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    Titane
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    piat dominique
    piat dominique

    6 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 juillet 2021
    Cette histoire est absolument atroce, indigeste, sans aucun intérêt, dérangeante, moche, tordue. C'est le film à fuir en ce moment. A éviter absolument. Perte de temps monumentale. Sur une cinquantaine de personnes, 23 sont sorties au fur et à mesure de l'histoire.
    Aurélia R
    Aurélia R

    12 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2021
    Très original ! Ce film a une noirceur esthétique et hypnotique...Agréablement surprise... Titane a de bons atouts, toutefois les personnages ne sont pas assez approfondis... On reste quelque peu en surface !
    Sysy D.
    Sysy D.

    7 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 juillet 2021
    Je n'écrirai pas ce qui me vient immédiatement à l'esprit car je serai très grossière donc censurable par les modérateurs de site.
    Titane : des crimes commis par une tueuse traumatisée qui aime faire l'amour avec des voitures pour mieux tomber enceinte. Elle rencontre un pompier complètement bousillé par la disparition de son fils. Cette rencontre est très bizarre car la fille pour échapper à la police se fait passer pour ledit fils.

    Quoi d'autre ? Des scènes se voulant choc et violentes pour éveiller les consciences cela va de soi. Sauf qu'on se retrouve devant des scènes qui cherchent seulement à choquer le bourgeois et qui n'apportent rien, ne démontrent rien et finissent par tourner au ridicule. N'est pas Lilliana Cavani, David Cronenberg, Stanley Kubrick, William Friedkin, Gaspard Noé etc...qui veut !

    Les messages passés ? Des messages dans l'air du temps : le non-binaire, le transgenre, le 3ème sexe, les amours décalées, les sexualités décalées etc...enfin tout ce qui se fait sur l'inclusive culture mais pareil qui tourne au ridicule.

    La Palme d'or maintenant. Spike Lee a été un cinéaste qui a boosté le cinéma américain dans les 80's et 90's puis il s'est embourgeoisé et endormi sur ses lauriers. Ok son dernier film sur Blackkklanmans est réussi et a été reconnu à sa juste valeur mais c'est devenu classique, pas très innovant ou encore véritablement politique. Donc aux US il est devenu un cinéaste qui n'a pas vraiment su entretenir son capital artistique et politique. Il n'y a qu'en Europe notamment en France qu'on lui a conféré un nouveau statut : l'intellectuel cool, branché et stylisé point de vue mode. Et il adore ça comme statut car les US ne vous donne pas vraiment ce type de statut. Sauf que lorsque vous êtes à ce degré en Europe bien souvent c'est parce qu'aux US vous n'êtes plus dans le mood. Donc la Palme d'or décernée à Titane n'est que le reflet de ce statut.

    Quel dommage ! je pense que Grave valait 1000 fois plus cette Palme. Mais je ne désespère pas je continuerai à suivre le travail de J. Ducournau car je pense qu'elle a sa place parmi les cinéastes français.es.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 196 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 juillet 2021
    En 2017, Julia Ducournau offrait un nouvel élan au cinéma de genre en présentant son film d’épouvante “Grave” dans une multitude de festivals. Quatre ans plus tard, la réalisatrice s’offre la Palme d’Or au Festival de Cannes avec “Titane”. Dans une mise en scène érotico-electro, “Titane” se réfère à Alexia. Victime d’un accident de voiture dans son enfance, les chirurgiens lui ont placé des plaques de métal hautement résistantes à la chaleur et à la corrosion sur le cerveau. Dès lors, elle entretiendra un rapport fusionnel avec les voitures et sa danse sur l’une d’elles, est certainement l’une des plus sulfureuses que nous ayons vues au cinéma. A contrario, son rapport avec l’autre est moins délicat. Equipé d’un pic dans des cheveux, la jeune femme ne réfléchira pas longtemps avant de s’en servir pour tuer, puis sera contrainte de fuir et de se faire passer pour un homme au côté de Vincent Lindon. “Titane” est violent, étrange, gore, nous met mal à l’aise, nous donne parfois des haut-le-cœur et pourtant c’est magnifique.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Fargo Boy
    Fargo Boy

    78 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Film étiqueté « festival de Cannes » : je m'attendais donc à un film pas terrible et je n'ai vraiment pas été déçu! Ça a bien fonctionné !
    Une étoile pour Monsieur Vincent Lindon toujours au top mais que fait-il donc( retard d'impôts) dans ce gloubiboulga obscène, maso,cradosexe et le tout gore à souhait pour maintenir le spectateur vissé à son siège ?
    Redzing
    Redzing

    952 abonnés 4 313 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juillet 2021
    « Titane » démarre sur les chapeaux de roue, offrant rapidement son lot de scènes barrées et/ou dérangeantes. Il serait dès lors criminel (et difficile !) d’en résumer l’intrigue, mêlant meurtres, famille dysfonctionnelle, et fusions de corps et de métal. Le mieux étant de découvrir le film à froid… On peut néanmoins dire que c’est une œuvre audacieuse et imprévisible, qui oscille entre le fantastique, l’horreur (body-horror)… et l’humour noir. Car oui, « Titane » sait alterner les moments perturbants et très violents, avec des touches comiques bien gérées. Mais au-delà de son humour, Julia Ducournau fait preuve d’une réelle maîtrise technique (éclairages néon et photographie nickel, sons par percussions métalliques, maquillages très convaincants, certaines idées visuellement originales…). La réalisatrice parvient ainsi à nous immerger immédiatement dans des univers singuliers et prétendument virils (un salon de tuning, une caserne de pompier…). Et elle nous livre plusieurs scènes particulièrement viscérales et plus ou moins folles, ne cachant pas ses influences : un peu de Carpenter (gros clin d’œil à « Christine »), et beaucoup de Cronenberg, le pape du body horror. Ces moyens techniques et ces idées délirantes -qui ne plairont clairement pas à tous- ne sont pas pour autant gratuits. A travers une narration essentiellement sensorielle et visuelle, « Titane » s’avère riches en diverses thématiques. Le sujet du genre est abordé, à travers bons nombres de clichés sur la féminité et la masculinité, qui sont manipulés pour être souvent détournés, posant la question de l’identité sexuelle. La famille et surtout la filiation sont également au cœur du récit, montrant son importance dans la construction des individus, et leur de capacité à aimer. Pour évoquer ses thèmes, le film s’appuie en outre sur ses deux excellents interprètes principaux. Vincent Lindon, étonnant en pompier vieillissant dopé aux stéroïdes, dont l’allure imposante masque un être écorché et sensible. Et Agathe Rousselle, qui démarre très fort avec son premier long-métrage. L’actrice parvient à incarner une protagoniste détestable au départ, dont on va découvrir la détresse et le besoin d’amour, son visage androgyne renforçant l’aspect dérangeant du personnage. Les jeux subtils de ces comédiens renforcent un récit évoluant en regards et en non-dits. Cela fait plaisir de voir des films, français par-dessus le marché, se lancer ainsi dans le body horror en proposant un contenu osé et profond, sans prendre le spectateur par la main. Cependant, soyez prévenus, certains resteront peut-être sur le carreau, en particulier les âmes sensibles, et ceux qui recherchent plutôt des narrations très explicites et explicatives.
    clamarch
    clamarch

    9 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 juillet 2021
    mais pourquoi, pourquoi me suis-je laissée tenter par une palme d'or dont je sais par habitude qu'elle correspond rarement à mes goûts. Film violent, d'un intérêt nul à mes yeux, scénario invraisemblable. Quelle galère, pire que l'ennui.
    Naughty Dog
    Naughty Dog

    821 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2021
    Après son premier film Grave (qui ne réinventait rien et restait plus sage que ses influences, mais se révélait carré), Ducournau revient avec Titane


    Un ptit coup de boule viscéral où se cotoie l'huile de moteur, le sang et toute sorte de fluide

    Ce qui marque d'entrée de jeu c'est que la réalisatrice est en totale possession de ses moyens, et livre un drame humain plongeant là encore une fois vers le cinéma de genre (Crash de Cronenberg et Christine de Carpenter en sont les 2 plus grosses influences, on retrouve même une séquence du 1er impliquant une voiture).


    D'entrée de jeu le spectateur est présenté à la protagoniste Alexia (Agathe Rousselle qui fait office de vraie révélation), danseuse pour des salons de tuning, et arborant une plaque de métal en titane dans le crâne suite à un accident dans son enfance. Très vite, le métrage va rentrer dans le lard (après une superbe séquence en plan-séquence) à base de meurtres graphiques.

    Là où la première partie (quasi parfaite) enchaine les moments de malaise et bruts de décoffrage (le travail sur le son est tout à fait admirable), Titane se mue ensuite en un autre film. Moins percutant malheureusement, mais plus sensible et touchant au moment où Vincent Lindon débarque (dont la carrure impressionnante laisse in fine transparaitre la sensibilité à fleur de peau du perso).


    S'ensuit donc un drame à la trame et aux enjeux un peu plus balisés, là où la 1e partie se voulait surprenante, violente et insaisissable. Un constat qui ne pèse pas bien lourd heureusement vu les irruptions du body horror et le travail sur les chairs de la réalisatrice.


    Car en fin de compte l'exploit de Titane n'est pas tant dans sa finalité scénaristique, mais sur la propension de Ducournau à emballer des morceaux filmiques qui nous parlent avant tout aux tripes (et ce jusqu'à un final àla portée fantastique purement Cronenbergienne).


    Autre point notable : Titane renverse et bouscule les codes de représentation et de sexe. Sans trop en dire, la métamorphose doit encore une fois à Agathe Rousselle, convoquant à la fois ce qu'il y a de féminin et de purement masculin dans son personnage.


    Enfin, il faut saluer la photographie de Rubens Impens et l'excellente BO de Rone, proposant au total une symbiose parfaite avec le rendu organique de la mise en scène de Ducournau.


    En bref, Titane est un tremplin pour sa réalisatrice,qui certes ne s'affranchit pas encore totalement de ses influences, mais compte désormais comme une des cinéastes de genre les plus intéressantes et frontales qui soient actuellement !
    orlandolove
    orlandolove

    117 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2021
    Son premier long-métrage ("Grave") secouait déjà gentiment le cinéma de genre français. Succès public et critique aidant, Julia Ducournau va plus loin et signe avec "Titane" un deuxième film ambitieux, dérageant et très radical... La palme d'or cannoise valide un possible changement de paradigme dans le cinéma hexagonal. La radicalité de "Titane" ne devra pas faire oublier que le film est parfaitement écrit, très rythmé et superbement mise en scène (cf. par exemple le plan séquence du début, sur fond d'un morceau irrésistible de The Kills). Côté interprétation, si Agathe Rousselle est une sacré révélation, que dire de la performance incroyable de Vincent Lindon...
    Larascasse
    Larascasse

    4 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 juillet 2021
    Film incompréhensible
    D'un ennui total les acteurs ne sont pas bon
    L'histoire n'a aucun sens......
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    229 abonnés 1 599 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2021
    Du cinéma qui ose et qui explose tout : les conventions, la raison, la décence… Et qui réunit de manière unique le féminin et le masculin, l’organique et le métallique. Le premier long-métrage de Julia Ducournau, Grave, était déjà sacrément gonflé et marquant, en revisitant un genre d’horreur cannibale. Ce deuxième va encore plus loin dans son exploration d’un imaginaire monstrueux, dans sa volonté d’aller chercher au fond des viscères et de l’inconscient une violence, une folie et des amours inouïes. Titane est donc plus ambitieux (la Palme d’or reçue est une Palme de l’audace), mais probablement moins accessible en termes de lecture : l’absence de justification ou de logique pour poser des caractères ou développer des comportements lâchera certains spectateurs ; la singularité et la radicalité du scénario en général, entre gore, grotesque et lyrisme, en laisseront d’autres sur le carreau. Titane est probablement aussi moins équilibré et abouti. Grave trouvait sa puissance dans une ligne droite, monothématique, en mode crescendo. Titane développe deux histoires en une, dont l’interaction n’est pas optimale : la première histoire, centrée sur la fusion corps-métal, les désirs troubles et les mutations conséquentes, disparaît un peu trop vite au profit d’une seconde, centrée sur un lien filial assez dingue, avant de revenir sur la fin, puissamment, alors qu’elle ne paraissait plus être un sujet principal. Au demeurant, on vit ce film comme une vraie expérience de cinéma. Inconfortable et déroutante, certes. Mais imprévisible et fascinante. C’est une claque. C’est un mélange de vie glaçant et bouillonnant, une obsession de corps triturés, détestés et aimés. Une sorte de surréalisme horrifique, portée par une réalisation et une interprétation qui n’ont peur de rien.
    evariste75
    evariste75

    115 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Film exceptionnel, mais il faut avoir le cœur bien accroché, certaines scènes sont à la limite du supportable... Formidable métaphore, ôter des vies, puis sauver des vies et enfin donner la vie... ce monde moderne nous "métallise", au propre comme au figuré... les images et la musique sont magnifiques, associer des super tubes à de l'ultra violence est magistral... Le message du film est dans le fond plein d optimisme post chrétien : la louve devient agneau et donne la vie... un chef d œuvre...
    Sylvain P
    Sylvain P

    306 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 juillet 2021
    Titane est-il vraiment un film? On a plutôt l'impression d'une suite de vidéos pseudo-choc programmées pour plaire à une génération Z biberonnée à Netflix et destinées à faire le buzz. Là où l'on s'étonne, c'est de voir que cet objet filmique au propos flou, finalement assez gentillet voire risible, a pu duper le jury du plus grand festival de cinéma du monde.
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    152 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2021
    Alors je suis heureux que Julia Ducournau ait pu obtenir la palme d'or, pour enfin faire bouger les choses avec le cinéma de genre, qui est l'avenir des productions françaises avec un style à la française !
    J'ai été très emballé par le film, mais celui-ci m'a à la fois enjoué et frustré. La réalisation est vraiment impeccable, avec un vrai travail du cadre, des mouvements pour apporter une vrai dynamique à l'image et aux scènes (cf le plan séquence du début, etc). Le travail du chef opérateur est aussi à souligner, vraiment sublime avec une réelle plus value pour appuyer la mise en scène et le jeu des acteurs (les scènes dans la salle de bain, la chambre, etc).
    Vincent Lindon et Agathe Rousselle sont fantastiques dans leur rôle, avec des scènes très difficiles à jouer car ciblé essentiellement sur le corps et la gestuelle.
    Tout est vraiment bien maîtrisé visuellement et à l'image, également au son avec un apport non négligeable des bruitages et sound design qui permet de marquer davantage les scènes abruptes et de violences.
    Ma réelle frustration vient essentiellement du scénario.
    Tous les éléments pour avoir une histoire dingue et puissante sont présents, mais je trouve que tout est assez fouillis et pas assez bien liés les uns aux autres. L'impression que le film soulève 3 thématiques voire plus donnant presque l'impression d'avoir des films différents dans un même film spoiler: (la violence dû au deuil/traumatisme de l'accident, le manque de repère avec l'arc sur la transidentité couplé au personnage de Vincent lui aussi en manque de repère depuis la disparition de son fils, et l'arc sur la transhumanité avec cet univers autour du métal et la métaphore du corps vs mécanique)

    C'est d'ailleurs mon principal problème avec ce scénario, c'est la bascule effectuée entre la première partie spoiler: (l'enchaînement des meurtres en séries)
    qui ressemble à un très bon slasher, puis la seconde partie spoiler: (la prise d'identité d'Adrien)
    , qui me parait pas crédible en tant que telle, vis à vis du père et de la police, mais c'est pas la première fois que les autorités françaises sont pris pour des abrutis dans les films français, suffit de voir Lupin sur Netflix comme dernier exemple flagrant. ^^ Et à partir de là, le film bascule totalement vers une métaphore méta/méca, impliquant principalement spoiler: le développement d'un fétichisme sexuelle avec les voitures (lié à l'accident et la pose de la plaque en titane), l'identité de genre, le regard des autres vis à vis de cela, le jugement, une grossesse non désirée, une relation père-fils recomposée, une opposition entre virilité et genderfluid (avec l'arc autour des pompiers), l'addiction au stéroïde ou substance équivalente, le traumatisme de façon générale, l'amour, la mort
    , bref, une panoplie de thématiques distillés tout au long du film qui sont hyper intéressants, je ne dis pas, mais qui sont tellement éparpillés ici ou là, qu'ils ne sont finalement pas connectés les uns aux autres de façon claire et net, ce qui apporte une grande confusion sur ce qu'il faut en tirer du film au final, avec une scène finale tout aussi sublime qu'étrange et ouverte à tellement d'interprétation mais qui ne fait pas forcément sens avec la totalité des éléments proposés dans le film.
    Il y a aussi une énorme ellipse entre l'accident et l'âge adulte où elle s'est transformée extérieurement et intérieurement, déclic de toute la psychologie du personnage. Mais peu d'éléments concrets nous sont livrés jusqu'à la fin du film pour essayer de comprendre le rouage de sa personnalité et comment elle en est arrivé là, bien que l'on sache le pourquoi.
    L'impression du coup d'avoir vécu un film unique en son genre, basculant tour à tour dans toutes les émotions (parce qu'il y a des scènes drôles et décalées aussi, la scène spoiler: du massage cardiaque avec la macarena, bien qu'elle soit largement inspirée et empruntée à la scène de la série The Office, était surprenante et apportait aussi une autre facette au film),
    sans pour autant avoir la capacité de rassembler clairement tout ce qui nous a été montré et raconté. Au final, l'impression d'avoir vécu une nouvelle belle expérience de cinéma, où on touche du doigt quelque chose de particulier, je ne sait pas trop quoi ni comment l'expliquer, mais qui était vraiment là, qui m'a fait ressentir bien des choses. Peut-être est-ce là la VRAIE nouvelle définition du cinéma de genre :) Inclassable, inexplicable mais qui a le mérite d'exister, de façon unique.
    Et en cela je dis Bravo et Merci Julia Ducournau pour ce moment.
    Casimirismylegend
    Casimirismylegend

    43 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Julia Ducourneau revient avec un film fort, dérangeant, imprégné de d’angoisse et de douleur. La réalisatrice est à l’aise dans les extrêmes, et même si je reconnais son talent, un anti-vomitif peut être nécessaire pour certains…. Ici tout est sensible, violent, brutal. Complaisant? Peut-être mais le message passe… Au même niveau que Grave, selon moi. Les acteurs sont top. Ils donnent tout. Vincent Lindon livre une prestation étonnante.
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