Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Un thriller hitchcockien haletant, porté par une Virginie Efira au sommet.
Bande à part
par Benoit Basirico
Virginie Efira incarne avec un grand talent cette figure placide qui va se déliter petit à petit, jouant la maîtrise comme l’inquiétude avec d’infimes nuances.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Judith Langendorff
Sans jamais pourtant céder au pathétique, "Madeleine Collins" relate comment une forteresse de mensonges forgée par une femme plus généreuse que perfide se fissure peu à peu, pour enfin se fracasser avec pertes et fracas.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L’actrice maîtrise idéalement ce genre de rôle de femme au bord des gouffres, perdant peu à peu pied. Avec sa blondeur hitchcockienne, elle donne le vertige.
Elle
par Françoise Delbecq
Virginie Efira livre une performance des plus élégantes.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Dans la vraie vie, Judith n'aurait sans doute pas pu tenir en équilibre aussi longtemps. Mais à l'écran, Virginie Efira fait passer tout ce qui paraît improbable.
Franceinfo Culture
par Nisrine Manai
Ponctué de coups de théâtre, qui flirte parfois avec le vaudeville, le film réussit à désosser la personnalité complexe quasi-perverse d’une femme prisonnière de sa propre illusion. Palpitant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une nébuleuse mentale où Virginie Efira trouve un rôle à la mesure de son immense talent. Aussi troublant que subtil.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Antoine Barraud mène la narration avec une forme habile de suspense : il entretient à égalité les deux histoires parallèles de cette femme, qui ici et là est une épouse parfaite et une mère aimante.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Antoine Barraud déconcerte avec ce film singulier par intermittences, mais animé d’un très grand désir de fiction. Virginie Efira y fait des merveilles.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Efira retrouve le sommet de son jeu : rare, voire seule actrice de sa génération capable de délivrer ce genre de partition propre aux woman’s pictures à très hauts reliefs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Rarement on aura vu le mensonge s’exténuer ainsi au cinéma, à vue d’œil. Vie plus «redoublée» de Judith/Margot que double vie, chaque geste répété s’additionne, accable et ne comble rien surtout pas le précipice.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Ariane Allard
On ne peut plus troublant, le deuxième long métrage (de fiction) d’Antoine Barraud ravit d’emblée le regard et intrigue durablement.
Première
par Thierry Chèze
Ce personnage border line tout en intériorité nécessitait une actrice toute en nuances et puissance tranquille. Virginie Efira ne pouvait pas être un meilleur choix tant elle s’y montre magistralement fascinante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sophistiqué, ambitieux, le film fait le pari d’un drame qui ne dit pas son nom. Un exercice de haute voltige...
Télé Loisirs
par Claire Picard
Frôlant le thriller, brouillant sans cesse les pistes, le scénario embarque le spectateur dans une intrigue à tiroirs captivante et à l'ambiance oppressante. Formidable performance de Virginie Efira.
Télérama
par Jacques Morice
Sophistiqué et élégant, Madeleine Collins prône l’idée qu’aucune identité n’est stable, que chacun joue plusieurs rôles. C’est, en soi, un éloge de la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un drame psychologique mâtiné de suspense, entre Vertigo et Kramer contre Kramer, qui met une femme au coeur d'une situation généralement masculine, et repose entièrement sur les épaules de Virginie Efira, qui les a (les épaules !).
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
Le mensonge n’est pas une chose légère, et la trajectoire de l’héroïne témoigne plutôt de sa parenté avec la folie. Son plaidoyer en faveur de l’émancipation féminine (…) montre une femme ne faisant qu’un avec son rôle.
La Croix
par Céline Rouden
Dans ce thriller hitchcockien qui assume ses références à Vertigo, Virginie Efira incarne avec finesse la personnalité trouble d’une femme à la double vie dont l’identité se fissure sous le poids de ses mensonges.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Virginie Efira est parfaite dans ce beau personnage qui perd peu à peu pied avec la double réalité, combinée avec deux pays ! Cependant, en voulant le placer dans la même confusion que son héroïne, le film perd son spectateur qui n’attend qu’une chose : comprendre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Florence Vierron
Antoine Barraud traque une énigme, louche du côté de Claude Chabrol et de David Lynch. Cela donne un produit hybride, un second long-métrage inégal et prometteur, un miroir brisé, davantage qu’un banal adultère.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Ce thriller psychologique vaut par son jeu de piste élégant qui installe doucement le mystère, puis le malaise, autour des raisons profondes de ce trafic d'identité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Sur un tel postulat, Antoine Barraud avait en mains de quoi signer un parfait labyrinthe de chausse-trappes et de faux-semblants dans les détours duquel égarer le spectateur. Cependant, c'est une autre ligne qu'il retient, plus claire, pas si évidente.
Le Parisien
par La Rédaction
Le film n’est pas désagréable pour autant, mais sa mise en scène, assez plate, conviendrait mieux à un téléfilm de première partie de soirée. Reste l’interprétation pointue, comme toujours, de Virginie Efira dans le rôle principal…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par La rédaction
Virginie Efira nous impressionne dans Madeleine Collins, thriller psychologique d’Antoine Barraud, dans lequel elle incarne, avec fièvre, une femme aux identités multiples.
Critikat.com
par Hugo Mattias
Portrait prometteur d'un personnage incernable, Madeleine Collins avance hélas péniblement vers une fin ouverte qui ressemble à s’y méprendre à une impasse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ouest France
Un thriller hitchcockien haletant, porté par une Virginie Efira au sommet.
Bande à part
Virginie Efira incarne avec un grand talent cette figure placide qui va se déliter petit à petit, jouant la maîtrise comme l’inquiétude avec d’infimes nuances.
Culturopoing.com
Sans jamais pourtant céder au pathétique, "Madeleine Collins" relate comment une forteresse de mensonges forgée par une femme plus généreuse que perfide se fissure peu à peu, pour enfin se fracasser avec pertes et fracas.
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’actrice maîtrise idéalement ce genre de rôle de femme au bord des gouffres, perdant peu à peu pied. Avec sa blondeur hitchcockienne, elle donne le vertige.
Elle
Virginie Efira livre une performance des plus élégantes.
Femme Actuelle
Dans la vraie vie, Judith n'aurait sans doute pas pu tenir en équilibre aussi longtemps. Mais à l'écran, Virginie Efira fait passer tout ce qui paraît improbable.
Franceinfo Culture
Ponctué de coups de théâtre, qui flirte parfois avec le vaudeville, le film réussit à désosser la personnalité complexe quasi-perverse d’une femme prisonnière de sa propre illusion. Palpitant.
L'Obs
Une nébuleuse mentale où Virginie Efira trouve un rôle à la mesure de son immense talent. Aussi troublant que subtil.
Le Dauphiné Libéré
Antoine Barraud mène la narration avec une forme habile de suspense : il entretient à égalité les deux histoires parallèles de cette femme, qui ici et là est une épouse parfaite et une mère aimante.
Les Fiches du Cinéma
Antoine Barraud déconcerte avec ce film singulier par intermittences, mais animé d’un très grand désir de fiction. Virginie Efira y fait des merveilles.
Les Inrockuptibles
Efira retrouve le sommet de son jeu : rare, voire seule actrice de sa génération capable de délivrer ce genre de partition propre aux woman’s pictures à très hauts reliefs.
Libération
Rarement on aura vu le mensonge s’exténuer ainsi au cinéma, à vue d’œil. Vie plus «redoublée» de Judith/Margot que double vie, chaque geste répété s’additionne, accable et ne comble rien surtout pas le précipice.
Positif
On ne peut plus troublant, le deuxième long métrage (de fiction) d’Antoine Barraud ravit d’emblée le regard et intrigue durablement.
Première
Ce personnage border line tout en intériorité nécessitait une actrice toute en nuances et puissance tranquille. Virginie Efira ne pouvait pas être un meilleur choix tant elle s’y montre magistralement fascinante.
Sud Ouest
Sophistiqué, ambitieux, le film fait le pari d’un drame qui ne dit pas son nom. Un exercice de haute voltige...
Télé Loisirs
Frôlant le thriller, brouillant sans cesse les pistes, le scénario embarque le spectateur dans une intrigue à tiroirs captivante et à l'ambiance oppressante. Formidable performance de Virginie Efira.
Télérama
Sophistiqué et élégant, Madeleine Collins prône l’idée qu’aucune identité n’est stable, que chacun joue plusieurs rôles. C’est, en soi, un éloge de la fiction.
Voici
Un drame psychologique mâtiné de suspense, entre Vertigo et Kramer contre Kramer, qui met une femme au coeur d'une situation généralement masculine, et repose entièrement sur les épaules de Virginie Efira, qui les a (les épaules !).
Cahiers du Cinéma
Le mensonge n’est pas une chose légère, et la trajectoire de l’héroïne témoigne plutôt de sa parenté avec la folie. Son plaidoyer en faveur de l’émancipation féminine (…) montre une femme ne faisant qu’un avec son rôle.
La Croix
Dans ce thriller hitchcockien qui assume ses références à Vertigo, Virginie Efira incarne avec finesse la personnalité trouble d’une femme à la double vie dont l’identité se fissure sous le poids de ses mensonges.
La Voix du Nord
Virginie Efira est parfaite dans ce beau personnage qui perd peu à peu pied avec la double réalité, combinée avec deux pays ! Cependant, en voulant le placer dans la même confusion que son héroïne, le film perd son spectateur qui n’attend qu’une chose : comprendre.
Le Figaro
Antoine Barraud traque une énigme, louche du côté de Claude Chabrol et de David Lynch. Cela donne un produit hybride, un second long-métrage inégal et prometteur, un miroir brisé, davantage qu’un banal adultère.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller psychologique vaut par son jeu de piste élégant qui installe doucement le mystère, puis le malaise, autour des raisons profondes de ce trafic d'identité.
Le Monde
Sur un tel postulat, Antoine Barraud avait en mains de quoi signer un parfait labyrinthe de chausse-trappes et de faux-semblants dans les détours duquel égarer le spectateur. Cependant, c'est une autre ligne qu'il retient, plus claire, pas si évidente.
Le Parisien
Le film n’est pas désagréable pour autant, mais sa mise en scène, assez plate, conviendrait mieux à un téléfilm de première partie de soirée. Reste l’interprétation pointue, comme toujours, de Virginie Efira dans le rôle principal…
Télé 7 Jours
Virginie Efira nous impressionne dans Madeleine Collins, thriller psychologique d’Antoine Barraud, dans lequel elle incarne, avec fièvre, une femme aux identités multiples.
Critikat.com
Portrait prometteur d'un personnage incernable, Madeleine Collins avance hélas péniblement vers une fin ouverte qui ressemble à s’y méprendre à une impasse.