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    Le Pacte des loups
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    481 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 juillet 2011
    1766, dans la région du Gévaudan, une bête monstrueuse sévit depuis déjà deux ans. Les gens qui l'auraient aperçu la comparent à un énorme loup envoyé par Dieu pour nous punir. Vous aussi vous connaissez sans doute l'histoire de la Bête du Gévaudan, qui a réellement existé mais dont la version définitive n'est pas assez claire pour être véridique. Christophe Gans a donc adapté sa propre vision de ce chapitre de notre patrimoine et réalisé un pur film d'aventure et d'action, chose rare dans le cinéma français... Néanmoins ce Pacte des loups n'est pas encore le spécimen que tout le monde attend. Bon point et mauvais point à la fois, Gans a réalisé un film personnel. Il possède une façon de filmer propre, a fait pas mal de choix visant à garantir un bon divertissement populaire (mixe des genres avec décors d'époques et scènes de kung-fu) et choisi des interprètes plus "modernes" pour les rôles principaux. Dans l'ensemble c'est plutôt réussi...mais le montage est HORR-IBLE !! Il gâche de magnifiques paysages par des travelling accélérés ou ralentis, abuse d'effets de style du même genre dans des scènes de combat à peine lisibles et accumule les fondus-enchaînés. Cela dit, les rares plans-séquences sont très bons et les scènes qui y sont rattachés sont pas mal. Techniquement ça tient la route, les décors et les costumes sont bons même si parfois ça sent l'anachronisme (tout comme les scènes de kung-fu), la bête est mal faite et déçoit une fois découverte et les combats clichés sont parfois ridicules. L'interprétation quand à elle est TRES inégale car trop théatrale. Samuel Le Bihan a un accent trop actuel pour coller à l'époque, Emilie Dequenne se croit au théatre. En revanche Vincent Cassel et les acteurs "du troisième âge" s'en sortent un peu mieux. Un réalisateur plus doué que Christophe Gans à la tête de l'équipe et on aurait tenu LE film de genre en France !
    Mathieu Dumont-Roty
    Mathieu Dumont-Roty

    40 abonnés 988 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mars 2013
    Même si cela reste un spectacle plutot plaisant, le spectateur se sent tout de même arnaqué par un scénario trompeur qui n'a pas osé assumé le côté grand public du film et a préféré se cacher sur un final rationnalisé. 11/20
    djacno T.
    djacno T.

    37 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 septembre 2012
    Le GROS BETE du Gévaudan
    Un film d'abruti avec des abrutis pour des abrutis. Du grand n'importe quoi.
    Même visuellement ça ne ressemble à rien, c'est comme une maison clause dans le Gévaudan
    A éviter....sauf pour les abrutis
    kray
    kray

    50 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2012
    Un film français ambitieux et clairement réussi , sorte de chien des baskervilles revisité. Son gros point faible est l'animal rendu fort peu crédible par des effets spéciaux quelque peu douteux. Gans n'a malheureusement pas confirmé par la suite.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 avril 2013
    Ce fut sur ​​le point de devenir une partie de ma collection jusqu'à ce que les dernières 30-40 minutes quand le fanatisme religieux élevé sa tête laide encore une fois. Tous les méchants se révèlent être des chrétiens (catholiques). Chaque mauvaise, toute personne mal est représenté avec une croix sur eux qui est nettement illustré à faire valoir son point assimilant Croyance avec le mal. Tous ces vilains mentionnent Dieu et les prières, bien sûr. Pendant ce temps, les héros - un en particulier - avaient des pouvoirs surnaturels qui guérissent et même ressusciter! En d'autres termes, que les travaux de magie vaudou - c'est quelque chose que vous pouvez croire mais les prières des pensées des croyants, bien, qu'est-ce une perte de temps.
    Heureusement que cet hold man starfixien est bien entouré: La photographie est magnifique.
    Mais nous nous souviendrons surtout d'un monstre assez mal fichu et dans cet horreur de type amende dernier des Mohicans dans cet histoire mais avec toutes les personnes religieuses présentée comme mauvaises et ignorantes. Dommage qu'ils devaient avoir tout ce biais, car l'histoire est intéressante et bien déplacé, surtout pour un long métrage qui tout compte fait nous rappel dans ses prémices de 30 secondes les dents de la mer façon terroir. Images désormais cultes. Prenant la Bête comme point de départ le film s'écarte rapidement du fait historique et intensifie le rythme. Nous sommes introduits dans les deux héros, Grégoire de Fronsac (Samuel Le Bihan) et Mani (Mark Dacascos) au milieu d'une tempête torrentielle qui culmine dans le premier de nombreux magnifiquement mis en scène des combats. De Fronsac a été envoyé par le roi de trouver la Bête. De Fronsac représente le nouveau monde rationnel des Lumières qui est forcé de faire face vers l'arrière, superstitieux France en dehors de la capitale. Mani, un chaman Iroquois et chasseur lié d'amitié avec de Fronsac, tandis que l'aventure dans les Amériques apporte un autre type de sagesse entièrement. Au moment de l'America film était un endroit sombre et mystérieux, qui abrite toutes les craintes des Européens. Bien sûr, il allait bientôt devenir la maison du républicanisme qui va balayer toute la France et refaire le Vieux Monde dans une nouvelle image.
    DarkgothBTZ
    DarkgothBTZ

    53 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 novembre 2008
    Huue ça c'est du film !! Tout y est: bon acteurs, scénario tiré d'une histoire vraie (bien sur pour ceux qui connaissent), décors somptueux, actions à couper le souffle, qualité des images, beaucoup émotions. Je l'ai vu et revu. En un mot: chef d'oeuvre.
    basbi
    basbi

    38 abonnés 1 201 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 octobre 2007
    C'est en voyant ce film qu'on arrive à découvrir que les américains ne sont pas les seuls à réaliser des films avec un suspense aussi intense.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 novembre 2014
    Bandes-annonces, publicités à droite, à gauche, dessus, dessous et pire encore, devant ! Clic de 30 secondes... Toi aussi passe pour un crétin et fais le boulot d'allocine gratuitement pendant que ces grosses feignasses s'empiffrent en se foutant de ta gueule.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 janvier 2011
    Une réalisation médiocre (esthétique, scénario téléphoné, sur-enchère de l'action...). Sous une pluie de clichés, le film entasse les préjugés d'une époque qui ferait mieux d'être étudier avant d'en dire n'importe quoi.
    Raph
    Raph

    2 abonnés 143 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 octobre 2023
    "La Confrérie des Loups !"

    Bientôt emporté par la révolution française devenue terreur, le Marquis Thomas d’Apcher (Jacques Perrin/Jérémie Renier), à la lueur d’une bougie - alors que grondent les clameurs d’une foule assoiffée de sang et de vengeance - se rappelle sa jeunesse en Gévaudan. Sous sa plume délicate d’homme lettré, il se remémore sa rencontre avec le chevalier Grégoire De Fronsac (Samuel Le Bihan) - naturaliste de Louis XV - et Mani (Mark Dacascos), un Indien Mohawk, son compagnon de route et ami d'Amérique. Mandaté par le Roi pour mettre fin aux agissements d’une bête qui sème terreur et mort dans le diocèse de Mende, sur la lande Languedocienne, Fronsac est bientôt confronté à l’hostilité de la noblesse locale. Le splendide prologue empreint de nostalgie, celle d’un homme qui se souvient, laisse place à l’une des plus belle ouverture que le cinéma des années 2000, nous ait donné de voir - l'envoûtante partition de Joseph LoDuca et la narration suave de Jacques Perrin - vont entraîner le spectateur aux travers de paysages aussi sauvages que magnifiques, pour ce qui est à ce jour, l’une des plus impressionnantes superproductions française. Le folklore autour de la légende de la bête du Gévaudan sera pour Christophe Gans - l’ex rédac-chef du feu magazine Starfix - le prétexte pour user de tout son talent de réalisateur. A la manière d’un Tarantino à la française, le réalisateur de “Necronomicon” et “Crying Freeman”, en passionné de cinéma européen, américain, asiatique, aimant aussi bien le fantastique, le polar, les arts-martiaux que l’aventure - il fût d’ailleurs, un temps, pressenti pour adapter une préquelle de “20.000 lieues sous les mers” et donner vie à la BD “Rahan” - va s’amuser à mélanger les styles et les genres. En convoquant pour la seconde fois l’acteur Mark Dacascos (“Crying Freeman), Christophe Gans va apporter une touche d’exotisme complètement inattendu, en parfait décalage avec le récit ancré dans la France rurale du 18e siècle. Les peintures corporelles et les chorégraphies de combats - à mains nues ou au bâton - qu’apportent avec lui l’acteur hawaïen, comptent parmi les séquences cultes du long-métrage et confère au film un côté anachronique du plus bel effet. Quant aux assauts de la bête, Gans, à la manière de Spielberg pour “Les dents de la mer”, jouera l’économie. Il ne dévoilera que des bribes - jusqu’à la confrontation ultime - dans ce qui est une libre interprétation de l’histoire. N’oublions pas qu’il s’agit là d’un mythe, qui perdure dans l’imaginaire collectif depuis des siècles, laissant ainsi la place à toutes les hypothèses. Avec son casting d’aristos - Jean Yann, Emilie Dequenne, Jérémie Renier, Edith Scob, Bernard Farci… et ses personnages à l’aura énigmatique - Vincent Cassel, Monica Bellucci, Jean-François Stévenin et philippe Nahon - Christophe Gans nous ouvre les portes d’un univers dans lequel, la toute puissante église Catholique - à travers cette malédiction soit-disante divine qui afflige la région - peut asseoir son pouvoir sur la population. Entretenu par des sermons - sonnant comme des avertissements - par le Père Henri Sardis (J-F Stevenin) - que le scénario décrit comme un faux-prophète - le Gévaudan s’enfonce inexorablement dans la peur. Avec son récit baigné de superstitions, parcouru par des paysages splendides, “Le Pacte des loups” arbitre le combat du rationnel - les connaissances et la science de Grégoire de Fronsac, contre l’irrationnel - les légendes et fantasmes autour de la bête - dans un siècle en plein bouleversement qui voit dans les métropoles, le combat des “Lumières” contre l’obscurantisme. Pour l’heure, en Gévaudan - loin des considérations sociales et philosophiques d’un monde en pleine mutation - dans ce petit bout de terre oublié, les hurlements de victimes agonisantes sous les cros acérés d'un monstre sanguinaire - qu’il fût avéré ou non - laisseront peu à peu place aux murmures d’une révolution, qui elle sera bien réelle et bien plus impitoyable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 octobre 2011
    Film assez sympa en action, les acteurs joue bien, la mise en scene est éfficace. Mais je doit dire que le film est parfois trop entertainment, aussi la scene finale ne peut avoir lieu car les hommes de cette époque pensait à autre chose que au kung- fu ou karaté. N'empèche bizarre l'idée d'un lion comme bète du gévaudan.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 avril 2012
    Christophe Gans signe une oeuvre très curieuse, un patchwork de références cinématographiques provenant aussi bien du cinéma d'arts-martiaux asiatique que du cinéma de cape et d'épée français. Très soigné et très singulier sur la forme, Gans en oublie quelque peu le fond et le mythe de la Bête du Gévaudan ne devient au final qu'un prétexte pour exposer ses références. Il en reste tout de même un divertissement qui se suit avec beaucoup d'intérêts.

    Voir la critique de Matt en intégralité et en vidéo sur YouTube :
    http://www.youtube.com/watch?v=s3UimIOLiz8&context=C4d83d75ADvjVQa1PpcFNdzgJci8DFbrG7EXK8QK8vql97vnWgmQ8=
    ned123
    ned123

    157 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2024
    J'ai vu un film... d'un ambition folle qui ose mélanger les genres avec un immense talent... On est transporté dans une époque lointaine et mystérieuse (1765, exactement) et la beauté de ce film est que la légende de la Bête (du Gévaudan) et la réalité de l'histoire se confondent. Une bête (un loup ? un démon ?...) qui tuaient humains et animaux avec une férocité horrible. Cette bête, si célèbre que le roi de France envoie des émissaires pour comprendre ce qui se passer et surtout, tuer la créature.

    Ce film incroyable réinvente la Bête du Gévaudan, ce mythe populaire qui n'avait jamais transposé en film (à ma connaissance). J'ai adoré la réalisation exceptionnelle de Christophe Gans, avec des paysages brumeux, mystérieux, des personnages bien incarnés (quel casting, quand même...), des costumes quasi-gothiques, une grande volonté de reconstitution de la société française du XVIIIe siècle, et un nouveau type de monstre sauvage... Les séquences de combats sont magnifiquement chorégraphiées, un style de combat qui fait de ce film un excellent films d'aventure et horrifique à souhait..

    Christophe Gans rend un hommage appuyé au cinéma d'action populaire qui se libère de toute rationalité et d'une narration libre et originale.

    Mis à part quelques longueurs dans la 2nde partie, on éprouve un vrai plaisir jubilatoire à voir ce film et à revoir des grands acteurs du cinéma français.
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 937 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mai 2024
    Je vais manquer d’originalité, « Le Pacte des Loups » bénéficie d’un traitement esthétique. Couleurs des costumes, des paysages et images léchées. Un film d’ambiance qui aurait dû rester ambiance plutôt que de dévoiler le monstre. Il aurait fallu le suggérer. Avec le temps, le monstre de Gévaudan imaginé par Christophe Gans vieillit le film.
    A cela s’ajoute un plan ridicule pendant la scène où s’affrontent pour la première fois Grégoire de Fronsac et le monstre. Suite à un coup de patte, la caméra suit le visage en suspension de Grégoire exagérément effrayé qui s’en va s’écraser contre un mur.
    On peut regretter ces ralentis ou arrêts d’images inutiles qui plombent la fluidité.
    Il est vrai que Christophe Gans était influencé par le cinéma asiatique.
    Toutefois de ses influences, je suis de ceux qui ont apprécié les combats de kung-fu.

    De toute façon, « Le Pacte des Loups » est un film à dimension fantastique - français de surcroît - et peu m’importe les anachronismes intégrés à cette époque du XVIIIème siècle.
    A partir du moment où c’est complètement assumé, à partir du moment où on accepte ce postulat, le film de Christophe Gans passe très bien.

    A l’influence asiatique, j’y vois aussi une influence western avec la présence de Mani sous les traits de Mark Dacascos qui interprète un indien de la Nouvelle France ; et aussi avec ces quelques chevauchées à cheval, le tout accompagné d’une guitare aux accents sud-américains.

    C’est vrai, c’est un tantinet long mais la présence de Monica Bellucci, touche érotique, espionne courtisane au service de Rome, permet au « Pacte des Loups » de se laisser plaisamment regarder.
    NeoLain
    NeoLain

    4 971 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2008
    Avec le Pacte des loups, Christophe Gans maitrise la perfection face a ses innombrables influences de cinéphile tout en rendant de multiples hommages personnalisés à ses idoles, notamment à John Woo dans la première séquence de combat sosu la pluie ou la bande-son fait corps avec l'action, la sublimant au plus haut point. Il parvient à émouvoir, faire vibrer, effrayer (l'attaque de la deuxième bergère est à vous tétaniser), émerveiller, divertir... Bref, tout ce qu'on peut rechercher dans le grand cinéma populaire, qui plus est servi par une multitude d'imposants seconds rôles. Un des films français des plus excitants respire d'un amour du cinéma fortement communicatif, ou l'esprit se libère de toute rationalité pompeuse pour laisser la place pour certains à un film inabouti et pour d'autres à un pur plaisir. J'ai un petit de déception tout de meme au niveau de la photographie malgré sa beauté, j'aurait voulu une photographie plus sombre, plus appuyé, moins lumineuse.
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