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Un visiteur
3,0
Publiée le 20 avril 2013
Ce fut sur le point de devenir une partie de ma collection jusqu'à ce que les dernières 30-40 minutes quand le fanatisme religieux élevé sa tête laide encore une fois. Tous les méchants se révèlent être des chrétiens (catholiques). Chaque mauvaise, toute personne mal est représenté avec une croix sur eux qui est nettement illustré à faire valoir son point assimilant Croyance avec le mal. Tous ces vilains mentionnent Dieu et les prières, bien sûr. Pendant ce temps, les héros - un en particulier - avaient des pouvoirs surnaturels qui guérissent et même ressusciter! En d'autres termes, que les travaux de magie vaudou - c'est quelque chose que vous pouvez croire mais les prières des pensées des croyants, bien, qu'est-ce une perte de temps. Heureusement que cet hold man starfixien est bien entouré: La photographie est magnifique. Mais nous nous souviendrons surtout d'un monstre assez mal fichu et dans cet horreur de type amende dernier des Mohicans dans cet histoire mais avec toutes les personnes religieuses présentée comme mauvaises et ignorantes. Dommage qu'ils devaient avoir tout ce biais, car l'histoire est intéressante et bien déplacé, surtout pour un long métrage qui tout compte fait nous rappel dans ses prémices de 30 secondes les dents de la mer façon terroir. Images désormais cultes. Prenant la Bête comme point de départ le film s'écarte rapidement du fait historique et intensifie le rythme. Nous sommes introduits dans les deux héros, Grégoire de Fronsac (Samuel Le Bihan) et Mani (Mark Dacascos) au milieu d'une tempête torrentielle qui culmine dans le premier de nombreux magnifiquement mis en scène des combats. De Fronsac a été envoyé par le roi de trouver la Bête. De Fronsac représente le nouveau monde rationnel des Lumières qui est forcé de faire face vers l'arrière, superstitieux France en dehors de la capitale. Mani, un chaman Iroquois et chasseur lié d'amitié avec de Fronsac, tandis que l'aventure dans les Amériques apporte un autre type de sagesse entièrement. Au moment de l'America film était un endroit sombre et mystérieux, qui abrite toutes les craintes des Européens. Bien sûr, il allait bientôt devenir la maison du républicanisme qui va balayer toute la France et refaire le Vieux Monde dans une nouvelle image.
Huue ça c'est du film !! Tout y est: bon acteurs, scénario tiré d'une histoire vraie (bien sur pour ceux qui connaissent), décors somptueux, actions à couper le souffle, qualité des images, beaucoup émotions. Je l'ai vu et revu. En un mot: chef d'oeuvre.
Une réalisation médiocre (esthétique, scénario téléphoné, sur-enchère de l'action...). Sous une pluie de clichés, le film entasse les préjugés d'une époque qui ferait mieux d'être étudier avant d'en dire n'importe quoi.
Film assez sympa en action, les acteurs joue bien, la mise en scene est éfficace. Mais je doit dire que le film est parfois trop entertainment, aussi la scene finale ne peut avoir lieu car les hommes de cette époque pensait à autre chose que au kung- fu ou karaté. N'empèche bizarre l'idée d'un lion comme bète du gévaudan.
Christophe Gans signe une oeuvre très curieuse, un patchwork de références cinématographiques provenant aussi bien du cinéma d'arts-martiaux asiatique que du cinéma de cape et d'épée français. Très soigné et très singulier sur la forme, Gans en oublie quelque peu le fond et le mythe de la Bête du Gévaudan ne devient au final qu'un prétexte pour exposer ses références. Il en reste tout de même un divertissement qui se suit avec beaucoup d'intérêts.
Voir la critique de Matt en intégralité et en vidéo sur YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=s3UimIOLiz8&context=C4d83d75ADvjVQa1PpcFNdzgJci8DFbrG7EXK8QK8vql97vnWgmQ8=
Je vais manquer d’originalité, « Le Pacte des Loups » bénéficie d’un traitement esthétique. Couleurs des costumes, des paysages et images léchées. Un film d’ambiance qui aurait dû rester ambiance plutôt que de dévoiler le monstre. Il aurait fallu le suggérer. Avec le temps, le monstre de Gévaudan imaginé par Christophe Gans vieillit le film. A cela s’ajoute un plan ridicule pendant la scène où s’affrontent pour la première fois Grégoire de Fronsac et le monstre. Suite à un coup de patte, la caméra suit le visage en suspension de Grégoire exagérément effrayé qui s’en va s’écraser contre un mur. On peut regretter ces ralentis ou arrêts d’images inutiles qui plombent la fluidité. Il est vrai que Christophe Gans était influencé par le cinéma asiatique. Toutefois de ses influences, je suis de ceux qui ont apprécié les combats de kung-fu.
De toute façon, « Le Pacte des Loups » est un film à dimension fantastique - français de surcroît - et peu m’importe les anachronismes intégrés à cette époque du XVIIIème siècle. A partir du moment où c’est complètement assumé, à partir du moment où on accepte ce postulat, le film de Christophe Gans passe très bien.
A l’influence asiatique, j’y vois aussi une influence western avec la présence de Mani sous les traits de Mark Dacascos qui interprète un indien de la Nouvelle France ; et aussi avec ces quelques chevauchées à cheval, le tout accompagné d’une guitare aux accents sud-américains.
C’est vrai, c’est un tantinet long mais la présence de Monica Bellucci, touche érotique, espionne courtisane au service de Rome, permet au « Pacte des Loups » de se laisser plaisamment regarder.
Le Pacte des loups (2001) est un film de cape et d’épée en dents de scie, à savoir qu’il accumule quelques longueurs assez disgracieuses et qui auraient pu s’avérer évitable. Malgré cela, il faut reconnaître que ce film d’aventure mêle de très beaux décors en extérieur à de saisissantes scènes de bataille d’épées où d’arts martiaux (avec un Mark Dacascos en pleine forme). Le casting est plutôt agréable (Samuel Le Bihan, Vincent Cassel, Jérémie Renier, Jean-François Stévenin, Monica Bellucci & Emilie Dequenne), ainsi que le scénario, traitant de la Bête du Gévaudan, qui sévit en Lozère, de 1764 à 1767. Il est important de souligner qu’il s’agit ici de son tout premier film en langue française, Christophe Gans étant plus habitué aux production étrangères (Crying Freeman - 1996). Une première réalisation francophone saluée par un succès spectateurs qui ne fait que confirmer son potentiel de cinéaste.
Avec le Pacte des loups, Christophe Gans maitrise la perfection face a ses innombrables influences de cinéphile tout en rendant de multiples hommages personnalisés à ses idoles, notamment à John Woo dans la première séquence de combat sosu la pluie ou la bande-son fait corps avec l'action, la sublimant au plus haut point. Il parvient à émouvoir, faire vibrer, effrayer (l'attaque de la deuxième bergère est à vous tétaniser), émerveiller, divertir... Bref, tout ce qu'on peut rechercher dans le grand cinéma populaire, qui plus est servi par une multitude d'imposants seconds rôles. Un des films français des plus excitants respire d'un amour du cinéma fortement communicatif, ou l'esprit se libère de toute rationalité pompeuse pour laisser la place pour certains à un film inabouti et pour d'autres à un pur plaisir. J'ai un petit de déception tout de meme au niveau de la photographie malgré sa beauté, j'aurait voulu une photographie plus sombre, plus appuyé, moins lumineuse.
Christophe Gans est pénible ! Il nous met l'eau à la bouche avec une mise en scène stylée (les mouvements magnifiés au ralenti, les superbes paysages...), une histoire qui compte parmi les plus passionnantes du patrimoine français (le mystère de la Bête du Gévaudan, notre Jack l'Eventreur à nous) et surtout un casting étincellant avec pas moins que Samuel Le Bihan très convaincant, Vincent Cassel sadique à souhait, Mark Dacascos parfait, Emilie Dequenne mimi, Monica Bellucci envoutante, Jérémie Rénier étonnant mais aussi Jean Yanne, Bernard Farcy, Jean-françois Stevenin, Philippe Nahon, Edith Scob, Jacques Perrin... Puis, il gâche ce qui aurait pu être un chef d’oeuvre absolu à cause de son goût pour l’Asie (les chevaliers font du kung-fu notamment Le Bihan dans un final à faire pâlir de jalousie Bruce Lee) et le look franchement pas terrible de la bête (sa 1ere apparition frise le ridicule surtout avec des effets spéciaux limites). Reste un excellent film mais qui perd en crédibilité quand il veut ressembler à un jeu vidéo! Un grand film sur la Bête du Gévaudan reste à faire!
Revu sur la TNT ce bon film d’époque épique sur le mystère de la Bête du Gévaudan dans les années 1760 sous le règne de Louis XV. Ce film de Christophe Gans (Crying Freeman) démystifie la légende en prenant l’option d’un complot sectaire d’une poignée d’individus voulant discréditer le roi de France et son amour du courant philosophique des Lumières. Ce groupe de notable se sert d’un fauve et de son maître pour commettre des meurtres horribles au sein de la population du Gévaudan. Un film grandiose et divertissant avec un beau casting. On a quand même du mal à imaginer qu’il y ait eu du kung-fu au XVIIIème siècle encore plus pratiqué par des braconniers et un amérindien Iroquois de la tribu des Mohawks.
Un très bon film français. Décors, mise en scène et costumes soignés. Acteurs corrects. Le scénario est solide, et l'histoire est pleine de rebondissements et de suspens. Un grand film à ne pas manquer.
De l'ambition, un casting royal, une aventure hors du commun pour un mélange de genre au final bien indigeste. Ajoutons que la bête n'est pas crédible et ne fait pas peur