Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Le second long-métrage de Julia Ducournau est un uppercut et un hurlement d’amour. La confirmation d’un talent immense au service d’une humanité blessée et en quête de résilience.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
GQ
par Adam Sanchez
Pour son deuxième long-métrage après Grave, la réalisatrice Julia Ducournau fait preuve d'une assurance et d'un courage absolus dans le cinéma français : la cinéaste n'a peur de rien et travaille le cinéma de genre au corps - à coups de plans-séquences virtuoses et de visions sidérantes et surnaturelles - pour le faire cohabiter avec ses propres obsessions, celles autour de la chair, de la monstruosité et de la révélation de soi.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Mad Movies
par Laurent Duroche
Oeuvre en apparence insaisissable mais qui organise au sein de son chaos fait de chair et d'acier des thématiques passionnantes qui cimentent la réflexion de la cinéaste autour d'une horreur à la fois frontale et très intériorisée, centrée sur le corps et les liens familiaux.
Télérama
par Guillemette Odicino
POUR : Chaque séquence — plusieurs réclament d’avoir le cœur bien accroché — hurle sa foi dans la puissance de la mise en scène, avec une cinéaste qui ose se poser en nouveau démiurge, capable de faire fusionner des matières contraires, métal, cambouis, flammes et larmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Expérience intense, Titane permet de découvrir Agathe Rousselle qui s’impose comme une évidence.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Titane s'apparente à un cinéma expérimental - et forcément marginal - qui repousse les limites de la structure narrative en se concentrant sur une mise en scène millimétrée et hallucinogène.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Renan Cros
Du cinéma mutant qui triture les genres, les corps et les identités. Forcément instable mais toujours passionnant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot et Emmanuel Le Gagne
On pourrait ergoter sur les limites d’une œuvre dont le seul discours est visuel et sensitif, dont le fond n'est jamais verbalisé, mais c’est en réalité ce qui fait sa force.(...) C’est ce retour au primitif, au pulsionnel que Julia Ducournau explore dans ses excès et son absolue liberté. "Titane" n’est pas un film d’horreur mais un objet totalement impur, une anomalie déchirante et hypnotique, confirmation de la naissance d’une grande cinéaste qui accouche d’un monstre magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le gore revisité par le cinéma d’auteur, et dans une romance improbable : voilà Titane, qu’on n’imagine pas ne pas figurer au palmarès du jury présidé par Spike Lee, tant le film est original, singulier, inspiré.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
En mutant du slasher trash au délire fougueux de la body horror et la douceur du drame familial intimiste, Titane surprend et décontenance. Une expérience viscérale singulière qui détruit le male gaze pour mieux explorer l'identité humaine, sublimer les corps et ouvrir les possibles du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Marguerite Baux
Un scénario baroque, voire patchwork, mais une patte bien nette : des corps mutants, une symbolique intense, un humour gore et une beauté visuelle de chaque plan (...).
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Titane démontre la vivacité d’une cinéaste enthousiaste, respectueuse des maîtres et novatrice.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Un film viscéral, puissant, férocement féministe, qu’il convient de découvrir en en sachant le moins possible.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
De l’humour de « Grave », il reste les cendres. « Titane » est le cantique de deux âmes mortes réfugiées dans une caserne de pompiers pour fuir un monde qui ressemble à un clip de Snoop Dogg signé Bernard de la Villardière. Et l’affirmation d’une cinéaste qui vomit le tiède et croit, au-delà de la raison, aux puissances du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Titane n’est évidemment pas le genre d'expérience qui ménage les spectateurs et si certains tournent de l’œil dans les virages, c’est normal. Toutefois ses effets choc ne sont jamais gratuits, au contraire. Ils témoignent de l’évolution intime de l’héroïne, au propre comme au figuré (...).
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Julia Ducournau y apporte ses propres interrogations, en mode trash, sur la féminité, la maternité, le genre, le corps… et même l’amour. Les tabous, eux, ne résistent pas longtemps à la force du titane.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Lindon a du métier, derrière lui un Prix d’interprétation à Cannes en 2015 pour La Loi du marché du Français Stéphane Brizé. Mais Titane révèle surtout un nouveau visage féminin : l’actrice débutante, Agathe Rousselle, absolue révélation.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Julia Ducournau dirige cette folie comme on conduit une autotamponneuse, dans des lueurs de néons à la Gaspard Noé. De justesse, elle évite de basculer dans le grotesque. C’est souvent à deux doigts. Cela s’appelle avoir de la personnalité. Elle est hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un ovni radical et saisissant, qui entretient le trouble jusqu’au vertige.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Julia Ducournau signe un puissant film de genre et transgenre, à l’image claire-obscure comme les flammes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Du sang, du gore, des corps martyrisés, du sexe cru : « Titane » est choc incarné par l’actrice Agathe Rousselle, impressionnante au milieu d’une mise en scène nerveuse, très belle, spectaculaire et parfois drôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Ducournau ne s’interdit rien, et nous embarque dans sa narration coûte que coûte, confirmant, implacable, qu’il faut désormais compter avec son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Avec son deuxième long-métrage, Titane, le commandant Ducournau envoie tout balader, conventions, bon goût, vraisemblance et bienséance, pour dérouler avec furie son film qui ne ressemble à aucun autre — ou plutôt si : à plein d’autres, mais jamais combinés de cette manière.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Six ans après « Grave », Julia Ducournau signe un furieux revenge movie oppressant et radical.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par William Le Personnic
Titane a le mérite de juxtaposer des images inédites, de mélanger des formes organiques, d’allier des matières ou d’associer des idées troublantes sur l’altérité. Comme dans son introduction qui met en image la sortie de route d’une voiture, Titane dérape, s’accidente, mais pour en ressortir renforcé et plus retors.
Première
par Thomas Baurez
Julia Ducournau signe un film riche, puissant, violent, dont la radicalité n’est pas là pour épater la galerie mais bien pour délimiter les contours d’un univers noir comme l’enfer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Mutilations, cannibalisme… Éprouvant, puis émouvant « Titane » de Julia Ducournau. Un film de genre sur le genre. Une histoire d’amour aussi. Exceptionnel Vincent Lindon.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Titane confirme la position singulière qu’occupe Julia Ducournau dans le paysage français, son évidente maîtrise, son goût pour la provocation et les ruptures de ton.
La Septième Obsession
par David Ezan
Titane est lui aussi habité par un puissant désir : celui d’un cinéma qui donne le vertige, infiniment ambitieux, parfois chancelant mais avide de nouveaux modes de narration, en constante réinvention de lui-même. Plus le film avance et plus il déroute, plus il nous soumet à un langage qui n’appartient qu’à son outre-monde.
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Julia Ducournau livre un film hautement singulier, confirme tout son talent, mais déçoit presque inéluctablement, au vu de l’attente suscitée par son Titane.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Une fois le scénario détricoté, on comprend mieux que l’appétence de Ducournau pour différentes marques d’hybridité, notamment corporelles, nourrit avant tout un drôle d’autoportrait.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Plus de questions que de réponses donc, dans un film non sans intérêt dont on retiendra au moins la performance d'Agathe Rousselle qui nous fait souffrir pour elle.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
C'est dans cette seconde partie que « Titane » va s'égarer, comme enivré par sa propre odeur corporelle. Appuyé par une bande-son de cathédrale, chaque plan, chaque idée, paraît vouloir afficher sa grande profondeur et son ambition esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Julien Gester
Le deuxième film de Julia Ducournau, aussi cauchemardesque que bordélique, passe fantasmes dégueus et répulsions désordonnées à l’arbitraire du shaker.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Lorgnant avec ostentation sur le cinéma de Lynch et de Cronenberg (en premier lieu, Crash), le film, dont la présence en compétition interroge, n’arrive pas à la cheville de ses modèles et frappe avant tout par son sens très sûr de l’esbroufe et sa médiocrité.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Transfuge
par Frédéric Mercier
Avec son gore chic et atmosphérique, Titane paraît bien vain et parfois même ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télérama
par Cécile Mury
CONTRE : Dans Grave, Julia Ducournau parvenait à nous déranger en profondeur. Son histoire d’étudiante cannibale faisait sortir de ses gonds la mécanique du film de genre (...). Cette fois, elle le sature, de références cinéphiles en effets de mise en scène paroxystiques, empilant talent et esbroufe, hermétisme et surenchère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
Le second long-métrage de Julia Ducournau est un uppercut et un hurlement d’amour. La confirmation d’un talent immense au service d’une humanité blessée et en quête de résilience.
GQ
Pour son deuxième long-métrage après Grave, la réalisatrice Julia Ducournau fait preuve d'une assurance et d'un courage absolus dans le cinéma français : la cinéaste n'a peur de rien et travaille le cinéma de genre au corps - à coups de plans-séquences virtuoses et de visions sidérantes et surnaturelles - pour le faire cohabiter avec ses propres obsessions, celles autour de la chair, de la monstruosité et de la révélation de soi.
Mad Movies
Oeuvre en apparence insaisissable mais qui organise au sein de son chaos fait de chair et d'acier des thématiques passionnantes qui cimentent la réflexion de la cinéaste autour d'une horreur à la fois frontale et très intériorisée, centrée sur le corps et les liens familiaux.
Télérama
POUR : Chaque séquence — plusieurs réclament d’avoir le cœur bien accroché — hurle sa foi dans la puissance de la mise en scène, avec une cinéaste qui ose se poser en nouveau démiurge, capable de faire fusionner des matières contraires, métal, cambouis, flammes et larmes.
20 Minutes
Expérience intense, Titane permet de découvrir Agathe Rousselle qui s’impose comme une évidence.
CNews
Titane s'apparente à un cinéma expérimental - et forcément marginal - qui repousse les limites de la structure narrative en se concentrant sur une mise en scène millimétrée et hallucinogène.
CinemaTeaser
Du cinéma mutant qui triture les genres, les corps et les identités. Forcément instable mais toujours passionnant.
Culturopoing.com
On pourrait ergoter sur les limites d’une œuvre dont le seul discours est visuel et sensitif, dont le fond n'est jamais verbalisé, mais c’est en réalité ce qui fait sa force.(...) C’est ce retour au primitif, au pulsionnel que Julia Ducournau explore dans ses excès et son absolue liberté. "Titane" n’est pas un film d’horreur mais un objet totalement impur, une anomalie déchirante et hypnotique, confirmation de la naissance d’une grande cinéaste qui accouche d’un monstre magnifique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le gore revisité par le cinéma d’auteur, et dans une romance improbable : voilà Titane, qu’on n’imagine pas ne pas figurer au palmarès du jury présidé par Spike Lee, tant le film est original, singulier, inspiré.
Ecran Large
En mutant du slasher trash au délire fougueux de la body horror et la douceur du drame familial intimiste, Titane surprend et décontenance. Une expérience viscérale singulière qui détruit le male gaze pour mieux explorer l'identité humaine, sublimer les corps et ouvrir les possibles du cinéma.
Elle
Un scénario baroque, voire patchwork, mais une patte bien nette : des corps mutants, une symbolique intense, un humour gore et une beauté visuelle de chaque plan (...).
Franceinfo Culture
Titane démontre la vivacité d’une cinéaste enthousiaste, respectueuse des maîtres et novatrice.
L'Humanité
Un film viscéral, puissant, férocement féministe, qu’il convient de découvrir en en sachant le moins possible.
L'Obs
De l’humour de « Grave », il reste les cendres. « Titane » est le cantique de deux âmes mortes réfugiées dans une caserne de pompiers pour fuir un monde qui ressemble à un clip de Snoop Dogg signé Bernard de la Villardière. Et l’affirmation d’une cinéaste qui vomit le tiède et croit, au-delà de la raison, aux puissances du cinéma.
LCI
Titane n’est évidemment pas le genre d'expérience qui ménage les spectateurs et si certains tournent de l’œil dans les virages, c’est normal. Toutefois ses effets choc ne sont jamais gratuits, au contraire. Ils témoignent de l’évolution intime de l’héroïne, au propre comme au figuré (...).
La Voix du Nord
Julia Ducournau y apporte ses propres interrogations, en mode trash, sur la féminité, la maternité, le genre, le corps… et même l’amour. Les tabous, eux, ne résistent pas longtemps à la force du titane.
Le Dauphiné Libéré
Lindon a du métier, derrière lui un Prix d’interprétation à Cannes en 2015 pour La Loi du marché du Français Stéphane Brizé. Mais Titane révèle surtout un nouveau visage féminin : l’actrice débutante, Agathe Rousselle, absolue révélation.
Le Figaro
Julia Ducournau dirige cette folie comme on conduit une autotamponneuse, dans des lueurs de néons à la Gaspard Noé. De justesse, elle évite de basculer dans le grotesque. C’est souvent à deux doigts. Cela s’appelle avoir de la personnalité. Elle est hors du commun.
Le Journal du Dimanche
Un ovni radical et saisissant, qui entretient le trouble jusqu’au vertige.
Le Monde
Julia Ducournau signe un puissant film de genre et transgenre, à l’image claire-obscure comme les flammes.
Le Parisien
Du sang, du gore, des corps martyrisés, du sexe cru : « Titane » est choc incarné par l’actrice Agathe Rousselle, impressionnante au milieu d’une mise en scène nerveuse, très belle, spectaculaire et parfois drôle.
Le Point
Ducournau ne s’interdit rien, et nous embarque dans sa narration coûte que coûte, confirmant, implacable, qu’il faut désormais compter avec son cinéma.
Les Inrockuptibles
Avec son deuxième long-métrage, Titane, le commandant Ducournau envoie tout balader, conventions, bon goût, vraisemblance et bienséance, pour dérouler avec furie son film qui ne ressemble à aucun autre — ou plutôt si : à plein d’autres, mais jamais combinés de cette manière.
Paris Match
Six ans après « Grave », Julia Ducournau signe un furieux revenge movie oppressant et radical.
Positif
Titane a le mérite de juxtaposer des images inédites, de mélanger des formes organiques, d’allier des matières ou d’associer des idées troublantes sur l’altérité. Comme dans son introduction qui met en image la sortie de route d’une voiture, Titane dérape, s’accidente, mais pour en ressortir renforcé et plus retors.
Première
Julia Ducournau signe un film riche, puissant, violent, dont la radicalité n’est pas là pour épater la galerie mais bien pour délimiter les contours d’un univers noir comme l’enfer.
Sud Ouest
Mutilations, cannibalisme… Éprouvant, puis émouvant « Titane » de Julia Ducournau. Un film de genre sur le genre. Une histoire d’amour aussi. Exceptionnel Vincent Lindon.
Cahiers du Cinéma
Titane confirme la position singulière qu’occupe Julia Ducournau dans le paysage français, son évidente maîtrise, son goût pour la provocation et les ruptures de ton.
La Septième Obsession
Titane est lui aussi habité par un puissant désir : celui d’un cinéma qui donne le vertige, infiniment ambitieux, parfois chancelant mais avide de nouveaux modes de narration, en constante réinvention de lui-même. Plus le film avance et plus il déroute, plus il nous soumet à un langage qui n’appartient qu’à son outre-monde.
aVoir-aLire.com
Julia Ducournau livre un film hautement singulier, confirme tout son talent, mais déçoit presque inéluctablement, au vu de l’attente suscitée par son Titane.
Critikat.com
Une fois le scénario détricoté, on comprend mieux que l’appétence de Ducournau pour différentes marques d’hybridité, notamment corporelles, nourrit avant tout un drôle d’autoportrait.
L'Ecran Fantastique
Plus de questions que de réponses donc, dans un film non sans intérêt dont on retiendra au moins la performance d'Agathe Rousselle qui nous fait souffrir pour elle.
Les Echos
C'est dans cette seconde partie que « Titane » va s'égarer, comme enivré par sa propre odeur corporelle. Appuyé par une bande-son de cathédrale, chaque plan, chaque idée, paraît vouloir afficher sa grande profondeur et son ambition esthétique.
Libération
Le deuxième film de Julia Ducournau, aussi cauchemardesque que bordélique, passe fantasmes dégueus et répulsions désordonnées à l’arbitraire du shaker.
Marianne
Lorgnant avec ostentation sur le cinéma de Lynch et de Cronenberg (en premier lieu, Crash), le film, dont la présence en compétition interroge, n’arrive pas à la cheville de ses modèles et frappe avant tout par son sens très sûr de l’esbroufe et sa médiocrité.
Transfuge
Avec son gore chic et atmosphérique, Titane paraît bien vain et parfois même ridicule.
Télérama
CONTRE : Dans Grave, Julia Ducournau parvenait à nous déranger en profondeur. Son histoire d’étudiante cannibale faisait sortir de ses gonds la mécanique du film de genre (...). Cette fois, elle le sature, de références cinéphiles en effets de mise en scène paroxystiques, empilant talent et esbroufe, hermétisme et surenchère.