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Film d'horreur à jump scare lambda maquillé comme autres revisites comme il en existe par centaines, au lieu de brandir une croix pour faire fuir les démons, le personnage principal, cette fois si juif, utilise des méthodes inédites.
Film à huis-clos efficace cependant, au rythme est constant et à l'horreur tant visuel que suggestif, bien dosé.
Le film se démarque peu, et est oubliable (déjà vu sur déjà vu), mais répond aux attentes de films types dans le moule, sans renouvellement.
L'acteur est crédible dans son interprétation, l'imagerie et les sons soignés, mais rien de mémorable, pour un tout oubliable.
Si en l'absence de grandes attentes on peut facilement se laisser tenir en haleine, l'élément de résolution survient cependant étonnamment brutalement, sans rien avoir vu venir, une vingtaine de minutes supplémentaires? une feinte? le film se clôture trop brutalement, après "un combat" vite expédié.
Film à huis-clos efficace cependant, au rythme est constant et à l'horreur tant visuel que suggestif, bien dosé.
Le film se démarque peu, et est oubliable (déjà vu sur déjà vu), mais répond aux attentes de films types dans le moule, sans renouvellement.
L'acteur est crédible dans son interprétation, l'imagerie et les sons soignés, mais rien de mémorable, pour un tout oubliable.
Si en l'absence de grandes attentes on peut facilement se laisser tenir en haleine, l'élément de résolution survient cependant étonnamment brutalement, sans rien avoir vu venir, une vingtaine de minutes supplémentaires? une feinte? le film se clôture trop brutalement, après "un combat" vite expédié.
J'ai pas aimé.
C'est dommage parce que le film commençait plutôt bien, avec un acteur principal bon et efficace. Les bandes sons sont bien, c'est également bien filmé. Mais alors là deuxième partie qu'es ce qu'elle est lente ! C'est mou ! Il ne se passe absolument rien. Les petites scènes d'horreurs c'est du pur clichés. C'est du déjà vu. Des éléments ne collent pas, on a pas assez d'informations sur cette chose qui hante la maison. Je sais pas quoi vous dire du dénouement... Par contre, je serais vous dire : Évitez ce film.
C'est dommage parce que le film commençait plutôt bien, avec un acteur principal bon et efficace. Les bandes sons sont bien, c'est également bien filmé. Mais alors là deuxième partie qu'es ce qu'elle est lente ! C'est mou ! Il ne se passe absolument rien. Les petites scènes d'horreurs c'est du pur clichés. C'est du déjà vu. Des éléments ne collent pas, on a pas assez d'informations sur cette chose qui hante la maison. Je sais pas quoi vous dire du dénouement... Par contre, je serais vous dire : Évitez ce film.
Malgré une ambiance angoissante incontestable, on ne parvient pas à rentré complètement dans l'histoire. Le scénario de départ était pourtant intéressant mais une fois passé les 30 premières minutes, on peine à comprendre ce que le réalisateur veut nous dire...
trés bon film d'horreur ! le film a très peux de screamers gratuit , il joue plutôt sur la tension . et sa marche ! les screameurs sont malheureusement plutôt évident donc on a pas souvent peur . mais la tension est excelente ! les acteurs son très bon et les effect spéciaux aussi ! franchement a voir
Alors que Yakov tente de s’émanciper de la communauté juive orthodoxe, il accepte, par besoin financier, d’assurer la veillée funèbre d’un autre membre décédé de cette communauté.
Le film de Keith Thomas joue sur la mise en place d’une ambiance pesante et d’un sens de la fatalité, représentatifs du motif de la culpabilité dans la culture et religion juive. Cette association aurait pu s’avérer fascinante si The Vigil n’avait pas régulièrement recours à des procédés trop génériques ; la portée horrifique du huis-clos est limitée par des scènes de flashbacks franchement caricaturaux. Quant à la matérialisation de la culture de culpabilité juive par le biais d’un esprit démoniaque hantant le corps du défunt et le protagoniste, elle mériterait une résolution moins hâtive. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2020/07/29/the-vigil/)
Le film de Keith Thomas joue sur la mise en place d’une ambiance pesante et d’un sens de la fatalité, représentatifs du motif de la culpabilité dans la culture et religion juive. Cette association aurait pu s’avérer fascinante si The Vigil n’avait pas régulièrement recours à des procédés trop génériques ; la portée horrifique du huis-clos est limitée par des scènes de flashbacks franchement caricaturaux. Quant à la matérialisation de la culture de culpabilité juive par le biais d’un esprit démoniaque hantant le corps du défunt et le protagoniste, elle mériterait une résolution moins hâtive. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2020/07/29/the-vigil/)
Le folklore juif est rarement exploité par le cinéma d’épouvante et c’est bien dommage car en matière d’entités maléfiques et immondes, il s’avère remarquablement bien fourni...et puis, parce que le milieu hassidique ici présenté se révèlera plutôt exotique aux yeux du spectateur moyen. Parce qu’il est chômeur, Yakov est obligé d’accepter d’effectuer une mission de Shomer (désolé, fallait que je la sorte), c’est à dire veiller un défunt toute une nuit pour l’empêcher d’être corrompu par des esprits diaboliques. ‘The vigil’ repose ainsi sur un dispositif minimal et, fort heureusement, préfère faire reposer ses effets sur une atmosphère anxiogène soigneusement élaborée en lieu et place des jump-scares faciles auxquels on se serait attendu pour quelque chose qui se déroule intégralement dans une poignée de pièces. On en repère tout de même quelques-uns mais le film table plutôt sur des illusions fugaces et une sensation de menace imprécise dont on ne parvient pas à déterminer, dans un premier temps, si elle repose sur quelque chose de réel ou sur la psyché de plus en plus instable du Shomer. Au-delà de ses aspects fonctionnels, ‘The vigil’ vaut également par son sous-texte parfaitement intégré au scénario, qui évoque autant la volonté d’autarcie des communautés hassidiques que l’impact de la Shoah sur l’inconscient collectif juif contemporain. On est jamais loin de l’Elevated-genre et pour un premier film, ce n’est franchement pas à négliger.
Je dois admettre que je m'attendais à ce que le film The Vigil soit un peu plus que ce qu'il a réellement été. J'avais espéré un film d'horreur vraiment divertissant une histoire qui pourrait être intéressante et un concept qui s'écartaient de ce que l'on voit habituellement dans les films d'horreur. Hélas cela n'a pas été le cas car il s'est avéré immensément ennuyeux et sans histoire. En fait c'était tellement ennuyeux que j'ai fini par abandonner le film même pas à la moitié. Si vous voulez vous asseoir et regarder quelqu'un assis sur une chaise et regarder un cadavre sans que rien ne se passe alors c'est le film qu'il vous faut. Je voulais cependant que le film me divertisse et non qu'il m'ennuie. Alors Keith Thomas m'a fait faire un grand plongeon et m'a manqué. Le fait que je ne connaisse pas bien les traditions et les coutumes des Juifs et des Hébreux pourrait probablement avoir contribuer donc beaucoup de choses ont probablement été perdues pendant la transition pour moi. The Vigil était tout simplement trop banal et sans histoire pour que je l'apprécie et je n'ai absolument aucun intérêt à regarder le reste du film. L'histoire et les personnages n'ont pas trouvé d'écho en moi alors pourquoi m'en soucier...
C'est long...interminable.
On s'ennuie ferme.
Un film V.O.D sur grand écran.
On a l'impression d'avoir vu ce film plusieurs fois .
On s'ennuie ferme.
Un film V.O.D sur grand écran.
On a l'impression d'avoir vu ce film plusieurs fois .
Pas mal du tout. Le film est anxiogène et la tension est omniprésente. Il évoque la difficulté de se détacher d'une secte religieuse et le traumatisme des événements qui peuvent arriver dans une vie. Une bonne surprise !
Le pitch aurait pu être pas mal mais c'est mal joué ça traine en longueur un comble pour un film qui dure 1h20 donc film d'horreur très mauvais
Pas mal du tout, le film aborde un folklore qu'on n'a pas l'habitude de voir sur écran, évite d'utiliser les ficelles habituelles faites de jumpscares et autres apparitions soudaines, pour distiller de façon plus lente et insidieuse le malaise et la tension. L'ambiance claustrophobique est assez bien installée, le personnage principal tient plus de l'anti-héros et devient vite attachant, et le film se révèle au final bien immersif. Bonne surprise!
The Vigil de Keith Thomas s'appuie sur des mécaniques cinématographiques intéressantes mais ne parvient malheureusement pas à convaincre. Si Dave Randolph-Mayhem Davis parvient à livrer une prestation aboutie, de nombreuses zones ténébreuses subsistent : le scénario est trop prévisible, ce qui altère l'effet de surprise et certains personnages importants dont le passé est important sont volontairement placés sous silence. Enfin, il y a trop peu de moments anxiogènes alors que la nature du film se veut par définition oppressante et terrifiante.
Le résumé m'a donné envie, l'ongle de pied beaucoup moins et m'a amené vers bon nombre de fausses piste, c'est pas un film de possession, juste un sur la confiance en soi et la foi.
Ce film est une petite pépite. La photo est sublime, l´histoire super, le déroulé très bien réalisé et l´acteur principal vraiment très bien.
La montée de l´angoisse est progressive et bien menée.
Regardez le seul pour entrer dedans et je pense que vous aimerez.
Bon visionnage !
La montée de l´angoisse est progressive et bien menée.
Regardez le seul pour entrer dedans et je pense que vous aimerez.
Bon visionnage !
c'est fou comme dans les films américains et français ce sont les hommes blancs qui sont les agresseurs dans les rues sombres !!! il faudrait faire un sondage pour savoir combien de français ou d'américains ont été agressés dans la rue par des hommes blancs !!! parce que moi j'en connais aucun parmi ma famille, mes collègues de bureau, mes amis... soit je vis dans un monde à part soit les cinéastes français et américains nous prennent pour des c..!! c'est ça la culture Woke pour ceux qui ne l'aurait pas compris !!
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