Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Bien loin du ton élégiaque de Leto, le nouveau film de Kirill Serebrennikov est un trip cinématographique baroque et énigmatique, une déambulation urbaine convoquant différents types d’images et modes narratifs. On gagnera à s’y perdre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Une oeuvre-monstre, un film-univers à la narration complexe et à la mise en scène totalement démente, dans la grande tradition du cinéma russe.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Bande à part
par Jo Fishley
Entre cauchemar et décadence, la grande Russie de Poutine est une hallucination collective. Avec l'adaptation du roman subversif d'Alexeï Salnikov, le dissident Kirill Serebrennikov explose un patriotisme de propagande avec les armes d'un libre cinéma politique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Il n’y a ici ni présent ni réalité fixes, mais un entrecroisement de temps et d’états où se mêlent la brutalité quotidienne et la science-fiction, le fait divers, et les réminiscences de l’enfance, le poétique et le trivial.
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
Indéniablement, il faut avoir le surréalisme bien accroché pour renoncer à comprendre et se laisser embarquer, mais l'opulence insurrectionnelle décomplexée de La Fièvre de Petrov insuffle dans un contexte rance une fraîcheur aussi contagieuse que cette toux persistante qu'on entend tout du long.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
À la faveur d'une cuite homérique et d'une fièvre volcanique, c'est toute une vie, et un rapport complexe à l'histoire contemporaine de la Russie, qui éclatent devant nos yeux. Un film monstrueux, indigeste, trop grand, fou, et remuant, pour ne pas nous laisser à genoux. Quelque part entre le fantasme pelliculé et la chute de météorite.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
On pense à Underground de Kusturica avec lequel La Fièvre de Petrov partage la frénésie, mais en plus noir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Malgré ses années d’enfermement, Serebrennikov est bien vivant et le clame jusque dans un rap final à tomber.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une mise en scène effrénée qui rappelle le cinéma de Sokourov avec ses plans-séquence hallucinatoires, Tarantino avec son humour noir.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film de Kirill Serebrennikov traduit de manière époustouflante les bouffées délirantes de son personnage.
Le Parisien
par La Rédaction
Pourtant, le long-métrage sidère par ses audaces formelles, en mélangeant formats et genres – jusqu’à l’animation, et en alignant, dans la grande tradition du cinéma russe, des plans spectaculaires d’une ampleur et d’une beauté époustouflantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Le film décrit un monde où tout est chaos et brutalité, où la crasse est une seconde peau et où seul l’alcoolisme rend la réalité supportable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film hors normes.
Première
par Gael Golhen
La Fièvre de Petrov est une fresque hallucinée sur la Russie et ses vieux démons compilée dans une suite de scènes outrancières et de plan- séquences aussi épuisants que terrassants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Kirill Serebrennikov adapte avec « La fièvre de Petrov » un livre d’Alexei Salnikov dont il fait une charge baroque sur la Russie contemporaine et une oeuvre agitée mais splendide.
Télérama
par Jacques Morice
Le soliloque est roi dans La Fièvre de Petrov, odyssée fantasque et foisonnante, qui plonge dans le passé, traverse plusieurs périodes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière ses aspects confus et totalement interlopes, La fièvre de Petrov est une odyssée maîtrisée et virtuose dans une Russie moderne et décadente. Un grand moment de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Petrov avait juste besoin de paracétamol. Il n’est pas impossible que le spectateur, ébloui par tant de virtuosité (ou d’autosatisfaction ?), en demande aussi, sans doute ivre de ce très impressionnant délire introspectif, vénéneux et opaque.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Mad Movies
par Gilles Esposito
Face à cette mise en scène "fiévreuse" à la fois fascinante et assommante, le risque est grand de rester sur le pas de la porte sans jamais pouvoir entrer dans le récit.
Positif
par Yann Tobin
Selon votre humeur, vous trouverez l’expérience tapageuse du film exaltante ou éprouvante.
La Croix
par Céline Rouden
On y retrouve toute la veine absurde d’un courant littéraire né dans la Russie post-soviétique des années 1990, incarné notamment par Victor Pelevine, mais le film se révèle trop radical et trop crypté pour maintenir l’attention du spectateur tout au long de ses 2 heures 17.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Critikat.com
par Josué Morel
Un cauchemar d’hystérie et de fantaisie rance, de poses cool et maniérées, d’audaces en carton-pâte.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
Bien loin du ton élégiaque de Leto, le nouveau film de Kirill Serebrennikov est un trip cinématographique baroque et énigmatique, une déambulation urbaine convoquant différents types d’images et modes narratifs. On gagnera à s’y perdre.
Paris Match
Une oeuvre-monstre, un film-univers à la narration complexe et à la mise en scène totalement démente, dans la grande tradition du cinéma russe.
Bande à part
Entre cauchemar et décadence, la grande Russie de Poutine est une hallucination collective. Avec l'adaptation du roman subversif d'Alexeï Salnikov, le dissident Kirill Serebrennikov explose un patriotisme de propagande avec les armes d'un libre cinéma politique.
Cahiers du Cinéma
Il n’y a ici ni présent ni réalité fixes, mais un entrecroisement de temps et d’états où se mêlent la brutalité quotidienne et la science-fiction, le fait divers, et les réminiscences de l’enfance, le poétique et le trivial.
Culturopoing.com
Indéniablement, il faut avoir le surréalisme bien accroché pour renoncer à comprendre et se laisser embarquer, mais l'opulence insurrectionnelle décomplexée de La Fièvre de Petrov insuffle dans un contexte rance une fraîcheur aussi contagieuse que cette toux persistante qu'on entend tout du long.
Ecran Large
À la faveur d'une cuite homérique et d'une fièvre volcanique, c'est toute une vie, et un rapport complexe à l'histoire contemporaine de la Russie, qui éclatent devant nos yeux. Un film monstrueux, indigeste, trop grand, fou, et remuant, pour ne pas nous laisser à genoux. Quelque part entre le fantasme pelliculé et la chute de météorite.
Franceinfo Culture
On pense à Underground de Kusturica avec lequel La Fièvre de Petrov partage la frénésie, mais en plus noir.
L'Obs
Malgré ses années d’enfermement, Serebrennikov est bien vivant et le clame jusque dans un rap final à tomber.
Le Journal du Dimanche
Une mise en scène effrénée qui rappelle le cinéma de Sokourov avec ses plans-séquence hallucinatoires, Tarantino avec son humour noir.
Le Monde
Le film de Kirill Serebrennikov traduit de manière époustouflante les bouffées délirantes de son personnage.
Le Parisien
Pourtant, le long-métrage sidère par ses audaces formelles, en mélangeant formats et genres – jusqu’à l’animation, et en alignant, dans la grande tradition du cinéma russe, des plans spectaculaires d’une ampleur et d’une beauté époustouflantes.
Les Inrockuptibles
Le film décrit un monde où tout est chaos et brutalité, où la crasse est une seconde peau et où seul l’alcoolisme rend la réalité supportable.
Ouest France
Un film hors normes.
Première
La Fièvre de Petrov est une fresque hallucinée sur la Russie et ses vieux démons compilée dans une suite de scènes outrancières et de plan- séquences aussi épuisants que terrassants.
Sud Ouest
Kirill Serebrennikov adapte avec « La fièvre de Petrov » un livre d’Alexei Salnikov dont il fait une charge baroque sur la Russie contemporaine et une oeuvre agitée mais splendide.
Télérama
Le soliloque est roi dans La Fièvre de Petrov, odyssée fantasque et foisonnante, qui plonge dans le passé, traverse plusieurs périodes.
aVoir-aLire.com
Derrière ses aspects confus et totalement interlopes, La fièvre de Petrov est une odyssée maîtrisée et virtuose dans une Russie moderne et décadente. Un grand moment de cinéma.
La Voix du Nord
Petrov avait juste besoin de paracétamol. Il n’est pas impossible que le spectateur, ébloui par tant de virtuosité (ou d’autosatisfaction ?), en demande aussi, sans doute ivre de ce très impressionnant délire introspectif, vénéneux et opaque.
Mad Movies
Face à cette mise en scène "fiévreuse" à la fois fascinante et assommante, le risque est grand de rester sur le pas de la porte sans jamais pouvoir entrer dans le récit.
Positif
Selon votre humeur, vous trouverez l’expérience tapageuse du film exaltante ou éprouvante.
La Croix
On y retrouve toute la veine absurde d’un courant littéraire né dans la Russie post-soviétique des années 1990, incarné notamment par Victor Pelevine, mais le film se révèle trop radical et trop crypté pour maintenir l’attention du spectateur tout au long de ses 2 heures 17.
Critikat.com
Un cauchemar d’hystérie et de fantaisie rance, de poses cool et maniérées, d’audaces en carton-pâte.