Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Voici
par La Rédaction
On retrouve dans cette romance minimaliste la patte du réalisateur de J'attends quelqu'un et A trois on y va. Le charme, la légèreté, la mélancolie. Et le casting parfait.
20 Minutes
par Caroline Vié
Grégory Montel, Grégory Gadebois et Anaïs Demoustier sont au centre de cette comédie délicate signée Jérôme Bonnell.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
(...) sensible et inspiré, comme il l’est toujours dans sa manière d’aborder les petits drames de l’existence, les mœurs, les tempéraments, Jérôme Bonnell filme les sentiments avec de la délicatesse et de la finesse.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Une comédie subtile sur l’amour déçu et le temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Jérôme Bonnell filme les sentiments avec de la délicatesse et de la finesse.
Ouest France
par Thierry Chèze
Délicatesse et humour forment le parfait cocktail de cette variation virtuose autour de la rupture (...).
Positif
par Baptiste Roux
Les films de Jérôme Bonnell sont au cinéma ce que les pièces de la seconde manière de Musset sont au théâtre : la miniature charmante y est un écrin faussement fragile qui renferme des affects tout aussi déchaînés que refoulés, au grand péril des personnages. Chère Léa n’y fait pas exception.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une comédie délicieuse sur l’art de rompre.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
La délicatesse du cinéma de Jérôme Bonnell fait, une fois encore, son œuvre dans cette comédie douce amère au charme fou, qui ausculte avec légèreté, mais profondeur, la fragilité masculine, à la manière d’un Sautet.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Tout cela est charmant, amusant et délicieusement poétique.
Télérama
par Guillemette Odicino
Une rupture mérite-t-elle quinze pages ? Vaut-elle un film ? Le délicat Chère Léa, proche à la fois de la fantaisie d’un Lubitsch et du minimalisme d’un dessin de Sempé, le prouve, offrant à Grégory Montel son meilleur rôle, entre tension et mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Sur la base d’une intrigue minimaliste et d’une mise en scène fondée sur la force du hors-champ, Jérôme Bonnell signe avec Chère Léa une comédie humble, délicate et séduisante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Sophie Grassin
Cinéaste d’une délicatesse infinie, Jérôme Bonnell sonde la fragilité masculine en mêlant plusieurs destins – psychotique, entrepreneur véreux –, autant de projections déformées de Jonas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Jérôme Bonnell compose avec Chère Léa une tonalité inédite, entre le temps distendu d’une journée et le rythme des rencontres, la tristesse désenchantée de la rupture amoureuse et l’humour pétillant des interlocuteurs de Jonas. Un précipité d’humanité imparfaite et attachante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si le film épouse avec une touche d'humour burlesque le ton et le rythme d'une romcom, il gagne peu à peu en profondeur, racontant moins la reconquête d'un amour que l'acceptation de sa fin. Outre ses qualités d'écriture, sa réussite tient à l'abattage de Grégory Montel, comme tout droit sortir de Dix pour cent, épaulé par des seconds rôles parfaits.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Une mécanique joyeuse et collective de tous nos maux bizarres.
Le Parisien
par La Rédaction
Un humour tendre et une indulgence pour nos petites et grandes faiblesses se dégagent de ce film attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Même si les péripéties du film obéissent à une logique trop mécanique, cette fiction farfelue, sans atteindre le niveau des plus belles réussites de Bonnell, se distingue joliment dans le registre si souvent désolant de la comédie sentimentale.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Thierry Chèze
Bonnell se montre ici tout aussi juste dans la comédie que dans l’émotion pure. La délicatesse faite cinéaste, on vous dit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Sous ses dehors de comédie sophistiquée, Chère Léa souffre surtout de son attelage parfois maladroit entre le vaudeville et un imaginaire pittoresque (la communauté du café), où même les scènes les plus inspirées (celle, mélancolique, dans laquelle apparait Léa Drucker) s’inscrivent au sein d’un récit trop fléché pour toucher en plein cœur.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Jérôme Bonnell a un petit talent pour trousser des intrigues sentimentales (Le Chignon d'Olga, Le Temps de l'aventure, À trois on y va). Cette fois, le huis clos bavard et bistrotier ne lui réussit pas. Entre Brèves de comptoir et pas grand-chose de bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Malgré l’argument prometteur et la belle distribution, le film, bien trop sage et impersonnel, déçoit finalement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
De ce point de départ bien balisé, entre huis clos façon mini comédie humaine et drame sentimental, Jérôme Bonnell ne tirera pas grand-chose d’autre qu’une série de champs-contrechamps poussifs sur des personnages qui enchaînent, c’est le cas de le dire, les discussions de comptoir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Voici
On retrouve dans cette romance minimaliste la patte du réalisateur de J'attends quelqu'un et A trois on y va. Le charme, la légèreté, la mélancolie. Et le casting parfait.
20 Minutes
Grégory Montel, Grégory Gadebois et Anaïs Demoustier sont au centre de cette comédie délicate signée Jérôme Bonnell.
Dernières Nouvelles d'Alsace
(...) sensible et inspiré, comme il l’est toujours dans sa manière d’aborder les petits drames de l’existence, les mœurs, les tempéraments, Jérôme Bonnell filme les sentiments avec de la délicatesse et de la finesse.
L'Humanité
Une comédie subtile sur l’amour déçu et le temps qui passe.
Le Dauphiné Libéré
Jérôme Bonnell filme les sentiments avec de la délicatesse et de la finesse.
Ouest France
Délicatesse et humour forment le parfait cocktail de cette variation virtuose autour de la rupture (...).
Positif
Les films de Jérôme Bonnell sont au cinéma ce que les pièces de la seconde manière de Musset sont au théâtre : la miniature charmante y est un écrin faussement fragile qui renferme des affects tout aussi déchaînés que refoulés, au grand péril des personnages. Chère Léa n’y fait pas exception.
Sud Ouest
Une comédie délicieuse sur l’art de rompre.
Télé 7 Jours
La délicatesse du cinéma de Jérôme Bonnell fait, une fois encore, son œuvre dans cette comédie douce amère au charme fou, qui ausculte avec légèreté, mais profondeur, la fragilité masculine, à la manière d’un Sautet.
Télé Loisirs
Tout cela est charmant, amusant et délicieusement poétique.
Télérama
Une rupture mérite-t-elle quinze pages ? Vaut-elle un film ? Le délicat Chère Léa, proche à la fois de la fantaisie d’un Lubitsch et du minimalisme d’un dessin de Sempé, le prouve, offrant à Grégory Montel son meilleur rôle, entre tension et mélancolie.
Bande à part
Sur la base d’une intrigue minimaliste et d’une mise en scène fondée sur la force du hors-champ, Jérôme Bonnell signe avec Chère Léa une comédie humble, délicate et séduisante.
L'Obs
Cinéaste d’une délicatesse infinie, Jérôme Bonnell sonde la fragilité masculine en mêlant plusieurs destins – psychotique, entrepreneur véreux –, autant de projections déformées de Jonas.
La Croix
Jérôme Bonnell compose avec Chère Léa une tonalité inédite, entre le temps distendu d’une journée et le rythme des rencontres, la tristesse désenchantée de la rupture amoureuse et l’humour pétillant des interlocuteurs de Jonas. Un précipité d’humanité imparfaite et attachante.
Le Journal du Dimanche
Si le film épouse avec une touche d'humour burlesque le ton et le rythme d'une romcom, il gagne peu à peu en profondeur, racontant moins la reconquête d'un amour que l'acceptation de sa fin. Outre ses qualités d'écriture, sa réussite tient à l'abattage de Grégory Montel, comme tout droit sortir de Dix pour cent, épaulé par des seconds rôles parfaits.
Le Monde
Une mécanique joyeuse et collective de tous nos maux bizarres.
Le Parisien
Un humour tendre et une indulgence pour nos petites et grandes faiblesses se dégagent de ce film attachant.
Les Echos
Même si les péripéties du film obéissent à une logique trop mécanique, cette fiction farfelue, sans atteindre le niveau des plus belles réussites de Bonnell, se distingue joliment dans le registre si souvent désolant de la comédie sentimentale.
Première
Bonnell se montre ici tout aussi juste dans la comédie que dans l’émotion pure. La délicatesse faite cinéaste, on vous dit.
Cahiers du Cinéma
Sous ses dehors de comédie sophistiquée, Chère Léa souffre surtout de son attelage parfois maladroit entre le vaudeville et un imaginaire pittoresque (la communauté du café), où même les scènes les plus inspirées (celle, mélancolique, dans laquelle apparait Léa Drucker) s’inscrivent au sein d’un récit trop fléché pour toucher en plein cœur.
Le Figaro
Jérôme Bonnell a un petit talent pour trousser des intrigues sentimentales (Le Chignon d'Olga, Le Temps de l'aventure, À trois on y va). Cette fois, le huis clos bavard et bistrotier ne lui réussit pas. Entre Brèves de comptoir et pas grand-chose de bouleversant.
Les Fiches du Cinéma
Malgré l’argument prometteur et la belle distribution, le film, bien trop sage et impersonnel, déçoit finalement.
Libération
De ce point de départ bien balisé, entre huis clos façon mini comédie humaine et drame sentimental, Jérôme Bonnell ne tirera pas grand-chose d’autre qu’une série de champs-contrechamps poussifs sur des personnages qui enchaînent, c’est le cas de le dire, les discussions de comptoir.