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S.J. Clarkson aborde l'histoire avec un ton mature et réaliste, loin des clichés habituels des films de super-héros, avec une Madame Web finalement assez ordinaire, un côté fille d'à côté.
La réalisatrice britannique retouche le cocktail basique d'action et d'effets spéciaux de tout film de super-héros générique, dans un genre plus proche du cauchemar horrifique pour teen-agers.
Aussi nul qu'un "Venom", aussi inconséquent qu'un "The Marvels", aussi salopé au montage qu'un "Aquaman 2" mais un peu moins moche qu'un "Ant-Man 3", "Madame Web" n'est pas cette catastrophe industrielle décrite sur les réseaux à coups de punchlines hyperboliques.
Le pouvoir de prédiction de l’héroïne, qui annule les événements avant même qu’ils aient commencé, démobilise la puissance de destruction masculine autant que, ironiquement, les réquisits de la franchise Marvel : tout ce qui est sauvé sur le plan du care est perdu sur le plan de l’action, et le spectaculaire inhérent au genre s’abandonne à un récit traînard, éminemment répétitif dans ses déjà-vus et finalement aberrant.
Attention, ceci n'est pas un exercice mais bien un éboulement facturé plusieurs dizaines de millions de dollars. Fuyez sans vous retourner, et réfugiez vous dans n'importe quelle autre salle de cinéma, même celles qui passent Maison de retraite 2 ou Cocorico.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Sans être plus catastrophique qu'une autre production de ce non-Spiderverse du pauvre, notamment parce qu'il évite de trop miser sur des effets-spéciaux qu'il n'a pas, le film est juste un énième exemple de gaspillage de talents entre les mains de deux scénaristes qui ne devraient plus être autorisés à approcher un blockbuster et une réalisatrice au diapason de son casting qui a épousé le credo « foutu pour foutu... ».
Sans goût ni odeur, "Madame Web" a des airs de film de super-héros préhistorique, comme s’il avait été enfermé pendant 20 ans un coffre-fort avant que quelqu’un n’ose l’en sortir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
S.J. Clarkson aborde l'histoire avec un ton mature et réaliste, loin des clichés habituels des films de super-héros, avec une Madame Web finalement assez ordinaire, un côté fille d'à côté.
Le Dauphiné Libéré
La réalisatrice britannique retouche le cocktail basique d'action et d'effets spéciaux de tout film de super-héros générique, dans un genre plus proche du cauchemar horrifique pour teen-agers.
Mad Movies
Aussi nul qu'un "Venom", aussi inconséquent qu'un "The Marvels", aussi salopé au montage qu'un "Aquaman 2" mais un peu moins moche qu'un "Ant-Man 3", "Madame Web" n'est pas cette catastrophe industrielle décrite sur les réseaux à coups de punchlines hyperboliques.
Cahiers du Cinéma
Le pouvoir de prédiction de l’héroïne, qui annule les événements avant même qu’ils aient commencé, démobilise la puissance de destruction masculine autant que, ironiquement, les réquisits de la franchise Marvel : tout ce qui est sauvé sur le plan du care est perdu sur le plan de l’action, et le spectaculaire inhérent au genre s’abandonne à un récit traînard, éminemment répétitif dans ses déjà-vus et finalement aberrant.
Ecran Large
Attention, ceci n'est pas un exercice mais bien un éboulement facturé plusieurs dizaines de millions de dollars. Fuyez sans vous retourner, et réfugiez vous dans n'importe quelle autre salle de cinéma, même celles qui passent Maison de retraite 2 ou Cocorico.
Le Journal du Geek
Sans être plus catastrophique qu'une autre production de ce non-Spiderverse du pauvre, notamment parce qu'il évite de trop miser sur des effets-spéciaux qu'il n'a pas, le film est juste un énième exemple de gaspillage de talents entre les mains de deux scénaristes qui ne devraient plus être autorisés à approcher un blockbuster et une réalisatrice au diapason de son casting qui a épousé le credo « foutu pour foutu... ».
Première
Sans goût ni odeur, "Madame Web" a des airs de film de super-héros préhistorique, comme s’il avait été enfermé pendant 20 ans un coffre-fort avant que quelqu’un n’ose l’en sortir.
Télérama
"Madame Web" est un long métrage sans envergure, au récit indigent et tissé d’évidences.