Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Tout cela n'a ni queue ni tête, agace un peu... mais la sincérité, justement, et la promesse tenue de liberté de cette "fantaisie" génèrent un indicible charme.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un charme passe dans cette néo-Ferme célébrités, qui a la modestie de la sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Quentin Papapietro
Ce « male gaze » insistant explique sans doute la réponse alerte et pour le coup pleine de sincérité du réalisateur à qui l’on demande dans le dossier de presse comment lui est venue l’idée du film : « Au bord d’une piscine, à Los Angeles ».
L'Obs
par Nicolas Schaller
C’est un navet filmé au Caméscope, qui ne dit rien sur rien et empeste le vieux monde de pseudo- intellectuels germanopratins.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Nanar insoupçonné voué à un culte futur ou aérolithe du mal descendu sur Terre pour annihiler tout bon goût ? Toujours est-il qu’au moment présent, La Sincérité, pâteux et aigre, évoque un pastiche de film de potes déphasé au dernier degré.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Une tentative maladroite et arrogante de marivaudage qui tente de marcher sur les terres de Rohmer, en vain.
Positif
par Fabien Baumann
L’effet de miroir n’aura prouvé qu’une seule chose : lorsqu’il se contemple dans le néant de sa caméra, ce pauvre Charles Guérin Surville croit voir un créateur tourmenté quand nous n’avons perçu qu’un bouffon prétentieux.
Première
par Thierry Chèze
Car, à force de jouer avec les clichés, ceux-ci se retournent contre cette Sincérité étouffant d’une maladroite... insincérité ! « L’artificialité » aurait été un meilleur titre. N’est pas Rohmer qui veut.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
Tout cela n'a ni queue ni tête, agace un peu... mais la sincérité, justement, et la promesse tenue de liberté de cette "fantaisie" génèrent un indicible charme.
Télérama
Un charme passe dans cette néo-Ferme célébrités, qui a la modestie de la sincérité.
Cahiers du Cinéma
Ce « male gaze » insistant explique sans doute la réponse alerte et pour le coup pleine de sincérité du réalisateur à qui l’on demande dans le dossier de presse comment lui est venue l’idée du film : « Au bord d’une piscine, à Los Angeles ».
L'Obs
C’est un navet filmé au Caméscope, qui ne dit rien sur rien et empeste le vieux monde de pseudo- intellectuels germanopratins.
Les Fiches du Cinéma
Nanar insoupçonné voué à un culte futur ou aérolithe du mal descendu sur Terre pour annihiler tout bon goût ? Toujours est-il qu’au moment présent, La Sincérité, pâteux et aigre, évoque un pastiche de film de potes déphasé au dernier degré.
Ouest France
Une tentative maladroite et arrogante de marivaudage qui tente de marcher sur les terres de Rohmer, en vain.
Positif
L’effet de miroir n’aura prouvé qu’une seule chose : lorsqu’il se contemple dans le néant de sa caméra, ce pauvre Charles Guérin Surville croit voir un créateur tourmenté quand nous n’avons perçu qu’un bouffon prétentieux.
Première
Car, à force de jouer avec les clichés, ceux-ci se retournent contre cette Sincérité étouffant d’une maladroite... insincérité ! « L’artificialité » aurait été un meilleur titre. N’est pas Rohmer qui veut.