Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
Cela ne produit pourtant pas un relativisme émollient, promeut plutôt l’incertitude comme principe vital, d’autant plus lorsque le monde environnant paraît avoir tendance à geler, se figer. (...) Chez ce grand cinéaste du doute ou de l’hésitation qu’est Guiraudie, Viens je t’emmène en explore un régime particulier : celui de l’incroyance.
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Guiraudie défie les peurs fantasmées du moment, retourne les situations au détour d’une scène, choisit la légèreté pour mieux faire face à la gravité et à la complexité des choses.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Viens je t’emmène sera le film qui se débat avec ce trop-plein de réel, comme si Guiraudie ne pouvait plus détourner le regard et qu’il était temps de prendre en charge cet appauvrissement de la réalité. Un cinéaste doit répondre au monde selon BFMTV .
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
par Caroline Vié
Alain Guiraudie livre un film léger comme un vaudeville sur fond d’attentats, de complotisme et d’amour fou.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
Si l'ensemble est à entendre comme une allégorie, ce film léger, hyper rafraîchissant, formule sans se prendre au sérieux quelque chose d'incroyablement pertinent et exhaustif, dans toute son anarchique absurdité, sur la société hexagonale d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Des personnages originaux et décomplexés.
La Septième Obsession
par David Ezan
Viens je t'emmène est bien un dépaysement en ce qu'il invente, tout en revisitant ses figures emblématiques (prostitution, banlieue, etc.), une alternative revigorante à un certain réalisme social.
Le Journal du Dimanche
par A.C.
Fort de son intrigue à la fois sociétale, réaliste et vaudevillesque en diable, Alain Guiraudie s’en donne à cœur joie. S’il se joue des clichés et des amalgames qui envahissent les actualités, c’est ici pour mieux les tordre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un vaudeville dérangeant qui explore les névroses françaises pour en déjouer les clichés.
Le Parisien
par La Rédaction
Et voilà qu’un jeune SDF, qui correspond au profil, sonne chez Médéric pour demander à s’installer dans la cage d’escalier pour la nuit. C’est le point de départ de ce film doux amer, à l’humour grinçant, faussement léger, où l’on retrouve la patte d’Alain Guiraudie ( « L’Inconnu du lac »).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Luc Chessel
Avec ce film de voisinage énervé, Alain Guiraudie se renouvelle encore dans une surprenante comédie sur fond de panique sociale, de terrorisme et de polysexualité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Une comédie de boulevard sociale dont les oscillations de ton, entre grave et burlesque, provoquent un rire troublant.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Alain Guiraudie n’a peur de rien, prenant à bras le corps les maux qui courent, violence, défiance, suspicion, retournant leurs effets en cinéaste farfelu qui préfère les pas de côté et la complexité des caractères aux idées toutes faites.
Télérama
par Jérémie Couston
Alain Guiraudie a souvent filmé les prolétaires, mais aussi les corps atypiques, avec allégresse et empathie, ce qui est en soi un geste politique. Mais c’est la première fois qu’il se frotte directement aux plaies de la société française contemporaine : racisme, islamisme, communautarisme. Il le fait à sa façon, généreuse et franche (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré une forme moins inspirée qu'à l'accoutumée, cette promenade auvergnate réchauffe le coeur et tend les zygomatiques, en plus de gonfler quelques tissus tendres.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Sophie Grassin
Rencontres inattendues, communauté empathique quand bien même y évoluerait-on seul… sa comédie libertaire et gauloise (dans tous les sens du terme) retourne sans cesse les préjugés. Une ou deux baisses de régime ? Qu’importe, elle reste une réponse tellement ironique aux délires xénophobes actuels.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Mêlant désir et paranoïa, Alain Guiraudie trousse un vaudeville sur fond d’attentat à Clermont-Ferrand et dresse le portrait de toutes les névroses de notre pays sans se départir de son style joyeux et provocateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Alain Guiraudie signe un marivaudage espiègle et divertissant, mais qui manque parfois de finesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Comédie libertaire qui embrasse un peu trop de personnages et de situations, «Viens je t'emmène» réjouit par son ton enlevé, son anti-héros faible et attachant, sa prostituée nympho qui fait de sa sexualité un acte social.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Pour une fois, Alain Guiraudie fait la place belle aux femmes dans une fable drôle et étrange où le policier et l’absurde se côtoient allègrement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Marin Gérard
À regret, il faut se rendre à l'évidence : c'est raté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ouest France
par Thierry Chèze
En dépit du génial duo Jean-Charles Clichet - Noémie Lvovsky, le mélange des genres sur-réaliste trouve ici ses limites par son incapacité à dépasser les archétypes (...).
Première
par Frédéric Foubert
L’écriture du film, hautement funambule, enchaîne d’abord les séquences selon une séduisante logique surréaliste. Trop vite, pourtant, cette volonté de délirer le réel est alourdie par la tentation d’un discours « raisonné » sur les maux du pays.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par Etienne Sorin
Sur cette trame de vaudeville, Alain Guiraudie greffe une histoire de sans-abri soupçonné d'être l'auteur d'un attentat terroriste. On ne voit pas bien où il veut en venir. On voit surtout que ça ne mène pas très loin.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Baptiste Roux
Alain Guiraudie provoque dans Viens je t’emmène non pas des réactions d’admiration devant la hardiesse de l’expérience mais un accablement navré face à la vacuité de l’entreprise et l’indigence du résultat.
Cahiers du Cinéma
Cela ne produit pourtant pas un relativisme émollient, promeut plutôt l’incertitude comme principe vital, d’autant plus lorsque le monde environnant paraît avoir tendance à geler, se figer. (...) Chez ce grand cinéaste du doute ou de l’hésitation qu’est Guiraudie, Viens je t’emmène en explore un régime particulier : celui de l’incroyance.
L'Humanité
Guiraudie défie les peurs fantasmées du moment, retourne les situations au détour d’une scène, choisit la légèreté pour mieux faire face à la gravité et à la complexité des choses.
Les Inrockuptibles
Viens je t’emmène sera le film qui se débat avec ce trop-plein de réel, comme si Guiraudie ne pouvait plus détourner le regard et qu’il était temps de prendre en charge cet appauvrissement de la réalité. Un cinéaste doit répondre au monde selon BFMTV .
20 Minutes
Alain Guiraudie livre un film léger comme un vaudeville sur fond d’attentats, de complotisme et d’amour fou.
Culturopoing.com
Si l'ensemble est à entendre comme une allégorie, ce film léger, hyper rafraîchissant, formule sans se prendre au sérieux quelque chose d'incroyablement pertinent et exhaustif, dans toute son anarchique absurdité, sur la société hexagonale d'aujourd'hui.
Elle
Des personnages originaux et décomplexés.
La Septième Obsession
Viens je t'emmène est bien un dépaysement en ce qu'il invente, tout en revisitant ses figures emblématiques (prostitution, banlieue, etc.), une alternative revigorante à un certain réalisme social.
Le Journal du Dimanche
Fort de son intrigue à la fois sociétale, réaliste et vaudevillesque en diable, Alain Guiraudie s’en donne à cœur joie. S’il se joue des clichés et des amalgames qui envahissent les actualités, c’est ici pour mieux les tordre.
Le Monde
Un vaudeville dérangeant qui explore les névroses françaises pour en déjouer les clichés.
Le Parisien
Et voilà qu’un jeune SDF, qui correspond au profil, sonne chez Médéric pour demander à s’installer dans la cage d’escalier pour la nuit. C’est le point de départ de ce film doux amer, à l’humour grinçant, faussement léger, où l’on retrouve la patte d’Alain Guiraudie ( « L’Inconnu du lac »).
Libération
Avec ce film de voisinage énervé, Alain Guiraudie se renouvelle encore dans une surprenante comédie sur fond de panique sociale, de terrorisme et de polysexualité.
Marie Claire
Une comédie de boulevard sociale dont les oscillations de ton, entre grave et burlesque, provoquent un rire troublant.
Sud Ouest
Alain Guiraudie n’a peur de rien, prenant à bras le corps les maux qui courent, violence, défiance, suspicion, retournant leurs effets en cinéaste farfelu qui préfère les pas de côté et la complexité des caractères aux idées toutes faites.
Télérama
Alain Guiraudie a souvent filmé les prolétaires, mais aussi les corps atypiques, avec allégresse et empathie, ce qui est en soi un geste politique. Mais c’est la première fois qu’il se frotte directement aux plaies de la société française contemporaine : racisme, islamisme, communautarisme. Il le fait à sa façon, généreuse et franche (...).
Ecran Large
Malgré une forme moins inspirée qu'à l'accoutumée, cette promenade auvergnate réchauffe le coeur et tend les zygomatiques, en plus de gonfler quelques tissus tendres.
L'Obs
Rencontres inattendues, communauté empathique quand bien même y évoluerait-on seul… sa comédie libertaire et gauloise (dans tous les sens du terme) retourne sans cesse les préjugés. Une ou deux baisses de régime ? Qu’importe, elle reste une réponse tellement ironique aux délires xénophobes actuels.
La Croix
Mêlant désir et paranoïa, Alain Guiraudie trousse un vaudeville sur fond d’attentat à Clermont-Ferrand et dresse le portrait de toutes les névroses de notre pays sans se départir de son style joyeux et provocateur.
Les Fiches du Cinéma
Alain Guiraudie signe un marivaudage espiègle et divertissant, mais qui manque parfois de finesse.
Paris Match
Comédie libertaire qui embrasse un peu trop de personnages et de situations, «Viens je t'emmène» réjouit par son ton enlevé, son anti-héros faible et attachant, sa prostituée nympho qui fait de sa sexualité un acte social.
aVoir-aLire.com
Pour une fois, Alain Guiraudie fait la place belle aux femmes dans une fable drôle et étrange où le policier et l’absurde se côtoient allègrement.
Critikat.com
À regret, il faut se rendre à l'évidence : c'est raté.
Ouest France
En dépit du génial duo Jean-Charles Clichet - Noémie Lvovsky, le mélange des genres sur-réaliste trouve ici ses limites par son incapacité à dépasser les archétypes (...).
Première
L’écriture du film, hautement funambule, enchaîne d’abord les séquences selon une séduisante logique surréaliste. Trop vite, pourtant, cette volonté de délirer le réel est alourdie par la tentation d’un discours « raisonné » sur les maux du pays.
Le Figaro
Sur cette trame de vaudeville, Alain Guiraudie greffe une histoire de sans-abri soupçonné d'être l'auteur d'un attentat terroriste. On ne voit pas bien où il veut en venir. On voit surtout que ça ne mène pas très loin.
Positif
Alain Guiraudie provoque dans Viens je t’emmène non pas des réactions d’admiration devant la hardiesse de l’expérience mais un accablement navré face à la vacuité de l’entreprise et l’indigence du résultat.