Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Portant malicieusement bien son titre, ce premier long-métrage réjouissant ne ressemble à rien d’autre qu’à lui-même : découverte alternative au cinéma installé, et portrait judicieux de la jeunesse de son temps. Avec Adèle Exarchopoulos, irradiante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Françoise Delbecq
Une magnifique ode à l'ultra-moderne solitude.
Le Parisien
par La Rédaction
Ça n’est pas seulement Cassandre qu’Adèle Exarchopoulos incarne, mais toute une génération éprise de liberté tout en fuyant l’intime. À 28 ans, ce rôle, dans un film pas forcément grand public mais qui parlera à de nombreux jeunes, fera date pour la comédienne lancée par « La Vie d’Adèle », d’Abdelatif Kechiche.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
A l’aide d’un dispositif de mise en scène qui glane un fort sentiment de réel en mêlant improvisation et reconstitution minutieuse, Julie Lecoustre et Emmanuel Marre parviennent à raconter l’état émotionnel de la génération Y.
Libération
par Camille Nevers
Le premier film d’Emmanuel Marre et Julie Lecoustre, exploration intime et politique du quotidien d’une hôtesse de l’air, fascine par sa minutie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
par Caroline Vié
« Rien à foutre » brosse un portrait sensible d'une jeune hôtesse de l'air qui vit au jour le jour et tente de fuir un passé familial douloureux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Marre et Lecoustre s’en remettent aux termes d’un hyperréalisme d’autant plus pertinent qu’il déborde la simple posture dénonciatrice, pour saisir les coordonnées bifaces du contemporain : séduction et brutalité, flottement et rentabilité, servitude et désinvolture, surprésence et absence à soi.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Pour leur premier film, Emmanuel Marre et Julie Lecoustre font le portrait assez rare d’une jeune femme au point mort et sans ambition, sans jamais prendre le parti de la juger, acceptant à bras le corps son inhérente tristesse.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Emmanuel Marre et Julie Lecoustre se mettent dans les pas d’Adèle Exarchopoulos et ne la lâchent pas : l’actrice fait décoller ce film social tout simple, qui se double d’un joli portrait générationnel.
Ecran Large
par La Rédaction
Un beau film sur les liens qui s'impriment ou non, à l'heure où tout doit aller vite.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Dans la veine du cinéma réaliste, ce film fait réfléchir sur le cynisme économique, l'avenir du secteur aérien, et sur la fuite en avant d'un monde en perte de repères.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Résistant aux éclats fébriles et/ou romanesques hérités de Pialat et de Truffaut, le film zappe le drame pour privilégier le flux de la vie comme elle va, sans trémolos, ce qui est rare. Avec Rien à foutre, on atteint un sommet du cinéma français. Et il est belge…
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
De tous les plans sans en être, apparente touriste d’un film assez retors, Exarchopoulos se fait, au même titre que Julie Lecoustre et Emmanuel Marre, metteuse en scène de son personnage et du film.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Dans la cabine avec Adèle Exarchopoulos, Emmanuel Marre et Julie Lecoustre déconstruisent cette imagerie de surface, dans une approche plus terre à terre, appuyée sur une scrupuleuse observation du métier. Dans leur film au réalisme très travaillé, les deux réalisateurs ont embarqué aux côtés de l’actrice de vrais personnels navigants.
Le Journal du Dimanche
par Bap.T.
De tous les plans, Adèle Exarchopoulos y livre une prestation de haut vol.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
C'est ce tout petit voyage dans la tête, beau geste de cinéma, qu'il faut aller vite découvrir en salles.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un premier film implacable et lucide, soutenu par une composition magistrale d'Adèle Exarchopoulos.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
À travers le portrait d'une hôtesse de l'air (formidable Adèle Exarchopoulos), Rien à foutre dresse le tableau d’un milieu professionnel, puis livre une étude familiale, l’un et l’autre splendides.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec humour et une apparente impassibilité, les cinéastes mettent en scène leur personnage au travail, puis, dans une dernière partie plus intimiste, donnent à voir avec sensibilité ses blessures secrètes et sa révolte contre des assignations qui la tuent à petit feu. Malgré ses longueurs et préciosités, un film singulier sur notre monde comme il va mal.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Loïc Flayac
Très beau, très drôle et très politique.
Positif
par Dominique Martinez
La liberté d’écriture et de mise en scène d’Emmanuel Marre et de Julie Lecoustre a permis une direction d’acteurs qui apporte un souffle déterminant à ce portrait de femme très contemporain.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un portrait en forme de contre road movie malgré les déplacements incessants. Le seul trajet qui compte se fait à l’intérieur de soi et s’achève par le retour de Cassandre chez elle...
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Le geste cinématographique de Julie Lecoustre et d’Emmanuel Marre est émouvant en même temps que courageux : il fait de l’ennui le lieu de la réappropriation physique et de la reconquête intime, opposant aux impératifs de la modernité laborieuse la mollesse réparatrice du désœuvrement.
Télé Loisirs
par Emilie Leonie
De tous les plans, Adèle Exarchopoulos transcende avec une grande sensibilité et un naturel renversant ce portrait d'une jeunesse désenchantée, qui peine à trouver la sortie de secours.
Télérama
par Louis Guichard
Sur ce thème-clé, les auteurs poursuivent jusqu’au bout leur exploration lucide et passionnante du monde contemporain, et préparent un tableau final d’une grande force, ponctuant le portrait intime par une ample vision de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un beau portrait de femme.
L'Obs
par Sophie Grassin
La caméra ne quitte pas d’une semelle Adèle Exarchopoulos, qui, depuis « la Vie d’Adèle », n’avait jamais autant convaincu que dans ce film au profil modeste tourné à l’arrache avec des non-professionnels.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film décapant est le parfait contrepoint aux exaspérantes publicités pour ces compagnies qui dégoulinent d’images trompeuses. La réalité de l’hyper-concurrence dans les airs est une saumâtre exploitation. Les « hôtesses de l’air » ne sont pas à la fête.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par François Léger
Depuis les coulisses pas très réjouissantes de l'aviation à bas coûts (qui n’ont jamais été filmées aussi crûment), le duo dresse un portrait générationnel drôle et mélancolique, construit sur une réalisation à la frontière du documentaire (beaucoup d’improvisations et d’acteurs non-professionnels).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
L’actrice dynamite les scènes de comédie, et prête aussi sa vulnérabilité et sa mélancolie à ce portrait tranchant d’une génération précarisée et résignée.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Le tandem Marre/Lecoustre signe une comédie foutrement décontractée et tire le portrait d’une génération gentiment désabusée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Cette première partie de Rien à foutre ressemble à un documentaire sur une jeunesse « ubérisée ». La seconde vire au mélo quand Cassandre retourne dans sa famille endeuillée par la mort de sa mère. Le tout est un (long) film dont on n'a un peu rien à faire. On reste poli.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
Portant malicieusement bien son titre, ce premier long-métrage réjouissant ne ressemble à rien d’autre qu’à lui-même : découverte alternative au cinéma installé, et portrait judicieux de la jeunesse de son temps. Avec Adèle Exarchopoulos, irradiante.
Elle
Une magnifique ode à l'ultra-moderne solitude.
Le Parisien
Ça n’est pas seulement Cassandre qu’Adèle Exarchopoulos incarne, mais toute une génération éprise de liberté tout en fuyant l’intime. À 28 ans, ce rôle, dans un film pas forcément grand public mais qui parlera à de nombreux jeunes, fera date pour la comédienne lancée par « La Vie d’Adèle », d’Abdelatif Kechiche.
Les Inrockuptibles
A l’aide d’un dispositif de mise en scène qui glane un fort sentiment de réel en mêlant improvisation et reconstitution minutieuse, Julie Lecoustre et Emmanuel Marre parviennent à raconter l’état émotionnel de la génération Y.
Libération
Le premier film d’Emmanuel Marre et Julie Lecoustre, exploration intime et politique du quotidien d’une hôtesse de l’air, fascine par sa minutie.
20 Minutes
« Rien à foutre » brosse un portrait sensible d'une jeune hôtesse de l'air qui vit au jour le jour et tente de fuir un passé familial douloureux.
Cahiers du Cinéma
Marre et Lecoustre s’en remettent aux termes d’un hyperréalisme d’autant plus pertinent qu’il déborde la simple posture dénonciatrice, pour saisir les coordonnées bifaces du contemporain : séduction et brutalité, flottement et rentabilité, servitude et désinvolture, surprésence et absence à soi.
CinemaTeaser
Pour leur premier film, Emmanuel Marre et Julie Lecoustre font le portrait assez rare d’une jeune femme au point mort et sans ambition, sans jamais prendre le parti de la juger, acceptant à bras le corps son inhérente tristesse.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Emmanuel Marre et Julie Lecoustre se mettent dans les pas d’Adèle Exarchopoulos et ne la lâchent pas : l’actrice fait décoller ce film social tout simple, qui se double d’un joli portrait générationnel.
Ecran Large
Un beau film sur les liens qui s'impriment ou non, à l'heure où tout doit aller vite.
Femme Actuelle
Dans la veine du cinéma réaliste, ce film fait réfléchir sur le cynisme économique, l'avenir du secteur aérien, et sur la fuite en avant d'un monde en perte de repères.
L'Humanité
Résistant aux éclats fébriles et/ou romanesques hérités de Pialat et de Truffaut, le film zappe le drame pour privilégier le flux de la vie comme elle va, sans trémolos, ce qui est rare. Avec Rien à foutre, on atteint un sommet du cinéma français. Et il est belge…
La Septième Obsession
De tous les plans sans en être, apparente touriste d’un film assez retors, Exarchopoulos se fait, au même titre que Julie Lecoustre et Emmanuel Marre, metteuse en scène de son personnage et du film.
Le Dauphiné Libéré
Dans la cabine avec Adèle Exarchopoulos, Emmanuel Marre et Julie Lecoustre déconstruisent cette imagerie de surface, dans une approche plus terre à terre, appuyée sur une scrupuleuse observation du métier. Dans leur film au réalisme très travaillé, les deux réalisateurs ont embarqué aux côtés de l’actrice de vrais personnels navigants.
Le Journal du Dimanche
De tous les plans, Adèle Exarchopoulos y livre une prestation de haut vol.
Le Monde
C'est ce tout petit voyage dans la tête, beau geste de cinéma, qu'il faut aller vite découvrir en salles.
Les Echos
Un premier film implacable et lucide, soutenu par une composition magistrale d'Adèle Exarchopoulos.
Les Fiches du Cinéma
À travers le portrait d'une hôtesse de l'air (formidable Adèle Exarchopoulos), Rien à foutre dresse le tableau d’un milieu professionnel, puis livre une étude familiale, l’un et l’autre splendides.
Marianne
Avec humour et une apparente impassibilité, les cinéastes mettent en scène leur personnage au travail, puis, dans une dernière partie plus intimiste, donnent à voir avec sensibilité ses blessures secrètes et sa révolte contre des assignations qui la tuent à petit feu. Malgré ses longueurs et préciosités, un film singulier sur notre monde comme il va mal.
Marie Claire
Très beau, très drôle et très politique.
Positif
La liberté d’écriture et de mise en scène d’Emmanuel Marre et de Julie Lecoustre a permis une direction d’acteurs qui apporte un souffle déterminant à ce portrait de femme très contemporain.
Sud Ouest
Un portrait en forme de contre road movie malgré les déplacements incessants. Le seul trajet qui compte se fait à l’intérieur de soi et s’achève par le retour de Cassandre chez elle...
Transfuge
Le geste cinématographique de Julie Lecoustre et d’Emmanuel Marre est émouvant en même temps que courageux : il fait de l’ennui le lieu de la réappropriation physique et de la reconquête intime, opposant aux impératifs de la modernité laborieuse la mollesse réparatrice du désœuvrement.
Télé Loisirs
De tous les plans, Adèle Exarchopoulos transcende avec une grande sensibilité et un naturel renversant ce portrait d'une jeunesse désenchantée, qui peine à trouver la sortie de secours.
Télérama
Sur ce thème-clé, les auteurs poursuivent jusqu’au bout leur exploration lucide et passionnante du monde contemporain, et préparent un tableau final d’une grande force, ponctuant le portrait intime par une ample vision de cinéma.
Voici
Un beau portrait de femme.
L'Obs
La caméra ne quitte pas d’une semelle Adèle Exarchopoulos, qui, depuis « la Vie d’Adèle », n’avait jamais autant convaincu que dans ce film au profil modeste tourné à l’arrache avec des non-professionnels.
La Croix
Ce film décapant est le parfait contrepoint aux exaspérantes publicités pour ces compagnies qui dégoulinent d’images trompeuses. La réalité de l’hyper-concurrence dans les airs est une saumâtre exploitation. Les « hôtesses de l’air » ne sont pas à la fête.
Première
Depuis les coulisses pas très réjouissantes de l'aviation à bas coûts (qui n’ont jamais été filmées aussi crûment), le duo dresse un portrait générationnel drôle et mélancolique, construit sur une réalisation à la frontière du documentaire (beaucoup d’improvisations et d’acteurs non-professionnels).
Télé 7 Jours
L’actrice dynamite les scènes de comédie, et prête aussi sa vulnérabilité et sa mélancolie à ce portrait tranchant d’une génération précarisée et résignée.
aVoir-aLire.com
Le tandem Marre/Lecoustre signe une comédie foutrement décontractée et tire le portrait d’une génération gentiment désabusée.
Le Figaro
Cette première partie de Rien à foutre ressemble à un documentaire sur une jeunesse « ubérisée ». La seconde vire au mélo quand Cassandre retourne dans sa famille endeuillée par la mort de sa mère. Le tout est un (long) film dont on n'a un peu rien à faire. On reste poli.