Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On salue ici la formidable performance de Damien Bonnard (Les Misérables) en mari rongé par sa pathologie, et de Leïla Bekhti (Le Grand Bain) en épouse exténuée qui sombre irrémédiablement dans une spirale sans espoir. Très fort.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
Un portrait de famille, un film d’amour, une plongée dans l’univers d’un peintre tourmenté mais sans aucun cliché.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film d'amour et d'angoisse avec deux acteurs merveilleux.
Positif
par Ariane Allard
Le fait est que Les Intranquilles donne le sentiment d’aimer ses personnages. Un élan rare dans l’œuvre de Joachim Lafosse, d’autant plus remarquable qu’il ne fragilise pas son récit mais le renforce, au contraire.
Télé Loisirs
par Émilie Leoni
Plus qu'un drame puissant, c'est une histoire bouleversante qui nous est contée, celle d'un amour tourmenté, vibrant, éclatant, autant que celle d'une exceptionnelle résilience.
Télérama
par Marie Sauvion
Imprévisible, fiévreux ou abattu, Damien Bonnard excelle en homme luttant pour ne pas se dissoudre dans le lithium, et Leïla Bekhti, constamment sur le qui-vive, bouleverse en victime collatérale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un film déchirant, entre violence et tendresse.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Le film bénéficie des interprétations magistrales de Damien Bonnard et Leïla Bekhti.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Les couples dans tous leurs états, c’est la spécialité de Joachim Lafosse. Les Intranquilles, en compétition à Festival de Cannes et présenté à Angoulême, prend brillamment la suite de L'économie du couple (2016) et A perdre la raison (2012).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Un film bouleversant, entre enquête et plongée dans les fragilités humaines, qui impactent un couple et une famille.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Joachim Lafosse dissèque les relations conjugales dans le drame Les intranquilles et s’interroge sur l’amour et ses failles. Un film tout en nuances [...].
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Les Intranquilles envisage sans pathos la bipolarité et sa complexité (l’intrication de symptômes maniaques et dépressifs), se plaçant au cœur intime d’un couple joué par Leïla Bekhti et Damien Bonnard.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Mais le scénario se faufile sur un autre chemin intéressant, qui est celui de la création : l’humeur expansive, l’euphorie exaltée et l’agitation sont d’étonnants ressorts.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une chronique qui agit telle une déflagration, grâce à une mise en scène à la fois frontale et pudique et l'interprétation exceptionnelle de Damien Bonnard et Leïla Bekhti, dont l'alchimie crève l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Un film brutal et beau, porté par une interprétation déchirante de Leïla Bekhti et Damien Bonnard.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Puisant dans son histoire personnelle, Joachim Lafosse signe un drame rigoureux et d’une grande sobriété, servi par deux magnifiques interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Le film, sans atteindre le niveau des meilleures fictions de Lafosse, frappe par sa sensibilité à vif, par l’inspiration de sa mise en scène et par les prestations irréprochables de ses deux comédiens principaux : Damien Bonnard et Leïla Bekhti.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un drame impressionnant de maitrise, porté par l’instinctive Leila Bekthi mais surtout par l’incroyable composition de Damien Bonnard, vertigineuse de précision.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Les Intranquilles vous terrasse d’émotion(s) précisément car il ne sacrifie à aucune facilité larmoyante. Parce qu’on le vit en immersion dans la tête de Damien, dépassé par ce qu’il vit comme et dans celle de Leïla, refusant d’abandonner le navire malgré les tempêtes successives.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Plus qu’une observation clinique du trouble bipolaire, une réflexion sur l’engagement amoureux. Attendez-vous à être secoués.
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
S'il échappe à l'oeuvre-dossier ou au témoignage fictionnel, c'est qu'en dépit d'une performance d'acteur terrifiante - mais admirable – le personnage de l'artiste n'est pas l'avatar des monstres dévorants et encombrants des films antérieurs de Lafosse. C'est l'attention accordée à égalité aux deux éléments du tandem initial qui permet au film d'échapper aux redites et d'arpenter des terrains moins balisés.
L'Obs
par Sophie Grassin
Auteur de « l’Economie du couple », Joachim Lafosse, lui-même fils de bipolaire, signe un film organique sur l’amour et ses limites, au scénario trop répétitif. Mais l’intensité avec laquelle Leïla Bekhti et, plus encore, Damien Bonnard servent leurs personnages, l’osmose entre eux, sont belles à voir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par La Rédaction
Le cinéaste confronte l’instabilité à l’amour indéfectible qui unit le triangle familial, hissé à des sommets de subtilité de jeu par une Leïla Bekhti admirable et un Damien Bonnard simplement magistral.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
S'appuyant sur un duo d'acteurs au sommet de leur art, le cinéaste s'abandonne à une observation rapprochée de ses personnages.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Le récit opère en sous-main de réelles déflagrations, qui tiennent autant au jeu dément de Damien Bonnard qu’à certains motifs récurrents de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Le film est étrangement inoffensif, comme s’il s’était préalablement surarmé contre le risque d’être un tant soit peu gagné par la déraison qu’il aborde un peu avec la froide pondération du psychiatre qui en a vu d’autres.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un film rigoureux et poignant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Hugo Mattias
Collé à ses acteurs, le film ne trouve jamais sa propre respiration et s’applique à respecter un cahier des charges des plus balisés.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Etienne Sorin
Malgré la force de l’incarnation de Damien Bonnard et Leïla Bekhti, la maladie, le syndrome comme le sujet, est plus forte que les personnages. Elle dévore tout. L’amour, la famille, l’existence, même dans ses moments d’insouciance. Et aussi juste que soit sa description, Les Intranquilles ne parvient pas à transcender le cas clinique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
La Voix du Nord
On salue ici la formidable performance de Damien Bonnard (Les Misérables) en mari rongé par sa pathologie, et de Leïla Bekhti (Le Grand Bain) en épouse exténuée qui sombre irrémédiablement dans une spirale sans espoir. Très fort.
Le Parisien
Un portrait de famille, un film d’amour, une plongée dans l’univers d’un peintre tourmenté mais sans aucun cliché.
Ouest France
Un film d'amour et d'angoisse avec deux acteurs merveilleux.
Positif
Le fait est que Les Intranquilles donne le sentiment d’aimer ses personnages. Un élan rare dans l’œuvre de Joachim Lafosse, d’autant plus remarquable qu’il ne fragilise pas son récit mais le renforce, au contraire.
Télé Loisirs
Plus qu'un drame puissant, c'est une histoire bouleversante qui nous est contée, celle d'un amour tourmenté, vibrant, éclatant, autant que celle d'une exceptionnelle résilience.
Télérama
Imprévisible, fiévreux ou abattu, Damien Bonnard excelle en homme luttant pour ne pas se dissoudre dans le lithium, et Leïla Bekhti, constamment sur le qui-vive, bouleverse en victime collatérale.
Voici
Un film déchirant, entre violence et tendresse.
aVoir-aLire.com
Le film bénéficie des interprétations magistrales de Damien Bonnard et Leïla Bekhti.
20 Minutes
Les couples dans tous leurs états, c’est la spécialité de Joachim Lafosse. Les Intranquilles, en compétition à Festival de Cannes et présenté à Angoulême, prend brillamment la suite de L'économie du couple (2016) et A perdre la raison (2012).
Bande à part
Un film bouleversant, entre enquête et plongée dans les fragilités humaines, qui impactent un couple et une famille.
CNews
Joachim Lafosse dissèque les relations conjugales dans le drame Les intranquilles et s’interroge sur l’amour et ses failles. Un film tout en nuances [...].
Dernières Nouvelles d'Alsace
Les Intranquilles envisage sans pathos la bipolarité et sa complexité (l’intrication de symptômes maniaques et dépressifs), se plaçant au cœur intime d’un couple joué par Leïla Bekhti et Damien Bonnard.
Le Dauphiné Libéré
Mais le scénario se faufile sur un autre chemin intéressant, qui est celui de la création : l’humeur expansive, l’euphorie exaltée et l’agitation sont d’étonnants ressorts.
Le Journal du Dimanche
Une chronique qui agit telle une déflagration, grâce à une mise en scène à la fois frontale et pudique et l'interprétation exceptionnelle de Damien Bonnard et Leïla Bekhti, dont l'alchimie crève l'écran.
Les Echos
Un film brutal et beau, porté par une interprétation déchirante de Leïla Bekhti et Damien Bonnard.
Les Fiches du Cinéma
Puisant dans son histoire personnelle, Joachim Lafosse signe un drame rigoureux et d’une grande sobriété, servi par deux magnifiques interprètes.
Marianne
Le film, sans atteindre le niveau des meilleures fictions de Lafosse, frappe par sa sensibilité à vif, par l’inspiration de sa mise en scène et par les prestations irréprochables de ses deux comédiens principaux : Damien Bonnard et Leïla Bekhti.
Paris Match
Un drame impressionnant de maitrise, porté par l’instinctive Leila Bekthi mais surtout par l’incroyable composition de Damien Bonnard, vertigineuse de précision.
Première
Les Intranquilles vous terrasse d’émotion(s) précisément car il ne sacrifie à aucune facilité larmoyante. Parce qu’on le vit en immersion dans la tête de Damien, dépassé par ce qu’il vit comme et dans celle de Leïla, refusant d’abandonner le navire malgré les tempêtes successives.
Télé 7 Jours
Plus qu’une observation clinique du trouble bipolaire, une réflexion sur l’engagement amoureux. Attendez-vous à être secoués.
Cahiers du Cinéma
S'il échappe à l'oeuvre-dossier ou au témoignage fictionnel, c'est qu'en dépit d'une performance d'acteur terrifiante - mais admirable – le personnage de l'artiste n'est pas l'avatar des monstres dévorants et encombrants des films antérieurs de Lafosse. C'est l'attention accordée à égalité aux deux éléments du tandem initial qui permet au film d'échapper aux redites et d'arpenter des terrains moins balisés.
L'Obs
Auteur de « l’Economie du couple », Joachim Lafosse, lui-même fils de bipolaire, signe un film organique sur l’amour et ses limites, au scénario trop répétitif. Mais l’intensité avec laquelle Leïla Bekhti et, plus encore, Damien Bonnard servent leurs personnages, l’osmose entre eux, sont belles à voir.
La Septième Obsession
Le cinéaste confronte l’instabilité à l’amour indéfectible qui unit le triangle familial, hissé à des sommets de subtilité de jeu par une Leïla Bekhti admirable et un Damien Bonnard simplement magistral.
Le Monde
S'appuyant sur un duo d'acteurs au sommet de leur art, le cinéaste s'abandonne à une observation rapprochée de ses personnages.
Les Inrockuptibles
Le récit opère en sous-main de réelles déflagrations, qui tiennent autant au jeu dément de Damien Bonnard qu’à certains motifs récurrents de mise en scène.
Libération
Le film est étrangement inoffensif, comme s’il s’était préalablement surarmé contre le risque d’être un tant soit peu gagné par la déraison qu’il aborde un peu avec la froide pondération du psychiatre qui en a vu d’autres.
Sud Ouest
Un film rigoureux et poignant.
Critikat.com
Collé à ses acteurs, le film ne trouve jamais sa propre respiration et s’applique à respecter un cahier des charges des plus balisés.
Le Figaro
Malgré la force de l’incarnation de Damien Bonnard et Leïla Bekhti, la maladie, le syndrome comme le sujet, est plus forte que les personnages. Elle dévore tout. L’amour, la famille, l’existence, même dans ses moments d’insouciance. Et aussi juste que soit sa description, Les Intranquilles ne parvient pas à transcender le cas clinique.