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    Titane
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    Jérome Guyader
    Jérome Guyader

    27 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 mai 2022
    Film sans intérêt décousu , très mal représenté qui dénigre le métier de sapeur pompier .... un lindon perdu dans le néant...
    Nico F
    Nico F

    208 abonnés 706 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Etrange .. atmosphère qui sent l'huile de vidange et le feu ... mais au final pas mal san plus .... il manque un quelque chose .. ou un peu trop peut être . Le jeu d'acteur sauve tout de même me film . 6/10 .
    Oran Demazis
    Oran Demazis

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 juillet 2021
    Vouz voulez savoir comment est il possible qu un tel film obtienne une palme d or ? Ben vous avez vu que cette année Mylène était membre du jury... Et vous savez que Lindon est un ami de Mylène... Alors y a t il eu influence ?
    eldarkstone
    eldarkstone

    219 abonnés 2 074 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2021
    Dans la continuité glauque de Grave, Titane nous offre un spectacle encore plus tendu et hard, mais pas déplaisant du tout, avec un scénario unique et des acteurs incroyables !
    Gaelle Le Bon
    Gaelle Le Bon

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 juillet 2021
    Un vrai navet qui se veut intello. Il y avait longtemps que je ne m'étais pas autant ennuyé. Vraiment nul a la limite du supportable
    Kiberen
    Kiberen

    22 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juillet 2021
    Avoir enchaîné une quarantaine de films depuis le déconfinement offre inévitablement un spectre de l'émotion cinématographique assez large: la déception avec "Benedetta" "Le dernier Voyage" et "Ibrahim", les yeux qui brillent du début à la fin avec "Gagarine" "Bergman Island" et "Sound of Metal", le sentiment d'avoir manqué le film avec "Annette" où "Mandibules".

    Ce spectre des émotions est ce qui me convainc au plus profond de mon cœur que pour l'instant, "Titane" est ma plus forte expérience cinématographique de l'année 2021.

    L'aimer où le détester revient dans les deux cas à se faire juger, donc autant y aller directement:

    Julia Ducournau offre une évolution à son cinéma équivalente à Xavier Dolan lorsqu'il nous a offert “Laurence Anyways": Les bases posées sur "Grave" sont prolongées, étendues, renforcées et sublimées. Le rapport au corps, à la chair, le décalage d'un personnage principal qui est en constante bascule entre être la proie et le prédateur de son environnement. Ce qui change ici: tout le reste

    Pour succéder à l'ancrage de la narration dans un certain réalisme dans "Grave", Ducournau part dans la direction opposée et transforme chaque image de "Titane" en une peinture couleur néon libre d'interprétation, chaque scène apportant une réflexion qui sera propre à chaque spectateur. Chaque choix de cadre, de lumière, de mouvement, tout à quelque chose à raconter, car c'est bien beau de considérer que "Titane" n'a rien à raconter mais si on ne fait qu'écouter, la limite de la narration est en effet bien vite atteinte dans cette optique. Le film se distingue d'ailleurs par la rareté de ses dialogues, au point que certains personnages viennent à s'en demander pourquoi la parole ne vient pas.

    Il est déconcertant c'est vrai de nager entre des enjeux clairs contre des scènes surréalistes où même en écrivant cette critique une semaine après, mon interprétation dessus varie encore.

    De là on pourrait dire que on trouve le film beau sans avoir réussi à justifier ce qu'on en interprète, donc personnellement: "Titane" c'est la violence des corps qui s'entrechoquent, le trouble de voir un être en décalage constant avec son monde et de le craindre autant que d'essayer de le comprendre avec le risque qu'il devienne une possible bombe humaine au sein d'un environnement socialement conditionné, la dualité des genres et sa frontière qu'on peut brouiller même avec pour but d'assurer l'instinct de survie, l'amour sacro-saint de la parentalité amenant autant à la folie qu'au chaos autant du côté de la paternité que de la maternité, la violence du sexe, de l'amour, du titane qui cogne.

    Le choix visuel d'avoir un bout de cerveau constamment visible sur le crâne de notre personnage principal, y compris sur le poster, en dit beaucoup: nous devrions tous nous conditionner à marcher dans le même sens, à être aussi solide que notre prochain, mais notre fragilité rend ce but utopique perdu d'avance, et si nous nous écartons de ce chemin, si nous nous blessons, nous tendons à devenir des marginaux, "des monstres qu'on laisse entrer" comme l'a dit Julia Ducournau.

    Nous sommes toujours a ça de devenir des monstres qui ne trouveront refuge qu'auprès de monstres aussi à vif que nous, et toute tentative de s'insérer hors de l'abri pour entrer au contact de la société tend à l'échec de manière directe où à retardement.

    Mais les monstres sont bien là, ils donnent de l'amour, ils enfantent en dehors des sentiers tracés, ils peuvent chercher la paix mais s'exposent au risque de voir leur animalité ressurgir à tout moment. Nous ne sommes pas tous fait de la même chair et nous sommes voués à nous entrechoquer comme une voiture contre le bitume.

    Tout ça c'est déjà beaucoup, et il serait long d'exposer le travail visuel constamment dans un surréalisme aussi recherché que sublime, où le jeu d'acteur est impressionnant surtout lorsque les personnages se retrouvent en duel, où encore la sélection musicale extrêmement juste qui touche du doigt le magnifique dans son final.

    De manière générale, il est extrêmement fort de voir Ducournau porter avec son sang des scènes qu'elle ressentait au fond de ses tripes et de ne pas avoir cherché à les amenuiser au risque d'en réduire l'impact, la scène de la voiture a la carrosserie de flammes où le final en sont les preuves. On peut également saluer une utilisation de la violence qui dérangera (la salle était très réactive) tout en sachant trouver sa juste limite avant de sombrer dans le gratuit debilisant (et pour avoir rattrapé "Jigsaw" avant de voir "Spiral a Saw Story", oui là on est dans le gratuit débile et pathétique de par l'absence de confiance en la violence montrée). Julia Ducournau ne fait pas du gore où du gratuit, Julia Ducournau trouve simplement intéressant d'offrir peu de violence mais placé pile là où on ne veut pas la voir s'exercer.

    Ducournau dit elle même que son film est imparfait, et cela est libre d'interprétation: est ce que le film a de concrets défauts où est ce que l'expérience sera tellement propre à chacun que ce qui marchera pour certains sera pitoyable pour d'autres ? Sûrement un peu des deux, un peu de recul et un second visionnage lorsque viendra sa sortie blu-ray qui précisera sûrement mon rapport à la question. Cependant, il serait malhonnête de faire l'impasse sur ce qui a pu me rebuter sans pour autant gâcher mon plaisir : un premier tiers parfois trop vague et brusque, un rapport à l'automobile qui n'est pas le moteur entier du film mais qui réapparaît parfois de manière trop rare et soudaine, surtout quand on nous oriente dessus dès l'introduction. Rien de bien choquant, et sûrement que sur mon deuxième visionnage je n'y ferai plus attention, ayant déjà la structure du film en tête

    Mais déjà en soit, Titane est une réussite pour cela: avoir créé un rapport au public aussi imparfait et monstrueux que ses personnages. Titane c'est une expérience à la force si rare, un film qui fonce tout droit en croyant fort en lui au risque de tout péter en passant. Cela faisait tellement longtemps qu'on n'avait pas vu un débat aussi sanguin autour d'un film et qui risque de durer longtemps.

    Qu'on l'aime ou qu'on le déteste, le film est assez fort pour empêcher toute possibilité de créer une réaction neutre en visionnage. Immonde pour certains, prophétique pour d'autres dans une année un peu molle cinématographiquement pour l'instant alors qu'essentielle pour l'avenir de la culture, Julia Ducournau à vomi toutes ses tripes pour rappeler que le cinéma ne se limite pas à un bête divertissement mais fait office au contraire lorsqu'il est fort, d'une véritable confrontation, entre ce que nous voyons de lui et ce que nous voyons de nous

    Même dans ses fragilités, même face au rejet, la proposition est tellement forte et je ne m'attendais pas à y être aussi réceptif. Avec une quarantaine de films vus pour l'instant cette année, aucun ne s'est révélé avoir autant de sublime à mes yeux que celui-ci. Aimez le et parlez en pendant des heures où résumez le à de la pornographie vulgaire et prétentieuse accompagnée de violence gratuite, vous ne pouvez y être indifférent.

    Ce film c'est du solide, c'est du titane.
    Joyeux
    Joyeux

    101 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2021
    Après "Grave", Julia Ducournau réalise une nouvelle fois un véritable ovni dans le paysage cinématographique mondial. Un condensé de trash féministe et de mystique monstrueuse, on aime ou on n'aime pas, mais on est obligés de reconnaître que ça claque !
    Audrey L
    Audrey L

    638 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2021
    On allait à cette séance de minuit avec beaucoup d'aprioris : le bad buzz à Cannes (les spectateurs évacués de la salle au bord du malaise, toutes les mentions d'un "film dégueu"...) qui nous faisait redouter un "Grave" multiplié par deux dans la boucherie. Mais, on va passer pour la zinzin de service : on a beaucoup aimé ce Titane. Pour commencer par l'évidence, l'actrice Agathe Rousselle est impressionnante, en campant ce personnage dont on ne peut jamais lire les pensées, jamais prévoir le prochain coup, étant à la fois effrayant et attristant : pour nous, le point fort du film. A ses côtés, Vincent Lindon revient en force avec un personnage désespéré et sur le déclin très attendrissant, un rôle qu'on croirait sur-mesure. Cependant, ce qui nous a le plus épaté dans ce Titane, c'est la facilité avec laquelle le scénario prend la tangente sur les clichés auxquels on s'attendait. Au début, on pensait avoir affaire à un autre "film crade avec une tarée qui tue tout le monde" et bien vite le film abat sur la table ses atouts scénaristiques très intéressants : la peur de la grossesse, de l'accouchement, le deuil impossible d'un enfant perdu, l'amour désintéressé d'un inconnu, tout ceci mélangé avec un délire cyberpunk (la relation sexuelle féconde entre la femme et une voiture... On a adoré cette idée, surtout aussi bien développée jusqu'au tout dernier plan du film). Cela faisait longtemps qu'on n'avait pas autant aimé un délire d'auteur, qui semble être le bad trip d'un Basic Instinct (sexe et pic à glace) avec Christine (un amour de voiture...mortel). Pour ce qui est du gore et de la violence; clairement on a vu plus trash dans la catégorie "interdit aux moins de 12 ans", on suppose que le "-16" se justifie par les scènes dénudées un peu violentes (mais pour nous, jamais gratuites, du fait de la thématique de la peur viscérale de l'enfantement mélangé au délire mécanique, qui méritait donc bien quelques scènes-chocs). Dernière bonne surprise : on était persuadé jusqu'à la séquence finale qu'on aurait "la fin inverse" à celle présentée (on s'attendait à spoiler: ce que le père meure de la main d'Alexia
    ), qui nous a donc vraiment étonnée dans le (très) bon sens du terme. Au final, on a même trouvé que Titane possédait son lot de scènes sensibles, pleines d'émotions (si si), lorsqu'il aborde le sujet de la filiation difficile, de la féminité sous toute sa violence physiologique. Bref, inutile de tourner autour du pot (d'échappement), Titane a été une bonne surprise.
    Michèle G
    Michèle G

    42 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2021
    « Titane » est un film d’une extrême violence. Une plongée en apnée, faisant de nous les témoins de la métamorphose radicale d’un corps, celui d’une femme. Une mutation dans la douleur où la fragilité des apparences nous oblige à voir autrement ou à fermer les yeux.

    Malgré certaines scènes qui mettent le spectateur à dure épreuve et les faiblesses d’un scénario pas toujours crédible, ce film interpelle.

    Si violence il y a, elle a changé de camp. Elle n’est plus l’apanage des hommes, elle devient celle d’une femme, Alexia, interprétée par Agathe Rousselle.

    Le début du film évoque brièvement l’enfance d’Alexia où la relation tendue et mutique père-fille laisse soupçonner qu’il s’est peut-être passé « quelque chose ». Le doute plane comme une ombre qui augure un destin contrarié ; celui d’une enfant qui très tôt doit se protéger de cette ombre menaçante. À finir par provoquer cet accident qui va immerger son corps juvénile dans une protection métallique pour survivre. Une greffe en titane. Dès le début, le ton est donné.

    On retrouve Alexia, quelques années plus tard, hôtesse lascive dans un salon de l’auto ; le corps intrinsèquement lié à la carrosserie des véhicules formant un alliage charnel. La voiture, seul espace organique possible où les désirs de la femme qu’elle est devenue peuvent s’accomplir et s’épanouir.

    Alexia a frôlé la mort. Cette mort est désormais son mode de survie. Tuer pour protéger son corps de femme. Tuer le désir de l’autre en utilisant un objet de séduction féminin, une épingle à cheveux, comme arme fatale.

    Tuer le désir de l’autre jusqu’à ce jour où elle découvre qu’elle est enceinte. Nouvelle mutation du corps depuis son accident. Qui est le père ? Tous les fantasmes sont permis. Son propre père ? La voiture devenue le second corps partenaire d’Alexia ?

    Le champ des possibles, aussi invraisemblables soient-ils, laisse la pleine place à l’imagination la plus sombre, comme à la plus débridée.

    La vie germe dans le ventre d’Alexia. Cette vie doit être anéantie, elle aussi. Le corps continue son avancée dans la souffrance des matières traversées.

    Alexia, la tueuse en série, finit par être identifiée. Elle doit se dissimuler aux yeux de cette société qui la recherche et trouver une nouvelle protection. Se travestir. Non pas avec des vêtements, mais avec ses propres chairs. Briser les frontières qui séparent le féminin du masculin. Ultime échappatoire pour sauver sa peau.

    La métamorphose ne peut s’effectuer qu’en mutilant son corps, mais avant tout son visage. Effacer les traces et les contours qui faisaient la beauté féminine. Devenir un homme passe par une nouvelle violence. Pourquoi ce choix ?

    Après avoir remarqué sur une affiche la photo d’un enfant disparu de longue date, dont les traits pourraient correspondre aux siens, Alexia va se transformer en Adrien ; le fils disparu de Vincent, commandant d’une caserne de pompiers, interprété par Vincent Lindon. Alexia va trouver refuge chez ce « père adoptif » et prendre peu à peu la place d’Adrien.

    Ce père, aveuglé par la souffrance, s’imagine avoir retrouvé son fils dans ce corps trompe-l’œil. Les réels qui allègent nos douleurs ne sont-ils pas ceux que l’on façonne ?

    Alexia/Adrien, un jeune homme dans un corps de femme enceinte. Une déconcertante mise en abyme du corps humain en sa mutation androgyne portant l’embryon d’une « troisième » vie. Une vie en gestation. Une vie qui semble indestructible, protégée par le métal.

    Alexia/Adrien va être en immersion dans le monde virile des hommes ; une caserne de pompiers où il n’est pas simple de cacher un corps et encore moins une grossesse. Ce lieu devenu protecteur, peut-il devenir une catharsis pour Alexia qui a mis le feu à la maison familiale avant de la quitter ?

    Si la mue du serpent ne change en rien le serpent, l’apparence demeure jusqu’à ce moment où les corps brisent leurs carapaces ; à franchir cette frontière où l’on ne peut plus les atteindre.

    Les références cinématographiques qui jalonnent ce film sont claires, assumées et s’émancipent des « maîtres ».

    « Titane » fait du corps pelliculaire du cinéma, non plus un espace métaphorique, mais un territoire où les matières vivantes et organiques se réinventent.

    Oui, une femme peut-être un « serial killer ». Oui, une femme peut faire des films gores à leur redonner une place qui n’en fait pas un « sous-genre ». Non, ce n’est pas un homme qui a filmé toute cette violence, mais bien une femme.

    Le festival de Cannes aurait-il lui aussi muté en récompensant ce film dérangeant ? Mais il ne faut surtout pas réduire cette récompense à celle donnée à une femme car aucune création ne mérite récompense hors champ du talent.

    Talentueuse, Julia Ducournau, l’est indéniablement.
    lionelb30
    lionelb30

    438 abonnés 2 592 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Film très singulier , parfois violent , parfois malsain , a la limite de plusieurs genres mais qui tient en haleine jusqu’à la fin.
    Il faut être un peu barré pour faire ce genre de film , surtout pour une femme...
    Maintenant content de l'avoir vu une fois , mais je ne le regarderais pas une seconde fois.
    Frank Booth
    Frank Booth

    9 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 juillet 2021
    Ce film n'est ni aussi bon que le disent les critiques dithyrambiques, ni aussi mauvais que le disent certains ici... Il souffre d'être beaucoup trop référencé et de trop chercher à plaire par un excès de chocs visuels et sonores... Il emprunte à Cronenberg bien-sur pour la plastique visuelle (Crash évidemment en premier lieu) mais surtout au Lost Highway de David Lynch, et même à Tarantino....

    Clairement Ducornau a voulu faire un film-cerveau, ce que nous regardons n'est pas la réalité, mais un fantasme né d'un cerveau traumatisé par un accident de voiture, et surtout un rapport père/fille douloureux... Comme dans Lost Highway, le personnage principal fantasme un autre monde né de ses souffrances traumatiques et névrotiques...

    La faiblesse du film provient de la saturation excessive --trop d'effets visuels, trop de musiques-- et de la pauvreté des personnages et de l'histoire qui ne tient finalement qu'à un fil.

    Film moyen. Beaucoup de HYPE pour pas grand chose. C'était déjà le cas pour GRAVE.
    MercedesU
    MercedesU

    4 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 juillet 2021
    Plus que nul, gratuit. Violences incompréhensibles. Je suis étonnée que le grand Vincent Lindon ait accepté un tel scénario.
    Les acteurs principaux sont bons mais leurs rôles lamentables🤢
    Parasite
    Parasite

    36 abonnés 1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 juillet 2021
    Titane n'est ni provocant ni polémique.
    Il se veut peut être intelligent et unique mais rentre dans les plus grands clichés des films tels que Martyrs ou Splice, des films d'horreurs malsains et simplement... bizarres.

    En se faisant fourre-tout de sexisme, transsexualité, hérédité et trauma d'enfance mais sans en faite quoique ce soir d'autre que simplement présenter ces éléments, Titane devient risible. Sa fin est d'une évidence terrible et ses divers messages sont faciles, bêtements anonés et profondèment clichés.

    Rien de ce que Cannes n'a vendu n'est là. Un vrai film rebel aurait eu le mérite d'entrer sur le devant de la scène avec des grands sujets d'actualité, mais Titane est un petit film prétentieux qui se veut malin et choquant alors qu'il n'est que facile et gratuit...
    Corine Delpech
    Corine Delpech

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 juillet 2021
    Vu cet après midi ... gore et creux . inintéressant - passez votre chemin, c'est même scandaleux qu'il ait eu la palme d'or . quant au féminisme, cherchez le bien , perso je n'ai rien perçu ...
    cinono1
    cinono1

    301 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2021
    Titane carbure au super. C'est un film relativement cohérent qui provoque souvent la sideration, car son histoire prend des détours surprenants, que ses personnages sont peu aimables, bien qu'attachant. C'est un cocktail dynamitant servi par une mise en scène belle, précise, et parfois virtuose. Ou se télescopent les corps et les matériaux, l'amour et l'horreur, les humains et les monstres, la quête d'identité Je n'avais pas beaucoup apprécié Grave, celui ci m'a souvent époustouflé par son émotion , et son jusqu'en boutiste comme un voyage sans retour. Vincent Lindon, tout en douleur rentré, et en force extérieure, vole un peu la vedette à sa jeune partenaire, Agathe Rousselle.
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