Ouh lala mais quel nanar ! On est bien loin des bonnes critiques que j'ai lues un peu partout au sujet de ce film ! Franchement on n'y croit pas deux secondes ! Les situations, les dialogues, les réactions des personnages... tout est caricatural, convenu & prévisible ! Le thème de la trisomie est certes évoqué avec tendresse & intelligence mais tout est trop beau, trop lisse et trop survolé pour qu'on y croit vraiment ! Mais le pire du pire dans ce téléfilm c'est le jeu des acteurs ! Rarement vu des comédiens si plats, si mauvais et si peu investis dans leurs rôles ! Autant l'actrice s'en sort à peu près autant Abittan frise le ridicule tant il est à côté de la plaque ! Et ça n'aide pas à adhérer à l'histoire ! Bref une série qui s'apparente plus à un mauvais prime de Plus belle la vie qu'à un téléfilm social pour émouvoir & mobiliser les consciences... A oublier...
Excellent film sur spoiler: l'apprentissage d'un père à aimer une fille trisomique, à travers les épreuves, les doutes et l'envie de fuir.
L'aspect documentaire est parfaitement géré, très utile et justement utilisé. On se sent proche despoiler: s parents, des proches, de la famille et la petite, de la complexité du sujet.
Les téléfilms se "Netflxisent". Codes modernes de la société, Flash-Backs en tout genre, B.O percutante... "Apprendre à t'aimer" coule dans cette même veine. Comme pour son homologue "Pourquoi je vis", j'avais peur d'une tirade larmoyante sur une différence qu'on connaît tous, mais qu'on a oublié. Pourquoi les handicapés sont très discrets dans le paysage de tout un chacun ? Et bien, ce téléfilm le démontre dans ses très profonds fondements : la peur des autres. La société moderne qui place toute autre chose avant l'humain. Sauver les apparences, sauvez les finances, sauver sa réputation, mais pas sauver quelqu'un. Ary Abittan, qu'on l'aime ou pas, livre une prestation honorable même si les inflexions de voix lors des sarcasmes sont encore trop marqués par la Saga du Bon Dieu ou les Sketchs de Montreux. Julie de Bona est excellente mais tout le monde le sait. La petite Sara, trisomique 21, est un régal pour la joie. Et on s'imagine très vite l'avoir dans les bras et tout lui donner. Beau téléfilm qui place l'humain là où il doit être : avec ses frères et soeurs.
Un magnifique film sur la trisomie 21, comment apprendre à aimer un enfant que l'on veux parfait à la naissance ? Comment chacun réagit à la situation ? Le jeu d'acteur est fabuleux surtout Ary Abittan qui joue le rôle du père de la petite fille. On voit l'évolution de son comportement. On peux se demander comment on peux refuser de s'occuper de son enfant seulement a cause de sa trisomie mais ce quil ne faut pas oublier cest que chacun est différent et que nimporte qui ne pourrais savoir avec certitude sa réaction face à une annonce aussi importante.
Apprendre à t'aimer un petit bijou ,une production m6. Ary Abittan profondément touchant et bouleversant dans un registre pour lequel on ne le connaît pas . Quelques larmes versées. Ce film est d'une utilité publique !
Très beau téléfilm. Sincère, bien joué, de très beaux passages, émouvant. Décris une situation humaine en vérité avec ses difficultés et ses joies. De très belles scènes. Merci pour ce bon moment! A voir!
Un film qui n'est pas un grand block buster hollywoodien et n'ayant pas un budget faramineux mais qui fait beaucoup de bien à nous tous qui prenons la vie comme quelque chose d'acquis. Pour certains cette certitude est moins facile et moins certaine. Ce film met en exergue l'amour d'un père pour son enfant malgré sa différence.
Stéphanie Pillonca et sa coscénariste montrent Frank, un père sportif (entraîneur de judo apte à intégrer le cadre national) négligeant sa femme (prototype de la mère-courage mais néanmoins créatrice de mode) et leur nouveau-né trisomique sur le chemin de l'acceptation de la "différence". C'est prévisible, cousu de fil blanc, mais arrive à dire une ou deux choses sensées sur le handicap, presque par hasard et plutôt dans la phase de refus du père. Par ailleurs, comme c'est formaté TV, il y a deux idylles téléphonéesspoiler: : la mère tombe dans les bras du kiné du bébé, ce qui précipite la rupture. Quant à sa nièce, elle tombe amoureuse du meilleur élément de Frank, un futur champion au caractère difficile, puisqu'"issu de l'immigration".. . Reste que la réalisatrice a un talent certain pour les scènes documentaires.