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    Next Door
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    2,9
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    32 critiques spectateurs

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    Cinemadourg
    Cinemadourg

    780 abonnés 1 531 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2022
    A Berlin, une star de cinéma en partance pour Londres pour un gros casting, se voit accaparé dans le bar en bas de chez lui par un homme se disant être son voisin de l'immeuble d'en face.
    Cette rencontre, tout d'abord étrange, va s'avérer peu à peu totalement empoisonnée...
    Encore un film en forme de huis clos (COVID oblige) entre deux personnages aux caractères bien trempés.
    Le jeu des acteurs n'est pas extraordinaire (malgré la présence de l'acteur et réalisateur Daniel Brühl), mais on pourra tout de même apprécier la montée en puissance des révélations de ce mystérieux voisin que tout le monde rêverait ne jamais avoir !!
    Intrigant sans être génial, toxique sans être ensorcelant, ce petit thriller allemand vaut potentiellement le détour par curiosité.
    Assez piquant.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    382 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 novembre 2021
    C’est le premier film de Daniel BRUHL en tant que réalisateur après avoir été acteur dans « GOOD BYE LENIN ». Il forme avec Peter KURTH un tandem d’acteurs talentueux dans ce huis-clos à l’intérieur d’un bar où la vie de Daniel BRUHL va basculer. Sans être génial au niveau du scénario, le film vaut surtout pour l’interprétation des deux personnages principaux du film.

    Bernard CORIC
    velocio
    velocio

    1 320 abonnés 3 152 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2021
    En réalisant "Next Doo"r, son premier film en tant que réalisateur, Daniel Brühl poursuivait manifestement trois objectifs : arriver à casser avec délicatesse son image d’éternel gentil, montrer que la réunification de 1990 n’était pas encore complètement digérée, renseigner les spectateurs, sans porter de véritable jugement, sur le phénomène de gentrification qui se déroule dans la capitale allemande. C’est sous la forme d’une comédie noire, à la fois drôle et pleine de rebondissements, qu’il a réuni ces trois thèmes.
    Quiouchon
    Quiouchon

    3 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2022
    Un excellent film original et intelligent. Une caméra travaillée qui fait que bien qu' en huit clos ça n' est pas du théâtre filmé mais du vrai cinéma. Grinçant, caustique, mais un "je ne sais quoi" fait que l' on jubile pendant presque toute la projection.
    A prendre à tous les degrés.
    Ciné-13
    Ciné-13

    124 abonnés 1 085 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 juin 2022
    Fascinante confrontation... Le regard aux paupières gonflées de Peter est hypnotisant...
    L'Allemagne gardera éternellement ses blessures de guerre comme des démons qui surgissent à tout moment parmi sa population. Huis clos un peu étouffant sur la longueur!
    Romain Bauvillard
    Romain Bauvillard

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 janvier 2022
    Un casting vraiment étonnant
    Une histoire qui rend terriblement mal à l'aise
    Un bon huis clos oppressant !
    David Jankowski
    David Jankowski

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 janvier 2022
    Sublime. un duo de rêve. Un film juste fin subtil. Une réussite et un Daniel Bruhl au somme t de son art aussi bien réalisateur que comedien.
    FaRem
    FaRem

    8 790 abonnés 9 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 juin 2022
    Que l'on soit riche ou pauvre, célèbre ou inconnu, on est tous égaux face à certains problèmes de la vie. Alors qu'il se rend dans un bar où il a ses habitudes avant de prendre l'avion pour un casting important, Daniel, un célèbre acteur qui a l'habitude que tout le monde soit attentionné et gentil avec lui, fait la rencontre d'un homme qui ne va pas hésiter à lui rentrer dedans. Ce dernier l'attaque tout d'abord sur ses performances à l'écran avant que la discussion ne devienne beaucoup plus personnelle... J'ai vu des synopsis faisant mention de la gentrification et des inégalités sociales à Berlin, mais ce n'est pas vraiment ce dont il est question dans ce film. spoiler: On peut voir cela comme une conséquence de ce qui arrive, mais ce n'est pas le sujet du film.
    D'ailleurs, "Nebenan" a plus des airs d'un thriller qui se découvre peu à peu que d'un simple drame. Pour sa première derrière la caméra, Daniel Brühl propose un film assez bien maitrisé et intelligent même s'il y a un côté redondant au niveau du récit et de la mise en scène. Le film vaut surtout pour la performance de ces deux grands acteurs du cinéma allemand qui se renvoient parfaitement la balle au rythme de ces nombreuses révélations. Pas mal.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    701 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2021
    Daniel Brühl réussi haut la main sa première réalisation. Next Door est un huit clos intelligent qui confronte un protagoniste presque autobiographique à son voisin intrusif, sorte de représentation de sa propre conscience.
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 515 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 janvier 2022
    Daniel (Daniel Brühl) est un célèbre acteur allemand. Il vit à Berlin-Est dans un splendide duplex avec sa femme, ses deux enfants et une bonne cubaine. Ce matin, il prend l’avion pour aller passer une audition à Londres pour un rôle dans un blockbuster hollywoodien. Sur le chemin de l’aéroport, il s’arrête dans un vieux troquet. Un client, Bruno, qui se révèle être le voisin de Daniel et dont son père occupait l’appartement de Daniel avant sa coûteuse réhabilitation, engage la conversation avec lui. Elle prend vite un ton désagréable.

    Daniel Brühl est sans doute l’un des acteurs les plus célèbres et les plus sympathiques du cinéma allemand contemporain. Cette notoriété déjà ancienne, Daniel Brühl la doit à son premier rôle dans "Good Bye, Lenin!" en 2003. Depuis lors, il a cultivé son image de gendre idéal en Allemagne et jusqu’à Hollywood (il tourne pour Tarantino et pour l’univers cinématographique Marvel où il incarne le personnage d’Helmut Zemo). C’est cette image trop lisse qu’il prend un plaisir masochiste à ébrécher dans sa première réalisation.

    La construction en est très théâtrale. Tout – ou presque – s’y passe entre les quatre murs d’un café défraîchi où traînent deux piliers de bar et une patronne au profil de mère maquerelle. On pense à quelques huis clos d’anthologie : "Le Limier" de Mankiewicz, "Garde à vue" de Claude Miller, "La Jeune Fille et la Mort "de Polansky, "Funny Games" de Haneke….
    Ces chefs d’œuvre partagent quelques traits communs : une unité de temps, de lieu, d’action, une atmosphère oppressante, une interprétation hors pair, un scénario suffisamment surprenant pour ménager quelques rebondissements (et suffisamment rebondissant pour ménager quelques surprises).

    Au regard de tous ces critères, "Next Door" est défaillant. Il pèche d’abord par son manque de crédibilité : pourquoi le métrosexuel Daniel, tiré à quatre épingles, a-t-il ses habitudes dans ce rade repoussant ? pourquoi y retrouve-t-il ce matin-là son voisin ? pourquoi accepte-t-il d’écouter devant témoins ses révélations ?
    Il pèche surtout par sa construction prévisible. Chaque fois que Daniel menace de quitter la scène, chaque fois même qu’il réussit à la quitter, on sait par avance qu’il y reviendra puisque le film nous a fait la promesse d’un huis clos de quatre-vingt-dix minutes. Trop blasé par trop de films similaires reposant sur les mêmes ressorts, notre œil de spectateur note chaque détail en sachant par avance qu’il jouera un rôle déterminant : une enveloppe jaune est-elle glissée à un enfant de passage, on sait qu’elle ressurgira trente minutes plus tard, Bruno se déplace-t-il avec un tote bag, on sait qu’il en sortira quelques documents compromettants, etc.

    Le film de huis clos est un exercice périlleux ; l’autobiographie sans complaisance en est un plus périlleux encore. Daniel Brühl ne réussit ni l’un ni l’autre. Son capital de sympathie est tellement grand qu’on ne boudera pas pour autant son prochain film.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 janvier 2022
    “Next door” est le premier long-métrage de l’acteur Daniel Brühl derrière la caméra. Également en tête d’affiche, il s’offre le rôle d’une star du cinéma qui s’apprête à quitter son bel appartement berlinois pour se rendre à un casting à Londres et peut-être décrocher un rôle de super héros dans une production Marvel. Avant de partir, il descend prendre un café dans le bar en bas de chez lui et se retrouve face à un homme qui le connaît très bien, son voisin d’en face. S’en suit alors un dialogue interminable entre deux adversaires à huis clos. Le face-à-face est acide et fonce volontairement dans l’autocritique d’un acteur. Mais à force de vouloir apposer révélation sur révélation, le long-métrage s’enlise dans un égocentrisme qui n’intéresse plus personne.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    325 abonnés 3 000 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 juin 2022
    Pour sa première réalisation, D. Brühl plante son intrigue dans un quasi huit clos, au sein d'un café. une variation sur le vedétariat et l'intrusion dans la vie privée, assez soporifique
    au scénario limité et théâtral sur la forme. Un projet pas convaincant, qui manque de beaucoup de choses...
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 877 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 janvier 2022
    La structure artificielle de Next Door, premier long-métrage réalisé par Daniel Brühl, est pleinement assumée, avec un décor quasi unique, un bar suranné de Berlin, et une joute oratoire entre un acteur célèbre prénommé Daniel et un voisin qui possède des dossiers accablants sur lui. Précision importante : le film a été coécrit par une autre célébrité d'outre-Rhin, le romancier Daniel (encore !) Kehlmann, auteur entre autres de Gloire, qui ironisait déjà sur la célébrité et ses inconvénients. La mise en scène n'est pas particulièrement brillante dans Next Door, la primauté étant donnée aux dialogues, cinglants et cruels, destinés à faire tomber la star de son piédestal et de ses certitudes égocentriques, tout en dressant un portrait peu amène de Berlin, entre gentrifiés et déphasés de l'ex RDA. Très bien, mais le côté programmatique du film est un peu trop flagrant et invraisemblable (l'acteur qui ne cesse de ne différer son départ pour un rendez-vous crucial pour sa carrière, cela reste peu crédible, quelles que soient les circonstances). Ce qui est acceptable dans une pièce de théâtre, avec ses conventions, l'est nettement moins au cinéma. Par ailleurs, comme un dans un film d'action, la montée en puissance passe ici par une sorte d'escalade dans les actions supposées du voisin irritant vis à vis de la star qui n'en peut mais et, là encore, la vraisemblance s'éloigne. C'est un exercice de style, soit, d'auto-dérision très contrôlée (le personnage est un double de Daniel Brühl mais ce n'est pas vraiment lui) mais qui tourne finalement en rond avec des messages assénés. Reste l'interprétation de Peter Kurth, monument du cinéma et de la télévision allemands, à la présence colossale dans son rôle de voisin qui vous veut du mal.
    Audrey L
    Audrey L

    647 abonnés 2 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 janvier 2022
    C'est parce qu'on l'adore depuis Goodbye Lenin, L'Incroyable équipe et Colonia qu'on est déçu de la première réalisation de Daniel Brühl, car on sait qu'il a vraiment plus à donner que ce huis-clos d'abord nombriliste sans être vraiment drôle puis visuellement assez plat. Nombriliste dans sa première demi-heure où le personnage principal est une auto-blague du réalisateur sur sa propre vie : il est acteur, il s'appelle Daniel, chaque film et série cités reflètent sa filmo en miroir déformant (son rôle chez Marvel qui est tourné en ridicule avec un film de super-héros abrutissant), chaque critique sur son jeu sent le coup de coude au spectateur ("Hey ! Cette critique, je l'ai eue pour de vraie !")... Il se moque des vedettes, et surtout de lui-même, mais sans finesse, donc sans arriver à être drôle, bref il nous a fait une Michael Scott. Puis le film enchaîne avec une intrigue de mensonges au sein du couple "parfait" qui nous amuse, un vrai bon point du film qu'est cette investigation du voisin (critique de la Gestapo, pas très fine non plus, mais on valide) qui s'enfonce délicieusement dans des situations toujours plus énormes. On regrette que la technique soit si pauvre, car si un genre a besoin d'une technique irréprochable, c'est bien le huis-clos, et ici on se contente d'une éternelle succession de champ / contre-champ entre les deux interlocuteurs. Les rares sorties du mécanisme (les sorties du bar) nous font un bien fou aux yeux, avant de replonger à chaque fois dans la rengaine jusqu'au final. Autre immense déception : pourquoi créditer au générique de début "avec Vicky Kriesp", ce qui nous a rendu tout heureux, pour en réalité ne la mettre que pendant une minute...en scène post-générique. L'arnaque de l'année, sans hésiter. En évoquant la fin, on aurait trouvé intéressant d'avoir le devenir des personnages, puisqu'on plonge avidement dans les problèmes de ce couple, qu'on s'y intéresse, mais sans savoir ce qu'il leur arrive après la révélation, comme si on coupait une histoire dès que la résolution a lieu (sans aucun chapitre final ni post-face), on reste forcément sur sa faim. Sans dire que "rien ne va" dans ce premier film (il fallait oser s'attaquer au genre du huis-clos, casse-gueule par définition en-dehors du théâtre, et les critiques de l'Allemagne d'hier et d'aujourd'hui - Merkel, ouch ! - sont bien défendues), Next Door s'oubliera vite dans l'excellente filmographie de Daniel Brühl.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    232 abonnés 1 013 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 janvier 2022
    Un huis clos un peu (beaucoup) lent et mal ficelé. On s’ennuie donc assez rapidement dans ce petit café très calme de Berlin.
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