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Chris Chantereau
2 abonnés
7 critiques
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1,5
Publiée le 4 mars 2022
Je ne comprends pas les 4 et 5 étoiles des critiques presse ...?? Tout au long du film, je n'ai ressenti aucunes émotions. Ce film est d'une telle froideur implacable que je n'ai absolument pas pu entrer dans cette histoire, qui tient plus du documentaire ...et encore...il y a des documentaires qui provoquent plus d'émotions, de ressenti. L'héroïne enchaine une succession de scènes au scalpel, (et je ne détaillerai pas le cadrage portable) Rien est fait pour que l'on soit en empathie avec elle: Découpage/montage au cordeau des relations avec sa direction, les passagers, ses parents, ses amis, ses soirées assourdissantes (bonjour l'ingénieur du son) qui se terminent en beuveries, ses coucheries de passages pitoyables...quelle misère morale :( Qui est-elle ??? ahh telle est la question! Pour ma part je dirais une sorte de robot qui subit ce qui lui arrive, sans positivisme, sans personnalité, sans vision d'avenir dans sa profession qui ne semble décidément pas l'emballer!! La caméra se contente de la filmer dans ce qu'on lui a demandé de faire: un peu de larme, un peu de détachement, un peu de révolte réprimée, quelques sourires, beaucoup d'inertie... Ce n'est pas une jeune femme désabusée, c'est une jeune femme déprimée chronique, coquille vide qui ne semble croire en rien. Film beaucoup trop long (des plans fixes qui s'éternisent inutilement) je n'ai pas été au bout, je suis sortie 15mn avant la fin, aussi vide que l'héroïne... Si certaines jeunes femme veulent devenir hôtesse de l'air, et bien ce film va les en dégoutter...
Un film qui a priori avait l’air attirant et intéressant. Assez, voir, très déçu devant le film au cinéma. Le film ressemble plus à un vlog d’une hôtesse de l’air mais sans montage avec des scènes extrêmement longues et inutiles provoquant un sentiment de lassitude pour la personne qui visionne le film. Si, comme moi, vous n’êtes pas fan de ce genre de film, vaut-il mieux aller en voir un autre.
Premiere partie : Cassandre est hôtesse de l’air pour une compagnie low cost. Malgré des longueurs cette séquence est intéressante en ce qu’elle nous montre les coulisses d’un metier fort peu glamour. Deuxième partie : Cassandre rentre dans sa famille et se confronte à la réalité qui l’a fait fuir. Là encore trop de longueurs mais beaucoup de sensibilité dans l’approche de cette histoire familiale. Troisième (courte) partie : Cassandre est à Dubaï, cette destination de rêve pour une génération. Cela sera t-il idyllique ? A nous de nous faire notre pronostic. Évidemment Adele Exarcopoulos enflamme l’écran d’autant que la réalisation est friande de plans serrés. La dite réalisation tres frénétique risque vite d’être fort démodée. Un film assez original mais qui mériterait à être plus resserré.
Le film est au départ une surprise, on ne sait pas vraiment sur quel pied danser. Une comédie dramatique ? Un documentaire ? C'est grâce à toutes ces questions que le film va placer son enjeu et brouiller la ligne entre le réel, l'imaginaire et le documentaire. Un propos, une idée qui va mettre son temps à arriver mais qui, une fois à bon port, ne pourra plus que décoller.
Emmanuel Marre et Julie Lecoustre racontaient qu'ils avaient pensé et écrit le rôle de Cassandre en ne voyant qu'Adèle Exarchopoulos pour l'interpréter. Un rôle qu'elle manie si bien que le film aura trop tendance à reposer sur ses épaules. L'actrice qui s'était démarquée dans Mandibules, sait encore une fois transmettre une bonne palette d'acting et ainsi nous faire ressentir de l'empathie pour le personnage de Cassandre.
Le film qui semblait au départ être une comédie dramatique se tend très fortement vers le documentaire. Un film qui sera en grande partie tourné dans des aéroports sans aucune autorisation. Ce sera avec plus de 15 vols Paris/Madrid au compteur que cette équipe a réalisé le film Rien à foutre. Un casting qui lui aussi est très clandestin du fait que tous les acteurs de ce film sont de vrais travailleurs aériens.
Rien à foutre est avant tout une critique sur la condition de vie, de travail et de rémunération des hôtes et hôtesses de l'air dans ces compagnies "low cost". Une critique qui vise directement certaines compagnies: on pourra identifier une solide ressemblance au logo Rayanair grâce aux petites ailes des uniformes, mais également avec le choix des tenues portées par le casting du film.
Toutes les hôtesses de l'air vont au paradis de Daniel Burman (2002) Une comédie dramatique en appelle toujours une autre. J'ai directement pensé à ce film en sortant de la séance. Une histoire de deuil, d'amour et d'envol qui sait montrer la dure réalité des hôtesses de l'air. Une histoire qui se démarque par la puissance d'une rencontre, qui, au contraire de Rien à foutre, montre davantage qu'une évolution interne du personnage principal.
Film d'une lenteur inouïe, la moitié des spectateurs sont partis avant la moitié du film et la digestion de mon repas du midi m'a empêché de faire de même.
L'histoire paraissait pourtant intéressante cependant, on ne comprends pas du tout ou les réalisateurs veulent nous emmener, ça part dans tous les sens. L'histoire est décousue, sans rythme et très très ennuyante. Très déçue alors que j'ai adoré l'actrice principale dans la vie d'Adèle. Gardez votre argent
Durant près d'une heure le scénario suit un rond-point où Cassandre effectue un vol, sort en discothèque, va sur Tinder, couche sans lendemain, effectue un nouveau vol, sort, couche, se saoule, et rebelote. On se demande où va nous mener ce tournez-manège. Elle est jeune, ne travaille pas depuis si longtemps, et surtout les deux cinéastes semblent généralisés la situation dans le mal-être de Cassandre mais cette dernière semble être la seule sans aucun appui ou lien tangible avec ses collègues. On remarque surtout son immaturité, personnellement et professionnellement. Puis soudain d'une chronique de la jeunesse en perdition à une immersion dans le low cost aérien, on passe alors à une sorte de comédie dramatique familiale pour une film qui s'éparpille autant que l'esprit de Cassandre, sans savoir où aller, sans savoir quelle direction prendre. Adèle Exarchopoulos porte le film, mais pas aidée par un scénario un peu vain, symptomatique de cette mise en scène qui oscille entre immersion presque en façon found-footage, et une dimension contemplative avec des séquences étirées sans intérêts. Dommage... Site : Selenie
Un film que je me suis forcé à regarder jusqu'au bout mais sans seulement comprendre ou il voulait en venir, à part peut être montrer la déchéance humaine. Une jeune fille qui fait l'hôtesse, fume trop, boit trop, se laisse vivre, tout ça à l'image du titre pas si mal choisi pour cette si pauvre création...
Je n'ai toujours pas compris ce film . Une première partie , plutôt intéressante qui nous montre de l'intérieur , du côté du personnel navigant , le monde des compagnies aériennes low-cost . Même si je n'aime pas trop la façon de filmer pour donner un air de reportage. Ensuite on plonge dans le prive familiale de la jeune Constance , hôtesse de l'air...et là, le film se perd dans tous les sens ..... Quel ennui tout cela.
Adèle est encore une fois merveilleuse. Le sujet est des plus intéressant. Cela me rappelle un bouquin que j ai lu il y à quelques années sorti sur ce thème 'Avions Poubelle '. J y retrouve de grandes similitudes . Bref, je me suis régalé.
Quel dommage ! Film magnifique jusqu'à la dérive du sujet. Nous étions fasciné par la vie peu conventionnelle d'une stewardess. Puis arrive une histoire qui nous éloigne encore plus du titre, déjà un poil mystérieux. C'est à pleurer
Un film décevant et très inégal, avec néanmoins une première partie intéressante sur la vie d'une hôtesse de l'air dans une compagnie low-cost. La deuxième partie du film manque d'originalité et proposent beaucoup de séquences inutiles ou hors sujet à mon gout. Au bout d'une heure cinquante deux, on a qu'une seule envie c'est que le film se termine pour que l'on puisse enfin imaginer l'héroïne joué par la talentueuse Adèle Exarchopoulos reprendre à nouveau les airs...Dommage le pitch et la bande annonce du film étaient prometteurs.
2h d'un film ressemblant à une télé réalité dans laquelle on suit la vie d'une jeune hôtesse de l'air déambulant dans sa vie au gré de rencontres d'un soir, de compte Instagram et d'anecdotes professionnelles. Tout sonne faux, dialogues affligeants, scénario absent, plans séquences interminables sur....rien. Adèle sauve un peu le film ainsi que cette histoire d'accident de voiture tragique dont a été victime sa mère. A éviter
J'ai beaucoup aimé ce film et à la fin, on est triste de quitter l'héroïne à la fin du film ! On suit la vie d'une hôtesse de l'air sur une compagnie low cost. On compris vite qu'elle avale "des couleuvres" pour survivre dans ce milieu. On comprend aussi sa solitude. Dans la 2ème partie, elle rentre chez son père (en Belgique ?) et là avec sa sœur aussi, elle retrouve des contacts "normaux". La mère est morte récemment dans un accident et on comprend d'autant plus sa détresse. Elle se révèle tout à tour courageuse, amusante et tenace.(bravo l'actrice !).