Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
"A Dark-Dark man" est une superbe réussite : un conte philosophique sur l’innocence et le mal maquillé en polar néo-noir, sous influence de Melville et dont l’action se passe dans les steppes désertiques du sud Kazakhstan, à la frontière kirghize.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Adilkhan Yerzhanov atteint presque la perfection cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Bien que toujours armé de son goût prononcé pour l’humour décalé voire absurde, Yerzhanov tend ici vers l’acidité d’un Loznitsa période « My Joy » ou du Yuri Bykov de « The Major ».
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Oeuvre d’une profonde noirceur, empruntant autant aux Surréalistes qu’à un certain cinéma de genre américain mêlant intrigue de film noir et grands espaces, traversé par de raides éclairs de violence douloureuse car à hauteur d’homme, "A Dark, Dark Man" dépasse son argument de départ pour en faire le carburant d’un drame sur la condition humaine se débattant face à la méchanceté du monde.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par La Rédaction
Epoustoufflant !
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un thriller exotique, prenant et différent.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Très contemporain, "A Dark-Dark Man" parle à tout le monde, malgré sa singularité, car il respecte ses pairs. Un futur classique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un ripou, une justicière et un idiot sont les héros de A dark, dark man, geste distanciée qui conjugue avec élégance noirceur et burlesque froid.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
C’est de la Série noire new wave, avec de bonnes vibrations.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Du grand cinéma porté par un art indéniable de la composition du cadre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
À l’intersection d’une noirceur tragique et d’un humour d’enfant triste, "A Dark-Dark Man" est le nouveau film, hautement recommandable, d’A. Yerzhanov.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un polar singulier.
Positif
par Eithne O'Neill
Western d’Asie centrale et film criminel, "A Dark-Dark Man", au titre de récit folklorique, est aussi une fable morale et poétique.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sur une trame classique, sans rebondissements notables sinon un retournement intérieur, le cinéaste Kazakhe déroule son univers habituel, âpre, stylisé, cocasse, et d’une poésie radicale.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
Noir, absurde et stylé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
L’usage du Scope permet à Yerzhanov de filmer la steppe kazakhe comme un petit théâtre de dérèglements, nourri par les contradictions qui tiraillent ses personnages. La corruption apparaît alors délestée de toute solennité, comme une sorte de claudication propre à la condition humaine, un domaine comme un autre de son universelle incompétence.
La Croix
par Céline Rouden
Si l’on retrouve la beauté des cadres de ce cinéaste surdoué, il manque cependant à cette intrigue ultra-minimaliste et glaçante, la dose de poésie et d’absurde qui faisait toute la réussite de La Tendre Indifférence du monde.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Clarisse Fabre
Adilkhan Yerzhanov crée debeaux tableaux, et quand il filmeun règlement de comptes à distance, vu à travers les quatre coins de la fenêtre d’une voiture, c’est tout un monde en guerre familier et universel qui nous traverse, et passe du « petit » écran au grand.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Tourné dans des paysages lunaires, « A Dark, Dark Man » ressemble à la fois à un polar et à un western. Un film un peu figé dans ses intentions, mais qui n'en reste pas moins une vraie curiosité.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Laura Tuillier
Cette stylisation du réel évoque le cinéma d’Aki Kaurismäki mais trempé dans une lumière essentiellement naturelle, qu’Adilkhan Yerzhanov prend soin de travailler à chaque raccord [...]. La recette fonctionne, entre des acteurs en charge des ruptures de ton et un équilibre minutieux de tous les plans, mais devient vite systématique et quelque peu agaçante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
On pense cette fois davantage au cinéma coréen, à ses embardées burlesques, à sa violence sèche et ultragraphique. Nonobstant un récit par trop écrit d’avance, A dark, dark man confirme, s’il en était besoin, le talent – encore un peu brut – d’Adilkhan Yerzhanov.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Daniel Blois
A son rythme languine et son économie de dialogues, A Dark Dark Man risque de ne pas plaire à tout le monde. Mais qui saura se laisser emporter par ses élans de film noir, le style fou de sa mise en scène et son portrait acéré de la corruption, profitera de l'un des films les plus singuliers de cette année.
Critikat.com
par Corentin Lê
A Dark-Dark Man fait parfois preuve d'inspiration, mais ploie sous des références trop écrasantes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
(...) Adilkhan Yerzhanov mélange violence et humour absurde à la façon d'un certain cinéma américain, tendance Tarantino et frères Coen. Mais il y a aussi quelque chose d'un peu poseur et de complaisant dans sa mise en scène qui prend un peu trop son temps pour raconter une histoire qui n'a rien non plus de franchement passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le problème, c’est qu’à trop soumettre les éléments à un régime de soustraction (intrigue et personnages qui ne sont que des figures endormies) sous prétexte qu’il métaphorise un état de désolation propre à l’époque, le film perd en substance et ne laisse entrevoir que son squelette d’intentions avec ses plans au carré et son impassibilité ricanante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
"A Dark-Dark man" est une superbe réussite : un conte philosophique sur l’innocence et le mal maquillé en polar néo-noir, sous influence de Melville et dont l’action se passe dans les steppes désertiques du sud Kazakhstan, à la frontière kirghize.
aVoir-aLire.com
Adilkhan Yerzhanov atteint presque la perfection cinématographique.
CinemaTeaser
Bien que toujours armé de son goût prononcé pour l’humour décalé voire absurde, Yerzhanov tend ici vers l’acidité d’un Loznitsa période « My Joy » ou du Yuri Bykov de « The Major ».
Culturopoing.com
Oeuvre d’une profonde noirceur, empruntant autant aux Surréalistes qu’à un certain cinéma de genre américain mêlant intrigue de film noir et grands espaces, traversé par de raides éclairs de violence douloureuse car à hauteur d’homme, "A Dark, Dark Man" dépasse son argument de départ pour en faire le carburant d’un drame sur la condition humaine se débattant face à la méchanceté du monde.
Elle
Epoustoufflant !
Femme Actuelle
Un thriller exotique, prenant et différent.
Franceinfo Culture
Très contemporain, "A Dark-Dark Man" parle à tout le monde, malgré sa singularité, car il respecte ses pairs. Un futur classique.
L'Humanité
Un ripou, une justicière et un idiot sont les héros de A dark, dark man, geste distanciée qui conjugue avec élégance noirceur et burlesque froid.
L'Obs
C’est de la Série noire new wave, avec de bonnes vibrations.
Le Journal du Dimanche
Du grand cinéma porté par un art indéniable de la composition du cadre.
Les Fiches du Cinéma
À l’intersection d’une noirceur tragique et d’un humour d’enfant triste, "A Dark-Dark Man" est le nouveau film, hautement recommandable, d’A. Yerzhanov.
Ouest France
Un polar singulier.
Positif
Western d’Asie centrale et film criminel, "A Dark-Dark Man", au titre de récit folklorique, est aussi une fable morale et poétique.
Sud Ouest
Sur une trame classique, sans rebondissements notables sinon un retournement intérieur, le cinéaste Kazakhe déroule son univers habituel, âpre, stylisé, cocasse, et d’une poésie radicale.
Télérama
Noir, absurde et stylé.
Cahiers du Cinéma
L’usage du Scope permet à Yerzhanov de filmer la steppe kazakhe comme un petit théâtre de dérèglements, nourri par les contradictions qui tiraillent ses personnages. La corruption apparaît alors délestée de toute solennité, comme une sorte de claudication propre à la condition humaine, un domaine comme un autre de son universelle incompétence.
La Croix
Si l’on retrouve la beauté des cadres de ce cinéaste surdoué, il manque cependant à cette intrigue ultra-minimaliste et glaçante, la dose de poésie et d’absurde qui faisait toute la réussite de La Tendre Indifférence du monde.
Le Monde
Adilkhan Yerzhanov crée debeaux tableaux, et quand il filmeun règlement de comptes à distance, vu à travers les quatre coins de la fenêtre d’une voiture, c’est tout un monde en guerre familier et universel qui nous traverse, et passe du « petit » écran au grand.
Les Echos
Tourné dans des paysages lunaires, « A Dark, Dark Man » ressemble à la fois à un polar et à un western. Un film un peu figé dans ses intentions, mais qui n'en reste pas moins une vraie curiosité.
Libération
Cette stylisation du réel évoque le cinéma d’Aki Kaurismäki mais trempé dans une lumière essentiellement naturelle, qu’Adilkhan Yerzhanov prend soin de travailler à chaque raccord [...]. La recette fonctionne, entre des acteurs en charge des ruptures de ton et un équilibre minutieux de tous les plans, mais devient vite systématique et quelque peu agaçante.
Première
On pense cette fois davantage au cinéma coréen, à ses embardées burlesques, à sa violence sèche et ultragraphique. Nonobstant un récit par trop écrit d’avance, A dark, dark man confirme, s’il en était besoin, le talent – encore un peu brut – d’Adilkhan Yerzhanov.
Voici
A son rythme languine et son économie de dialogues, A Dark Dark Man risque de ne pas plaire à tout le monde. Mais qui saura se laisser emporter par ses élans de film noir, le style fou de sa mise en scène et son portrait acéré de la corruption, profitera de l'un des films les plus singuliers de cette année.
Critikat.com
A Dark-Dark Man fait parfois preuve d'inspiration, mais ploie sous des références trop écrasantes.
Le Figaro
(...) Adilkhan Yerzhanov mélange violence et humour absurde à la façon d'un certain cinéma américain, tendance Tarantino et frères Coen. Mais il y a aussi quelque chose d'un peu poseur et de complaisant dans sa mise en scène qui prend un peu trop son temps pour raconter une histoire qui n'a rien non plus de franchement passionnant.
Les Inrockuptibles
Le problème, c’est qu’à trop soumettre les éléments à un régime de soustraction (intrigue et personnages qui ne sont que des figures endormies) sous prétexte qu’il métaphorise un état de désolation propre à l’époque, le film perd en substance et ne laisse entrevoir que son squelette d’intentions avec ses plans au carré et son impassibilité ricanante.