Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Un tendre récit d'apprentissage en miroir.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Magnifiquement écrit, Nos âmes d’enfants est une œuvre envoûtante et attachante qui fait de la jeunesse et de l’enfance une bouffée d’espérance et de spiritualité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Joaquin Phoenix est étonnant de tendresse et de sobriété.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Joaquin Phoenix et le petit Woody Norman sont à la hauteur.
Elle
par Françoise Delbecq
Un petit chef-d'oeuvre de tendresse et d'énergie.
L'Obs
par François Forestier
Ce qui élève le film (en noir et blanc), c’est l’interprétation de Joaquin Phoenix, à l’opposé du Joker : il est bouleversant, craquant, génial. Il porte l’histoire et la réinvente.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Lecture du Magicien d’Oz et combat de catch pour rire, peur de se perdre deux minutes ou pour toujours, choix éducatifs et questionnements existentiels, regards d’enfants sur leur famille, leur pays et leur futur s’entrecroisent pour dessiner avec délicatesse l’essence même de l’enfance et toucher en nous ce point, qu’il soit à fleur de peau ou relégué dans les profondeurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un duo simple et beau.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
La mise en scène intelligente de Mills, empreinte d'une belle sensibilité, fait la part belle à la rêverie et à l'improvisation. Joaquin Phoenix, lui, est bouleversant de tendresse et d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dans un noir et blanc élégant qui renforce le sentiment d'intimité, on suit l'étonnante relation d'apprivoisement entre deux êtres que tout sépare mais que la solitude rapproche, et que la tendresse mutuelle va rendre plus forts.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film, très bavard, décrit un homme qui ne sait pas trop quoi faire de lui-même, ni d’un enfant qui se sent “orphelin”. Sans craindre le moins du monde la psychologie et la mélancolie, le film de Mills, délicat, sensible, ne dramatise jamais les situations, cherche toujours à adoucir les choses.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Mills, grand connaisseur de cette chose qu’on appelle la névrose, a du talent pour en injecter à chaque coin de réplique, subrepticement. Si bien qu’on oublie souvent tout ce qui clinque, la musique et le noir et blanc, pour apprécier ce qui s’agite derrière, sorte d’oscillation incessante entre une vision lumineuse de l’enfance et son envers terrorisant, remugle psychanalytique à ciel ouvert fleurant le pire de l’âme humaine en formation, bouillasse d’envies suicidaires spontanées et d’angoisses terminales d’abandon.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Très poétique, profond et sincère, Nos âmes d'enfant n'est pas qu'un joli conte gentillet, c'est également un drame social familial emprunt de mélancolie.
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
En noir et blanc et dans une ambiance de documentaire, ce film voit éclore avec tendresse la complicité naissante entre cet homme sans expérience parentale et ce garçon aux réactions imprévisibles.
Télérama
par Louis Guichard
Dans ses films précédents, le cinéaste utilisait parfois des images d’archives ou de l’animation. Rien de tel, cette fois. Ne croyant qu’à ce qu’il capte, il retrouve, au diapason de ses personnages, l’enfance de son art.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Closer
par La Rédaction
Ce récit initiatique (...) ronronne un peu trop mais vaut pour son aspect documentaire qui nous reconnecte à la réalité.
Le Parisien
par La Rédaction
On s’y ennuie par moments, on est touché à d’autres. Mais le film se laisse regarder pour au moins une bonne raison : il offre à Joaquin Phoenix, épatant dans le rôle de Johnny, l’une de ses rares compositions légères et détendues, ce qui fait assez plaisir à voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Ce film agréable et un peu convenu relate avec douceur la rencontre de deux personnages attachants. Séduisant, à défaut d'être surprenant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Mike Mills explore avec une acuité élégante, dans ce noir et blanc qui scintille, l’intimité de cet attelage réjouissant, le solitaire à la barbe grise et le petit aux grands yeux espiègles.
Cahiers du Cinéma
par Philippe Fauvel
L’impression de glissement d’un lieu à l’autre gomme les spécificités locales, et l’entrelacement de récits, bien qu’empreint de mélancolie, laisse à distance : mêlant les relations filiales (frère-sœur, oncle-neveu) au travail radiophonique, Mills ne traite qu’en surface, poliment, les troubles, disputes ou crises qu’il se contente d’illustrer par des flash- back incisifs.
Positif
par Yann Tobin
Malgré la bonne volonté des acteurs, [...] le rythme indolent et la banalité des interviews authentiques mêlées à l’action peinent à rendre le film palpitant.
Critikat.com
par Valentin Denis
Une lénifiante chronique familiale cultivant une esthétique de la joliesse et de la délicatesse non dénuée d'ambivalence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Nos âmes d'enfants ressemble à ces dimanches après-midi qui n'en finissent pas, sinon dans une crise de nerfs, ici entre deux arbres, lors d'une balade en forêt.
Première
par Frédéric Foubert
Sur le vieux schéma de l’adulte et de l’enfant condamnés à tailler la route ensemble, Mike Mills signe une dramédie mièvre et trop apprêtée (le noir et blanc est très voyant), qui échoue dans son ambition de mêler l’intime à une vision panoramique des Etats-Unis et du monde (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
Un tendre récit d'apprentissage en miroir.
aVoir-aLire.com
Magnifiquement écrit, Nos âmes d’enfants est une œuvre envoûtante et attachante qui fait de la jeunesse et de l’enfance une bouffée d’espérance et de spiritualité.
20 Minutes
Joaquin Phoenix est étonnant de tendresse et de sobriété.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Joaquin Phoenix et le petit Woody Norman sont à la hauteur.
Elle
Un petit chef-d'oeuvre de tendresse et d'énergie.
L'Obs
Ce qui élève le film (en noir et blanc), c’est l’interprétation de Joaquin Phoenix, à l’opposé du Joker : il est bouleversant, craquant, génial. Il porte l’histoire et la réinvente.
La Croix
Lecture du Magicien d’Oz et combat de catch pour rire, peur de se perdre deux minutes ou pour toujours, choix éducatifs et questionnements existentiels, regards d’enfants sur leur famille, leur pays et leur futur s’entrecroisent pour dessiner avec délicatesse l’essence même de l’enfance et toucher en nous ce point, qu’il soit à fleur de peau ou relégué dans les profondeurs.
Le Dauphiné Libéré
Un duo simple et beau.
Le Figaro
La mise en scène intelligente de Mills, empreinte d'une belle sensibilité, fait la part belle à la rêverie et à l'improvisation. Joaquin Phoenix, lui, est bouleversant de tendresse et d'humanité.
Le Journal du Dimanche
Dans un noir et blanc élégant qui renforce le sentiment d'intimité, on suit l'étonnante relation d'apprivoisement entre deux êtres que tout sépare mais que la solitude rapproche, et que la tendresse mutuelle va rendre plus forts.
Les Inrockuptibles
Le film, très bavard, décrit un homme qui ne sait pas trop quoi faire de lui-même, ni d’un enfant qui se sent “orphelin”. Sans craindre le moins du monde la psychologie et la mélancolie, le film de Mills, délicat, sensible, ne dramatise jamais les situations, cherche toujours à adoucir les choses.
Libération
Mills, grand connaisseur de cette chose qu’on appelle la névrose, a du talent pour en injecter à chaque coin de réplique, subrepticement. Si bien qu’on oublie souvent tout ce qui clinque, la musique et le noir et blanc, pour apprécier ce qui s’agite derrière, sorte d’oscillation incessante entre une vision lumineuse de l’enfance et son envers terrorisant, remugle psychanalytique à ciel ouvert fleurant le pire de l’âme humaine en formation, bouillasse d’envies suicidaires spontanées et d’angoisses terminales d’abandon.
Public
Très poétique, profond et sincère, Nos âmes d'enfant n'est pas qu'un joli conte gentillet, c'est également un drame social familial emprunt de mélancolie.
Télé Loisirs
En noir et blanc et dans une ambiance de documentaire, ce film voit éclore avec tendresse la complicité naissante entre cet homme sans expérience parentale et ce garçon aux réactions imprévisibles.
Télérama
Dans ses films précédents, le cinéaste utilisait parfois des images d’archives ou de l’animation. Rien de tel, cette fois. Ne croyant qu’à ce qu’il capte, il retrouve, au diapason de ses personnages, l’enfance de son art.
Closer
Ce récit initiatique (...) ronronne un peu trop mais vaut pour son aspect documentaire qui nous reconnecte à la réalité.
Le Parisien
On s’y ennuie par moments, on est touché à d’autres. Mais le film se laisse regarder pour au moins une bonne raison : il offre à Joaquin Phoenix, épatant dans le rôle de Johnny, l’une de ses rares compositions légères et détendues, ce qui fait assez plaisir à voir.
Les Fiches du Cinéma
Ce film agréable et un peu convenu relate avec douceur la rencontre de deux personnages attachants. Séduisant, à défaut d'être surprenant.
Sud Ouest
Mike Mills explore avec une acuité élégante, dans ce noir et blanc qui scintille, l’intimité de cet attelage réjouissant, le solitaire à la barbe grise et le petit aux grands yeux espiègles.
Cahiers du Cinéma
L’impression de glissement d’un lieu à l’autre gomme les spécificités locales, et l’entrelacement de récits, bien qu’empreint de mélancolie, laisse à distance : mêlant les relations filiales (frère-sœur, oncle-neveu) au travail radiophonique, Mills ne traite qu’en surface, poliment, les troubles, disputes ou crises qu’il se contente d’illustrer par des flash- back incisifs.
Positif
Malgré la bonne volonté des acteurs, [...] le rythme indolent et la banalité des interviews authentiques mêlées à l’action peinent à rendre le film palpitant.
Critikat.com
Une lénifiante chronique familiale cultivant une esthétique de la joliesse et de la délicatesse non dénuée d'ambivalence.
Le Monde
Nos âmes d'enfants ressemble à ces dimanches après-midi qui n'en finissent pas, sinon dans une crise de nerfs, ici entre deux arbres, lors d'une balade en forêt.
Première
Sur le vieux schéma de l’adulte et de l’enfant condamnés à tailler la route ensemble, Mike Mills signe une dramédie mièvre et trop apprêtée (le noir et blanc est très voyant), qui échoue dans son ambition de mêler l’intime à une vision panoramique des Etats-Unis et du monde (...).