Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Certes, Bertrand Mandico est un homme et d’aucuns pourraient lui rétorquer de filmer ce qui le regarde. Or, justement, qu’un homme mette en scène aussi délicatement le mystère au féminin est plutôt réjouissant. Car Mandico redonne toutes ses lettres de noblesse aux films de genre, transcende joyeusement ses codes pour mieux les détourner, s’en amuser, leur tordre le nez et nous épater.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un western au féminin, fantastique, fiévreux et sensuel.
Mad Movies
par François Cau
After Blue (Paradis sale) est une expérience authentiquement extraterrestre, un réceptacle à sensations inédites dans un écrin de feu. Un film qui revient de loin pour mieux venir d'ailleurs.
Cahiers du Cinéma
par Alice Leroy
Un film qui assume non sans humour un fétichisme et une sensualité qui ne déparent jamais sa splendeur.
Culturopoing.com
par Anna Fournier
Bertrand Mandico exhibe la fantaisie dans une outrance cosmique et séduisante. Son cinéma est frontal, il ne se soumet jamais au naturel. L'artifice fonde religieusement son imaginaire cinématographique.[...] Un paradis sale halluciné, une douceur acide, qui fourmille autant de merveilles que de cruautés.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par La rédaction
Pour qui goûte à sa sensualité toute particulière, l'expérience vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Septième Obsession
par Noémie Luciani
Un western, un road-movie initiatique, la chronique d'un passage à l'âge adulte et d'une relation mère-fille, un survival en milieu hostile, un poème d'éveil charnel et le dernier palier avant la fin du monde, tout cela ensemble et en même temps.
Les Inrockuptibles
par Philippe Azoury
Film tout entier dévoué aux actrices, tourné en 35 mm format Scope, dans des mouvements d’une ampleur épique, il appartient pourtant au registre rare du cinéma minéral, fait main, où tout est de l’ordre de l’artisanat, du tissage, de la grandeur modeste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Dire qu’on s’y sent bien est un euphémisme, tant la forme, chiadée et enveloppante, sollicitant ouïe et vision à chaque seconde, ressemble à un bain, mais surtout attise l’intérêt par la manière si organique de Mandico d’emboîter cette forme, ses textures et ses surfaces, dans ce qu’il raconte.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Frédéric Strauss
Sous l’éclat pop, la finesse des traits et la justesse du choix des interprètes révèlent la profondeur donnée ici à ce mot galvaudé : la fascination.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Baroque, sonore et sensuel, le nouveau film de Bertrand Mandico décline un univers fantasmagorique et fascinant. Une franche réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un mélange des genres à l’esthétique envoûtante mais au récit pouvant frustrer.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une fantasmagorie prête à toutes les folies et dont l'obsession tient au mélange des genres et des codes.
Critikat.com
par Josué Morel
Le film met bien en exergue les limites du style de Mandico, qui fait ici du surplace.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Yann Tobin
Pendant plus de deux heures, la fable initiatique d’une jeune fille androgyne et de sa mère, traquant une créature maléfique nommée « Kate Bush » dans des décors psychédéliques, épuise progressivement ses ressorts et notre tolérance.
Première
par Thierry Chèze
Mandico mêle à l’écran des ambiances de western, de science-fiction et de cinéma d’horreur avec une vraie virtuosité. Mais comme obnubilé par cette recherche formelle, il en oublie d’accorder la même attention à son récit de plus de 120 minutes riche en bégaiements qui tire vite en longueurs et suscite un ennui qui était absent de son précédent long métrage – et sommet à ce jour – Les Garçons sauvages.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Bref, rien à sauver dans ce métrage qui peut faire penser à certaines tentatives arty des années 70 dans l'inanité absolue.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Là où l’on espérait du queer intersexe, on doit subir une mise en scène très hétéronormée avec plein de représentations phalliques, de métaphores du sperme, et un regard bien masculin sur les filles en couple.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Décors kitsch, jeu d'acteur épouvantable, dialogues ridicules… L'avant-garde d'hier est l'arrière-garde d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Passé cette promesse d'un thriller d'anticipation hors-norme, l'iconoclaste Bertrand Mandico livre une échappée plutôt décevante, ni ludique ni rébarbative, bégayant son histoire de bout en bout entravée par des personnages flous et superficiels.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Hélas, l’outrance du jeu des actrices, la plupart peu frileuses du haut, ainsi que des dialogues totalement azimutés et déclamés d’un ton sentencieux tirent aussi souvent l’ensemble vers la série Z. Pour public averti, comme on dit.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Humanité
Certes, Bertrand Mandico est un homme et d’aucuns pourraient lui rétorquer de filmer ce qui le regarde. Or, justement, qu’un homme mette en scène aussi délicatement le mystère au féminin est plutôt réjouissant. Car Mandico redonne toutes ses lettres de noblesse aux films de genre, transcende joyeusement ses codes pour mieux les détourner, s’en amuser, leur tordre le nez et nous épater.
Le Monde
Un western au féminin, fantastique, fiévreux et sensuel.
Mad Movies
After Blue (Paradis sale) est une expérience authentiquement extraterrestre, un réceptacle à sensations inédites dans un écrin de feu. Un film qui revient de loin pour mieux venir d'ailleurs.
Cahiers du Cinéma
Un film qui assume non sans humour un fétichisme et une sensualité qui ne déparent jamais sa splendeur.
Culturopoing.com
Bertrand Mandico exhibe la fantaisie dans une outrance cosmique et séduisante. Son cinéma est frontal, il ne se soumet jamais au naturel. L'artifice fonde religieusement son imaginaire cinématographique.[...] Un paradis sale halluciné, une douceur acide, qui fourmille autant de merveilles que de cruautés.
Ecran Large
Pour qui goûte à sa sensualité toute particulière, l'expérience vaut le détour.
La Septième Obsession
Un western, un road-movie initiatique, la chronique d'un passage à l'âge adulte et d'une relation mère-fille, un survival en milieu hostile, un poème d'éveil charnel et le dernier palier avant la fin du monde, tout cela ensemble et en même temps.
Les Inrockuptibles
Film tout entier dévoué aux actrices, tourné en 35 mm format Scope, dans des mouvements d’une ampleur épique, il appartient pourtant au registre rare du cinéma minéral, fait main, où tout est de l’ordre de l’artisanat, du tissage, de la grandeur modeste.
Libération
Dire qu’on s’y sent bien est un euphémisme, tant la forme, chiadée et enveloppante, sollicitant ouïe et vision à chaque seconde, ressemble à un bain, mais surtout attise l’intérêt par la manière si organique de Mandico d’emboîter cette forme, ses textures et ses surfaces, dans ce qu’il raconte.
Télérama
Sous l’éclat pop, la finesse des traits et la justesse du choix des interprètes révèlent la profondeur donnée ici à ce mot galvaudé : la fascination.
aVoir-aLire.com
Baroque, sonore et sensuel, le nouveau film de Bertrand Mandico décline un univers fantasmagorique et fascinant. Une franche réussite.
Les Fiches du Cinéma
Un mélange des genres à l’esthétique envoûtante mais au récit pouvant frustrer.
Sud Ouest
Une fantasmagorie prête à toutes les folies et dont l'obsession tient au mélange des genres et des codes.
Critikat.com
Le film met bien en exergue les limites du style de Mandico, qui fait ici du surplace.
Positif
Pendant plus de deux heures, la fable initiatique d’une jeune fille androgyne et de sa mère, traquant une créature maléfique nommée « Kate Bush » dans des décors psychédéliques, épuise progressivement ses ressorts et notre tolérance.
Première
Mandico mêle à l’écran des ambiances de western, de science-fiction et de cinéma d’horreur avec une vraie virtuosité. Mais comme obnubilé par cette recherche formelle, il en oublie d’accorder la même attention à son récit de plus de 120 minutes riche en bégaiements qui tire vite en longueurs et suscite un ennui qui était absent de son précédent long métrage – et sommet à ce jour – Les Garçons sauvages.
L'Ecran Fantastique
Bref, rien à sauver dans ce métrage qui peut faire penser à certaines tentatives arty des années 70 dans l'inanité absolue.
L'Obs
Là où l’on espérait du queer intersexe, on doit subir une mise en scène très hétéronormée avec plein de représentations phalliques, de métaphores du sperme, et un regard bien masculin sur les filles en couple.
Le Figaro
Décors kitsch, jeu d'acteur épouvantable, dialogues ridicules… L'avant-garde d'hier est l'arrière-garde d'aujourd'hui.
Le Journal du Dimanche
Passé cette promesse d'un thriller d'anticipation hors-norme, l'iconoclaste Bertrand Mandico livre une échappée plutôt décevante, ni ludique ni rébarbative, bégayant son histoire de bout en bout entravée par des personnages flous et superficiels.
Le Parisien
Hélas, l’outrance du jeu des actrices, la plupart peu frileuses du haut, ainsi que des dialogues totalement azimutés et déclamés d’un ton sentencieux tirent aussi souvent l’ensemble vers la série Z. Pour public averti, comme on dit.