne Philippe Lemesle, un cadre contraint d’appliquer un plan de licenciement dans son entreprise, alors que cette dernière est largement bénéficiaire. Un nouveau rôle majeur dans un film qui ne l’est pas moins.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé 2 semaines
par La rédaction
D'une incroyable puissance émotionnelle.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Stéphane Brizé signe un nouveau très grand film social et politique.
Voici
par La Rédaction
Un drame fort et sensible.
Bande à part
par Isabelle Danel
Stéphane Brizé continue d’observer l’injustice sociale de son œil acéré dans ce film inconfortable et vital.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par La Rédaction
C'est à toutes ces questions que le troisième volet de la trilogie de Stéphane Brizé sur le monde du travail répond avec acuité, porté par les performances de Vincent Lindon et Marie Drucker, terrifiante en bras armé des patrons.
Ecran Large
par La rédaction
Un autre monde ne négocie pas toujours habilement le jonglage entre la sphère pro et perso de son protagoniste, mais cela ne l'empêche jamais d'être particulièrement pertinent (d'autant plus à quelques semaines de la présidentielle).
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par La Rédaction
Grâce à sa puissance de jeu, Vincent Lindon donne une crédibilité de chaque instant à ce personnage fragilisé mais toujours digne (...).
Femme Actuelle
par La Rédaction
Aux côtés de Vincent Lindon, la bluffante justesse d'Anthony Bajon ajoute à l'ensemble un ingrédient décisif.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Avec Un autre monde, Stéphane Brizé poursuit cette thématique sociale, montre la cohérence d’un propos, nourri par une dramaturgie remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Le secret de ce film passionnant, sans coups de feu, sans poursuites en voiture, sans bagarres chorégraphiées ? Juste l’essentiel, juste du cinéma et du cinéma juste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Pas besoin d’être abonné à L’Humanité pour piger et la démonstration serait presque indigeste si la forme n’était, une fois de plus, aussi radicale que virtuose. Brouillant un peu plus la frontière entre écriture et improvisation, Stéphane Brizé orchestre avec brio la confrontation entre acteurs confirmés et novices pour un maximum de réalisme.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Cette description clinique d’une mécanique déshumanisante, impitoyable et méthodique, qui s’appuie sur le consentement, est poignante. Stéphane Brizé arrache le voile des discours trompeurs, dissèque cette machine à broyer qui corrode toutes les strates sociales.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Lindon évoque le Montand de Vincent, François, Paul et les autres… Stéphane Brizé continue à filer son chemin, entre Sautet et Ken Loach.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Il y a du thriller et même du mélo dans ce beau film, qui met à nu les mécanismes du monde du travail et la possibilité -ou pas- du libre arbitre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Sobre et émouvant, Vincent Lindon porte sur son visage fatigué tout le poids de son personnage et par-delà, des femmes et des hommes qui souffrent en entreprise. Le bilan est amer, mais la résilience possible.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
À travers le destin d’un directeur de site industriel lessivé par sa fonction, Stéphane Brizé interroge la violence du monde du travail du côté des décideurs. Avec l’apport de son fidèle Vincent Lindon, il démontre la cruauté aveugle d’un système.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Éric Derobert
Stéphane Brizé clôt une trilogie entamée avec La Loi du marché, en 2015, suivi d’En guerre, en 2018. Trois films avec Vincent Lindon pour protagoniste, trois œuvres centrées sur l’humain comme variable d’ajustement d’un néolibéralisme pernicieux. Un autre monde présente ici l’amont de ce dont La Loi du marché était l’aval, à savoir la programmation d’un plan social draconien et sacrificiel.
Première
par Thierry Chèze
Un autre monde n’est pas un film de plus mais une pièce essentielle d’un puzzle loin d’être achevé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Qu’il soit flic, patron ou maçon, Lindon a cette épaisseur physique qui fait l’étoffe des grands acteurs. On le voit et on y croit.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Un constat révoltant. Un film immanquable.
Télérama
par Marie Sauvion
À nouveau, Stéphane Brizé et son coscénariste Olivier Gorce excellent à pointer la violence (...) et le dévoiement de la langue managériale, où le terme « courage » revient en leitmotiv. De même, l’ensemble de la distribution, acteurs et non-professionnels mêlés, suscite l’admiration, avec une mention spéciale à l’ex-journaliste Marie Drucker, patronne coupante comme une lame.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Stéphane Brizé dépeint à nouveau avec acuité et sobriété la brutalité d’un certain management entrepreneurial. Une œuvre choc, magistralement interprétée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Valentin Denis
Ce changement de perspective offre à Brizé l’occasion d’affiner sa critique du management contemporain, qui gagne ici en pudeur, même si elle ne se départit pas encore tout à fait d’une certaine complaisance mélodramatique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un autre monde est en ce sens un plaidoyer pour l'état d'âme, mené au nom de la raison discursive davantage qu'en celui du mystère des passions humaines. C'est là son aporie.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Malgré un style paresseux, le nouveau film de Brizé touche juste grâce un scénario intelligent et lucide.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Brizé a atteint une maestria où le découpage importe moins que le langage, en l’occurrence la précision retorse d’une certaine rhétorique. (...) Or, derrière le langage, quel est l’objet du film ? La crise (du travail, de la famille, bref, du système).
Libération
par Luc Chessel
C’est que Brizé filme une machine folle, la science-fiction du capitalisme actuel, avec les outils raisonnables d’un cinéma tombé en désuétude, comme on poursuivrait une Tesla avec une voiture à bras : le contraste est intéressant, le résultat volontairement terne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Fabrice Leclerc
L'intensité [du film] souffre [...] de digressions personnelles un peu convenues, alourdissant un propos à lui seul percutant.
20 Minutes
Difficile de ne pas se laisser submerger en même temps que ce manager dépassé tentant vainement d’enrayer un processus inéluctable. La force de l’interprétation de Vincent Lindon et l’évolution de son personnage sont d’une force inouïe.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Comme toujours, Lindon est formidable. Mais tout autour de lui, tous les acteurs jouent impeccablement, dans un style minimaliste redoutablement puissant, Marie Drucker surprenant en business woman impitoyable.
L'Humanité
Un autre monde est des trois volets le plus chorégraphié. Le plus abouti aussi. Son choix de tourner à plusieurs caméras, d’alterner des cadres soignés avec des séquences à l’épaule insuffle du rythme à l’œuvre. Brizé explore les possibilités du cinéma.
La Voix du Nord
Un autre monde brosse avec une force dévastatrice le portrait d’un cadre loyal soudain défié par les barrières morales avec lesquelles il composait jusqu’alors. Le voilà soudain tenté par le mensonge, confronté à la trahison, condamné à la solitude. Lindon impérial, faut-il le préciser ?
Le Dauphiné Libéré
Avec un naturalisme assuré, maître dans l’art du réel et du détail, Vincent Lindon qui fut l’agent de sécurité et le syndicaliste devient avec la même indiscutable authenticité le cadre en costume-cravate.
Le Journal du Dimanche
L’alternance entre le professionnel et le privé, des désaccords de bureaux incessants aux réunions familiales, donne tout son sens à ce drame social tendu, émouvant et jamais manichéen.
Les Echos
Après « La Loi du marché » et « En guerre », Stéphane Brizé poursuit son exploration du monde du travail, à travers le portrait d'un patron d'usine dans la tempête. Un film tranchant et haletant.
Marianne
Vincent Lindon y incarne Philippe Lemesle, un cadre contraint d’appliquer un plan de licenciement dans son entreprise, alors que cette dernière est largement bénéficiaire. Un nouveau rôle majeur dans un film qui ne l’est pas moins.
Télé 2 semaines
D'une incroyable puissance émotionnelle.
Télé Loisirs
Stéphane Brizé signe un nouveau très grand film social et politique.
Voici
Un drame fort et sensible.
Bande à part
Stéphane Brizé continue d’observer l’injustice sociale de son œil acéré dans ce film inconfortable et vital.
Closer
C'est à toutes ces questions que le troisième volet de la trilogie de Stéphane Brizé sur le monde du travail répond avec acuité, porté par les performances de Vincent Lindon et Marie Drucker, terrifiante en bras armé des patrons.
Ecran Large
Un autre monde ne négocie pas toujours habilement le jonglage entre la sphère pro et perso de son protagoniste, mais cela ne l'empêche jamais d'être particulièrement pertinent (d'autant plus à quelques semaines de la présidentielle).
Elle
Grâce à sa puissance de jeu, Vincent Lindon donne une crédibilité de chaque instant à ce personnage fragilisé mais toujours digne (...).
Femme Actuelle
Aux côtés de Vincent Lindon, la bluffante justesse d'Anthony Bajon ajoute à l'ensemble un ingrédient décisif.
Franceinfo Culture
Avec Un autre monde, Stéphane Brizé poursuit cette thématique sociale, montre la cohérence d’un propos, nourri par une dramaturgie remarquable.
L'Obs
Le secret de ce film passionnant, sans coups de feu, sans poursuites en voiture, sans bagarres chorégraphiées ? Juste l’essentiel, juste du cinéma et du cinéma juste.
LCI
Pas besoin d’être abonné à L’Humanité pour piger et la démonstration serait presque indigeste si la forme n’était, une fois de plus, aussi radicale que virtuose. Brouillant un peu plus la frontière entre écriture et improvisation, Stéphane Brizé orchestre avec brio la confrontation entre acteurs confirmés et novices pour un maximum de réalisme.
La Croix
Cette description clinique d’une mécanique déshumanisante, impitoyable et méthodique, qui s’appuie sur le consentement, est poignante. Stéphane Brizé arrache le voile des discours trompeurs, dissèque cette machine à broyer qui corrode toutes les strates sociales.
Le Figaro
Lindon évoque le Montand de Vincent, François, Paul et les autres… Stéphane Brizé continue à filer son chemin, entre Sautet et Ken Loach.
Le Parisien
Il y a du thriller et même du mélo dans ce beau film, qui met à nu les mécanismes du monde du travail et la possibilité -ou pas- du libre arbitre.
Le Point
Sobre et émouvant, Vincent Lindon porte sur son visage fatigué tout le poids de son personnage et par-delà, des femmes et des hommes qui souffrent en entreprise. Le bilan est amer, mais la résilience possible.
Les Fiches du Cinéma
À travers le destin d’un directeur de site industriel lessivé par sa fonction, Stéphane Brizé interroge la violence du monde du travail du côté des décideurs. Avec l’apport de son fidèle Vincent Lindon, il démontre la cruauté aveugle d’un système.
Positif
Stéphane Brizé clôt une trilogie entamée avec La Loi du marché, en 2015, suivi d’En guerre, en 2018. Trois films avec Vincent Lindon pour protagoniste, trois œuvres centrées sur l’humain comme variable d’ajustement d’un néolibéralisme pernicieux. Un autre monde présente ici l’amont de ce dont La Loi du marché était l’aval, à savoir la programmation d’un plan social draconien et sacrificiel.
Première
Un autre monde n’est pas un film de plus mais une pièce essentielle d’un puzzle loin d’être achevé.
Sud Ouest
Qu’il soit flic, patron ou maçon, Lindon a cette épaisseur physique qui fait l’étoffe des grands acteurs. On le voit et on y croit.
Télé 7 Jours
Un constat révoltant. Un film immanquable.
Télérama
À nouveau, Stéphane Brizé et son coscénariste Olivier Gorce excellent à pointer la violence (...) et le dévoiement de la langue managériale, où le terme « courage » revient en leitmotiv. De même, l’ensemble de la distribution, acteurs et non-professionnels mêlés, suscite l’admiration, avec une mention spéciale à l’ex-journaliste Marie Drucker, patronne coupante comme une lame.
aVoir-aLire.com
Stéphane Brizé dépeint à nouveau avec acuité et sobriété la brutalité d’un certain management entrepreneurial. Une œuvre choc, magistralement interprétée.
Critikat.com
Ce changement de perspective offre à Brizé l’occasion d’affiner sa critique du management contemporain, qui gagne ici en pudeur, même si elle ne se départit pas encore tout à fait d’une certaine complaisance mélodramatique.
Le Monde
Un autre monde est en ce sens un plaidoyer pour l'état d'âme, mené au nom de la raison discursive davantage qu'en celui du mystère des passions humaines. C'est là son aporie.
Les Inrockuptibles
Malgré un style paresseux, le nouveau film de Brizé touche juste grâce un scénario intelligent et lucide.
Cahiers du Cinéma
Brizé a atteint une maestria où le découpage importe moins que le langage, en l’occurrence la précision retorse d’une certaine rhétorique. (...) Or, derrière le langage, quel est l’objet du film ? La crise (du travail, de la famille, bref, du système).
Libération
C’est que Brizé filme une machine folle, la science-fiction du capitalisme actuel, avec les outils raisonnables d’un cinéma tombé en désuétude, comme on poursuivrait une Tesla avec une voiture à bras : le contraste est intéressant, le résultat volontairement terne.
Paris Match
L'intensité [du film] souffre [...] de digressions personnelles un peu convenues, alourdissant un propos à lui seul percutant.