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Votre avis sur Pourris gâtés ?
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GyzmoCA
"Pourris Gatés" est une énième comédie française comme on en voit (beaucoup) trop. Un scénario simple et prévisible, des gags parfois lourds, des clichés par centaine. La morale de l'histoire est simpliste "le travail est l'essence de la vie".
Passé ces constats, le film reste une distraction correcte où l'on sourit quelque fois notamment avec les remarques d'Artus ou du duo Gérard Jufgnot / François Morel. Les autres acteurs sur-jouent dans des rôles sans aucun intérêt.
Passé ces constats, le film reste une distraction correcte où l'on sourit quelque fois notamment avec les remarques d'Artus ou du duo Gérard Jufgnot / François Morel. Les autres acteurs sur-jouent dans des rôles sans aucun intérêt.
Paresseux, capricieux, fêtards, les trois enfants de l’homme d'affaires Francis Bartek ne font rien de leur vie, à part dépenser l’argent que leur père a durement gagné. Lassé par leur comportement, celui-ci leur fait croire qu’ils sont totalement ruinés, les forçant ainsi à faire l’impensable : travailler !
C’est une réalisation de Nicolas Cuche qui avait fait des comédies sympathiques comme Prêt à tout (2014). Il va faire une libre adaptation du film mexicain à succès Nosotros los Nobles de Gaz Alazraki. Il a écrit le scénario avec Laurent Turner (Radin!). Pourris gâtés a fait partie de la Sélection Officielle de l'Alpe d'Huez 2021.
Vu les premières images, je m’attendais à une comédie très lourding, mais il s’avère qu’elle est finalement bonne.
J’ai rigolé avec plaisir de tout ce qui se passe devant nos yeux. Déjà, cela commence par un “faux reportage” sur Monaco avec en voix off Stéphane Bern. Le décalage entre les images et la narration m’a fait rire d’entrée. Ensuite, on va se plonger dans cette histoire un peu loufoque du père faisant croire à ses enfants qu’ils sont ruinés, afin de leur apprendre la valeur de l’effort. Le concept est assez sympa. Qui ne rêve pas de voir des fils de riches pourris gâtés devoir trimer ?
Vous vous en doutez, ça ne va pas être de tout repos pour eux. C’est justement leur difficulté à s’acclimater au monde du travail, qui va faire beaucoup rire. L’humour est basé sur le décalage (à l’image de l’intro), entre ces gosses de riches, et notre réalité. Il y a souvent un petit truc qui va venir donner le sourire. On se moque gentiment de leur malheur. Par contre, il manque des points culminants et des passages vraiment marquants.
On est beaucoup sur du “one shot” de blague sans avoir de réelles continuités. Un style qui va cependant bien avec les personnages. Les trois enfants vont chacun avoir leur tare pour qu’on puisse rire d’eux. Il y aura Philippe se rêvant en entrepreneur alors que ses idées ne valent rien, Stella la gamine qui méprise tout le monde, et Alexandre qui est peace & love mais profite bien de l’argent de son père. Ce dernier à part son idée un peu sadique, n’apporte pas d’élément humoristique.
Il faut dire que Gérard Jugnot va être le chaperon de toute cette comédie. Il arrive souvent à bien cadrer le sujet et permet de ne pas partir en vrille. Son expérience est véritablement utile à la qualité du film. Le reste du temps c’est donc Camille Lou, Louka Meliava et Artus qui vont se lâcher. L'humoriste est d’ailleurs très efficace avec souvent la petite phrase qui va bien.
C’est une réalisation de Nicolas Cuche qui avait fait des comédies sympathiques comme Prêt à tout (2014). Il va faire une libre adaptation du film mexicain à succès Nosotros los Nobles de Gaz Alazraki. Il a écrit le scénario avec Laurent Turner (Radin!). Pourris gâtés a fait partie de la Sélection Officielle de l'Alpe d'Huez 2021.
Vu les premières images, je m’attendais à une comédie très lourding, mais il s’avère qu’elle est finalement bonne.
J’ai rigolé avec plaisir de tout ce qui se passe devant nos yeux. Déjà, cela commence par un “faux reportage” sur Monaco avec en voix off Stéphane Bern. Le décalage entre les images et la narration m’a fait rire d’entrée. Ensuite, on va se plonger dans cette histoire un peu loufoque du père faisant croire à ses enfants qu’ils sont ruinés, afin de leur apprendre la valeur de l’effort. Le concept est assez sympa. Qui ne rêve pas de voir des fils de riches pourris gâtés devoir trimer ?
Vous vous en doutez, ça ne va pas être de tout repos pour eux. C’est justement leur difficulté à s’acclimater au monde du travail, qui va faire beaucoup rire. L’humour est basé sur le décalage (à l’image de l’intro), entre ces gosses de riches, et notre réalité. Il y a souvent un petit truc qui va venir donner le sourire. On se moque gentiment de leur malheur. Par contre, il manque des points culminants et des passages vraiment marquants.
On est beaucoup sur du “one shot” de blague sans avoir de réelles continuités. Un style qui va cependant bien avec les personnages. Les trois enfants vont chacun avoir leur tare pour qu’on puisse rire d’eux. Il y aura Philippe se rêvant en entrepreneur alors que ses idées ne valent rien, Stella la gamine qui méprise tout le monde, et Alexandre qui est peace & love mais profite bien de l’argent de son père. Ce dernier à part son idée un peu sadique, n’apporte pas d’élément humoristique.
Il faut dire que Gérard Jugnot va être le chaperon de toute cette comédie. Il arrive souvent à bien cadrer le sujet et permet de ne pas partir en vrille. Son expérience est véritablement utile à la qualité du film. Le reste du temps c’est donc Camille Lou, Louka Meliava et Artus qui vont se lâcher. L'humoriste est d’ailleurs très efficace avec souvent la petite phrase qui va bien.
"Pourris gâtés" comédie française réalisée par Nicolas Cuche et sortie en 2021. Le scénario s'inspire du film mexicain "Nosotros los Nobles" sorti en 2013, lui-même inspiré du film de Luis Bunuel "El gran Calavera" (Le grand Noceur) de 1949.
Avec Gérard Jugnot, François Morel, Camille Lou, Artus, Louka Meliava et Tom Leeb (le fils de Michel Leeb).
Une petite comédie familiale française habituelle bien réalisée. Un bon divertissement.
Avec Gérard Jugnot, François Morel, Camille Lou, Artus, Louka Meliava et Tom Leeb (le fils de Michel Leeb).
Une petite comédie familiale française habituelle bien réalisée. Un bon divertissement.
Comédie très sympathique qui m'a bien fait rire. Camille Lou est pétillante et G. Jugnot est au sommet de sa forme. Un bon moment de détente !
Vraiment pas intéressant comme film. Le scénario est très mal pense et les personnages sont quasiment tous détestables. On a quelques idées qui ne sont pas bien exploitées du tout. Niveau comedie, c'est absolument catastrophique, je n'ai pas rigole une seule fois, et c'est vraiment dommage pour une comédie.
J'ai beaucoup hésité avant d'aller le voir parce que les comédies soit j'adore soi je déteste et bien là pas une minute je ne me suis ennuyé.
C'est vrai que quand on est né avec une cuillère en argent dans la bouche souvent on défraye la chronique par son comportement abus d'alcool de drogues vie de débauche et cetera j'ai souvent vu des documentaires de W9 on voit que certains enfants de riches plannent complètement ils ne peuvent même pas savoir ce qui est la vraie vie comme se lever tôt ou chercher l'argent du mois donc voilà un film qui vraiment mets en parallèle deux mondes celui de la richesse et celui des ouvriers comme les serveurs,les maçons. Cela donne envie de voir la version originale tiré d'un film espagnol.
C'est vrai que quand on est né avec une cuillère en argent dans la bouche souvent on défraye la chronique par son comportement abus d'alcool de drogues vie de débauche et cetera j'ai souvent vu des documentaires de W9 on voit que certains enfants de riches plannent complètement ils ne peuvent même pas savoir ce qui est la vraie vie comme se lever tôt ou chercher l'argent du mois donc voilà un film qui vraiment mets en parallèle deux mondes celui de la richesse et celui des ouvriers comme les serveurs,les maçons. Cela donne envie de voir la version originale tiré d'un film espagnol.
Un riche veuf élève seul ses trois enfants à Monaco.
Habitués au luxe et à l'argent de papa, ces trois jeunes adultes ont des caractères d'enfants gâtés et ne savent rien faire par eux-mêmes.
Quand leur père décide de leur donner une leçon de vie, les choses vont peut-être pouvoir enfin changer...
L'idée de départ était sympathique avec un Gérard Jugnot en chef d'orchestre de cette troupe de gamins privilégiés et odieux, la copie finale rendue à l'écran n'amuse pas ou très peu tant les situations et les personnages sont exagérément caricaturaux.
Aucune (bonne) surprise dans cette histoire remplie de clichés et se rapprochant dangereusement de la qualité d'un téléfilm basique de TF1 du dimanche après-midi.
Très décevant.
Site CINEMADOURG.free.fr
Habitués au luxe et à l'argent de papa, ces trois jeunes adultes ont des caractères d'enfants gâtés et ne savent rien faire par eux-mêmes.
Quand leur père décide de leur donner une leçon de vie, les choses vont peut-être pouvoir enfin changer...
L'idée de départ était sympathique avec un Gérard Jugnot en chef d'orchestre de cette troupe de gamins privilégiés et odieux, la copie finale rendue à l'écran n'amuse pas ou très peu tant les situations et les personnages sont exagérément caricaturaux.
Aucune (bonne) surprise dans cette histoire remplie de clichés et se rapprochant dangereusement de la qualité d'un téléfilm basique de TF1 du dimanche après-midi.
Très décevant.
Site CINEMADOURG.free.fr
Ce film ne vaut pas plus de 2 étoiles....pour sa légèreté....sinon trop de clichés...que des clichés d'ailleurs....le jeu des acteurs y compris celii de Gérard Jugnot manque de naturel. un scénario convenu et sans surprise...qui se veut moralisateur à souhait..presque indigeste....vraiment déçue car les critiques étaient plutôt bonnes pour un film de ce genre.
Comédie gentillette dont je n'attendais pas plus, merci aux acteurs qui sont tous bien notamment Jugnot.
Début vraiment "nanar"... chez moi j'aurais tout de suite zappé... mais cela reste une bonne distraction.
Début vraiment "nanar"... chez moi j'aurais tout de suite zappé... mais cela reste une bonne distraction.
tixou0
Nicolas Tuche (pardon, "Cuche"..), 59 ans, quelques apparitions comme acteur mises à part, a fait toute sa carrière de réalisateur dans la "fiction télé", sauf à de très rares occasions - ce "Pourris Gâtés" est son 4e "long" sorti en salles.
C'est une comédie gentillette, tous publics et inoffensive, comme "La Chance de ma vie" (en 2010) - ma seule référence Cuche. Francis Bartek, issu d'une famille d'immigrés polonais, s'est fait tout seul. La soixantaine venue (quand le film commence), il est installé à Monaco, ayant fait fortune dans le BTP. Veuf inconsolable depuis 15 ans, il traîne trois boulets : ses deux fils et sa fille. Cette progéniture (la bonne vingtaine pour la fille, Stella, et Alexandre ; la grosse trentaine pour l'aîné, Philippe) est oisive (la plus importante "activité" étant celle de ce dernier, qui multiplie les projets farfelus, quand le cadet est un éternel - mauvais, très mauvais - étudiant et la benjamine une fille à papa dure avec la domesticité et n'aimant que le "bling bling", comme son "fiancé", le beau Juan Carlos, un Argentin cherchant à se caser). spoiler: Le père en souffre - le père se lance dans une stratégie : il est ruiné, et la famille doit fuir la police ! "Réfugiée" près de Marseille, dans la maison de son enfance (modeste et délabrée), la fratrie Bartek va devoir gagner son pain quotidien !...
Chronique mollassonne (voire poussive), rebondissements téléphonés (Juan Carlos en deus ex machina.... ou pas)... pour illustrer une morale simple : "C'est en forgeant qu'on devient forgeron" - comme Papa, d'artisan-maçon besogneux, était devenu patron prospère, dicton que l'on couplera avec cet autre : "Bon sang ne saurait mentir" (les 3 parasites avaient besoin seulement d'être "motivés", pour se révéler).. Gérard Jugnot fait un pater familias "impliqué" crédible, et Artus un aîné tout aussi crédible (et Tom Leeb, en "Argentin", une prestation à "accent" - un peu comme son talentueux père dans la vraie vie, honorable).
Un bon téléfilm - mais une "fiction" trop "juste" (histoire, mise en scène...) pour faire un film de cinéma convenable.
C'est une comédie gentillette, tous publics et inoffensive, comme "La Chance de ma vie" (en 2010) - ma seule référence Cuche. Francis Bartek, issu d'une famille d'immigrés polonais, s'est fait tout seul. La soixantaine venue (quand le film commence), il est installé à Monaco, ayant fait fortune dans le BTP. Veuf inconsolable depuis 15 ans, il traîne trois boulets : ses deux fils et sa fille. Cette progéniture (la bonne vingtaine pour la fille, Stella, et Alexandre ; la grosse trentaine pour l'aîné, Philippe) est oisive (la plus importante "activité" étant celle de ce dernier, qui multiplie les projets farfelus, quand le cadet est un éternel - mauvais, très mauvais - étudiant et la benjamine une fille à papa dure avec la domesticité et n'aimant que le "bling bling", comme son "fiancé", le beau Juan Carlos, un Argentin cherchant à se caser). spoiler: Le père en souffre - le père se lance dans une stratégie : il est ruiné, et la famille doit fuir la police ! "Réfugiée" près de Marseille, dans la maison de son enfance (modeste et délabrée), la fratrie Bartek va devoir gagner son pain quotidien !...
Chronique mollassonne (voire poussive), rebondissements téléphonés (Juan Carlos en deus ex machina.... ou pas)... pour illustrer une morale simple : "C'est en forgeant qu'on devient forgeron" - comme Papa, d'artisan-maçon besogneux, était devenu patron prospère, dicton que l'on couplera avec cet autre : "Bon sang ne saurait mentir" (les 3 parasites avaient besoin seulement d'être "motivés", pour se révéler).. Gérard Jugnot fait un pater familias "impliqué" crédible, et Artus un aîné tout aussi crédible (et Tom Leeb, en "Argentin", une prestation à "accent" - un peu comme son talentueux père dans la vraie vie, honorable).
Un bon téléfilm - mais une "fiction" trop "juste" (histoire, mise en scène...) pour faire un film de cinéma convenable.
Grâce à Gérard Jugnot et Camille Lou, ce scénario astucieux, mis en scène comme une téléfilm du service public, se tient à peu près. On regrettera néanmoins la sous exploitation des idées du scénario et des gags répétitifs (imaginons ce qu'un Blake Edwards aurait fait du maire muet et de sa traductrice gesticulante). Au lieu d'une exploitation habile, la réalisation se complait à décrire une accumulation de poncifs et de se situations téléphonées. Quelques sourires par ci par là et un casting qui tient la route étoffent quelque peu un maigre bilan. C'est insuffisant mais représentatif du cinéma comique français de ces vingt dernières années. Dans le passée Be Broca, Lautner, Molinaro, Audiard... euh je m'égare... C'est en forgeant que l'on devient forgeron, je craint le pire si Nicolas Cuche décide de devenir un vrai cinéaste...
Un film inoffensif et sans surprise. Quelques bonnes répliques au début et puis le film tombe dans un conformisme ennuyeux.
Malheureusement le genre de comédie qui s'oublie vite et qui ne vas pas au fond des choses niveau émotion et psychologie des personnages. dés le début on sait comment le film va finir. Même si le casting est intéressant dommage que le film survole, mise en scene classique, scénario aux rebondissement téléphonés et des dialogues assez courts quand le réalisateur veut faire passer un moment "émotion". je trouve vraiment dommage que ce soit survolé sans relief; reste que les acteur font le minium syndical mais ne sont pas aidé par l’écriture de leur personnage. C'est dommage vu que le postulat de départ est assez fun bref j'ai l'impression de voir un téléfilm basique de tf1 cela tombe bien vu que tf1 fait partie des producteurs de ce film
« Pourris Gâtés » le titre donne déjà pas mal d’indication, mais le casting avec Jugnot, Artus et surtout Camille Lou m’a amené à me laissé tenter. Jugnot est un entrepreneur veuf qui a fait fortune dans le BTP et vit luxueusement à Monaco. Il a trois enfants qui sont des jet setter : la fille se conduit comme une princesse et va marier un bel hidalgo, son frère (Artus) roule en ferrari et trouve toujours des idées géniales comme Bien dans tes pompes, un entreprise dont la mission est de porter pendant 7 jours les chaussures de clients au pieds sensibles pour qu’elles se fassent. Le troisième est un playboy qui baise tout ce qui bouge. Voyant que ces enfants sont « pourris gâter », le père organise une mise en scène où il doit s’enfuir et se réfugier avec eux pou repartir à zéro car ruiné. Ca dure 1h37, et bien sûr lorsque les enfants reviendront à Monaco ils auront muris, seront plus unis que jamais et auront redécouvert les valeurs essentielles de la vie. Le casting est pas mal mais le scénario est d’un creux. Il ne se passe rien, ni dans les péripéties, ni dans la comédie, ni dans l’évolution des personnages. J’ai regardé le Box Office : 440 000 spectaceurs sans trop savoir ce que cela représente par rapport à la période du Covid. C’est tellement sans saveur comme de l’eau tiède que je me demande à qui cela pourrait plaire. Quelles sont les personnes qui boivent de l’eau tiède ? Camille Lou est bien mise en valeur et magnifique comme à son habitude, mais cela ne transforme pas un navet en projet réussi. Je me demande toujours comment des acteurs comme Gérard Jugnot ou François Morel font pour se commettre dans ce genre de navet. J’entends toujours dire que c’est difficile de faire un film, qu’il faut passer tout un tas d’obstacle, mais comment toutes ces filtres, toutes ces cordes de rappel ont pu ne pas fonctionner. Après c’est non violent, ni triste, ni drôle, ni dramatique, ni stressant, c’est juste un conte d’une banalité confondante « ils étaient riches, ils sont devenus pauvres, quand ils sont re devenus riches, ils avaient plein de bonnes valeurs de pauvre ». Confondant. Ce film va pouvoir se noyer dans l’océan des films vus qu’on oubliera très vite.
Allez demain est un autre jour et j’essayerai de voir le film d’un réalisateur qui a quelque chose à dire.
Allez demain est un autre jour et j’essayerai de voir le film d’un réalisateur qui a quelque chose à dire.
En 2021, Nicolas Cuche livre une comédie quelconque dans laquelle seule la prestation souveraine de Gérard Jugnot (voire celle de l’humoriste Artus) sauve les meubles. En effet, l’histoire de ce père de famille qui décide de donner une bonne leçon d’humilité à ces trois enfants trentenaires et oisifs ne propose aucune originalité. Les situations comiques sont rares et la morale reste fort convenue. Il ne s’agit pas pour autant d’un navet mais plutôt d’un film gentillet. Bref, un divertissement sans relief sur les valeurs de l’argent.
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