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Le quasi huis-clos devient alors étouffant, par la force des dialogues et de l'échange sans concession entre la star et son voisin lambda, qui le ramène brutalement sur terre...
Sans tenir tout à fait ses 90 minutes, la mise en scène, solide et modeste, assume très habilement la théâtralité. Et plus qu’un film sur le métier de comédien, Next Door devient, dans un décor quasi unique, un portrait de Berlin.
Il y a dans ce premier film un aspect très « théâtre filmé » qui fait mouche : une direction d’acteurs impeccable au service d’un semi-huit clos au bon du compte passionnant. Une comédie sociale à ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
L’acteur germano-espagnol passe de l’autre côté du miroir de la célébrité, devant et derrière la caméra dans Next door : il casse son image vaniteuse et se montre avec beaucoup d’autodérision comme un pauvre type tête à claques.
Huis clos fascinant, écrit par Daniel Kehlmann, jeune auteur de l’excellent « Tyll Ulespiègle » (Actes Sud), ce premier film de Daniel Brühl comme réalisateur est un portrait sardonique de Berlin, ville bâtarde où les fantômes de l’Allemagne de l’Est rôdent encore.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Très amusant, ce premier long métrage mis en scène par le comédien allemand Daniel Brühl, qui esquisse un jeu de miroirs assez jubilatoire dans une chronique un peu statique entre autobiographie et fiction, où il aborde avec autodérision la question de la gentrification, de la célébrité, du harcèlement…
« Next Door » ne tient pas tout à fait sa longueur. L'acteur est une proie trop facile pour son adversaire. Ce film n'en reste pas moins un exercice de comédien singulier où Brühl s'immole avec un plaisir maso, fascinant et partagé.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
La platitude de la mise en abyme fait écho au semblant d’autocritique ânonné par le scénario : l’acteur embourgeoisé et un tantinet militant comme symbole de la gentrification berlinoise.
On sent l’intention : être drôle et grinçant, lorgner vers le bizarre, et même donner à réfléchir sur la société allemande, qui n’a toujours pas réconcilié Ossis et Wessis. Dommage, notre empathie envers le Daniel de fiction s’avère limitée, et notre intérêt s’émousse en attendant le climax qui ne vient jamais.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le jeu de massacre, d'abord très amusant, finit pourtant par tourner en rond. La faute à un scénario qui pousse vers toujours plus de révélations, jusqu'à l'invraisemblance.
La critique complète est disponible sur le site Première
C’est une complaisance finalement très narcissique qui l’emporte, la causticité attendue n’étant jamais ici qu’une autre façon de s’envoyer des fleurs et de se placer au centre du jeu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Voici
Une comédie noire, sociale et intimiste, pleine de tensions et d'autodérision.
20 Minutes
Une joute oratoire féroce qui demeure toujours fort drôle sans tomber dans l’écueil du théâtre filmé.
Closer
Le quasi huis-clos devient alors étouffant, par la force des dialogues et de l'échange sans concession entre la star et son voisin lambda, qui le ramène brutalement sur terre...
Le Parisien
Un film étonnant, souvent drôle, et sans cesse glaçant.
Paris Match
Le film oscille entre comédie, huis clos et thriller, pour mieux aborder le thème de la gentrification.
Positif
Sans tenir tout à fait ses 90 minutes, la mise en scène, solide et modeste, assume très habilement la théâtralité. Et plus qu’un film sur le métier de comédien, Next Door devient, dans un décor quasi unique, un portrait de Berlin.
Rolling Stone
Il y a dans ce premier film un aspect très « théâtre filmé » qui fait mouche : une direction d’acteurs impeccable au service d’un semi-huit clos au bon du compte passionnant. Une comédie sociale à ne pas manquer.
aVoir-aLire.com
Quand un comédien Daniel Brühl se moque de son propre métier et des affres de la célébrité, cela donne une comédie grinçante et fort bien réussie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’acteur germano-espagnol passe de l’autre côté du miroir de la célébrité, devant et derrière la caméra dans Next door : il casse son image vaniteuse et se montre avec beaucoup d’autodérision comme un pauvre type tête à claques.
L'Obs
Huis clos fascinant, écrit par Daniel Kehlmann, jeune auteur de l’excellent « Tyll Ulespiègle » (Actes Sud), ce premier film de Daniel Brühl comme réalisateur est un portrait sardonique de Berlin, ville bâtarde où les fantômes de l’Allemagne de l’Est rôdent encore.
Le Journal du Dimanche
Très amusant, ce premier long métrage mis en scène par le comédien allemand Daniel Brühl, qui esquisse un jeu de miroirs assez jubilatoire dans une chronique un peu statique entre autobiographie et fiction, où il aborde avec autodérision la question de la gentrification, de la célébrité, du harcèlement…
Les Echos
« Next Door » ne tient pas tout à fait sa longueur. L'acteur est une proie trop facile pour son adversaire. Ce film n'en reste pas moins un exercice de comédien singulier où Brühl s'immole avec un plaisir maso, fascinant et partagé.
Sud Ouest
Aussi incisif que réjouissant.
Télérama
Le jeu de massacre satirique devient peu à peu troublant, embarrassant, savoureux.
Cahiers du Cinéma
La platitude de la mise en abyme fait écho au semblant d’autocritique ânonné par le scénario : l’acteur embourgeoisé et un tantinet militant comme symbole de la gentrification berlinoise.
La Voix du Nord
On sent l’intention : être drôle et grinçant, lorgner vers le bizarre, et même donner à réfléchir sur la société allemande, qui n’a toujours pas réconcilié Ossis et Wessis. Dommage, notre empathie envers le Daniel de fiction s’avère limitée, et notre intérêt s’émousse en attendant le climax qui ne vient jamais.
Le Figaro
[Le film] démarre sur les chapeaux de roues, mais s'enlise rapidement dans un pathos aussi psychanalytique que nombriliste.
Première
Le jeu de massacre, d'abord très amusant, finit pourtant par tourner en rond. La faute à un scénario qui pousse vers toujours plus de révélations, jusqu'à l'invraisemblance.
Le Monde
C’est une complaisance finalement très narcissique qui l’emporte, la causticité attendue n’étant jamais ici qu’une autre façon de s’envoyer des fleurs et de se placer au centre du jeu.