Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Bande à part
par Hélène Robert
Huitième film de fiction jamais produit au Soudan, "Tu mourras à 20 ans" invite le spectateur à redéfinir la poreuse frontière entre la vie et la mort.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Antoine Le Fur
[...] "Tu mourras à 20 ans" séduit par son hybridité et sa beauté plastique. Un bel ovni cinématographique totalement stimulant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par François Forestier
Le cinéma africain, récemment révélé avec « Timbuktu » et « Mon nom est Tsotsi », est en train de surgir. Par exemple, le Nigeria, aujourd’hui, produit plus de films que Hollywood (2 000 titres par an, 150 millions de spectateurs). « Tu mourras à 20 ans », une Nouvelle Vague ? Un vrai coup de cœur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un premier long-métrage fort, beau et riche sur la confiscation d’un avenir et l’instrumentalisation des croyances.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec des acteurs et une mise en scène magnifiques de tenue et d’éclat, [le film] s’arroge le pouvoir de nous embarquer dans une tout autre façon de sentir le monde et d’appréhender la vie.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film beau comme une élégie antique, doublé d’un hymne vibrant à la liberté d’être.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Traversé par de belles séquences qui semblent viser la matérialité du songe, le film d’Abu Alala fait retentir haut le désir d’émancipation d’un peuple cerné par les interdits religieux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yann Tobin
Les acteurs [...] donnent corps, avec réalisme et conviction, à un conte philosophique dont le dénouement parvient à déjouer toutes les attentes.
Transfuge
par Louise Dumas
Tu mourras à vingt ans, premier long-métrage soudanais de fiction depuis plus de deux décennies, propose une envoûtante fable initiatique et politique.
Télérama
par Louis Guichard
Obscurantisme contre liberté : un premier film stupéfiant de profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Timbuktu + La Belle au bois dormant = Tu mourras à 20 ans.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film rare, intense et d’un courage inouï, qui ose défier la pensée conformiste de toute une société.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
S’il reste très allusif, le parti que le film prend pour l’émancipation et la raison ne l’empêche pas de garder un regard bienveillant sur les oiseaux de malheur religieux, et c’est cette justesse à la Chahine que l’on retient finalement.
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Très fort dans ce qu'il raconte, "Tu mourras à 20 ans" pêche un peu plus dans sa forme, inégale. Il n'en reste pas moins un film profond, saisissant et touchant, à découvrir.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Céline Rouden
Dans ce joli film d’un réalisateur soudanais, le jeune héros vit avec le poids d’une malédiction qui l’empêche de s’émanciper. Une métaphore de l’état d’un pays engourdi par trente ans de dictature.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Murielle Joudet
Fable politique, film de zombie, chronique sociale, tragédie : le film parvient à faire coexister toutes ces strates de récit en les enserrant dans une mise en scène élégante et maîtrisée.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Le film se noie un peu dans la contemplation de ses idées formelles. Un premier long [tout de même] impressionnant de maturité malgré quelques coquetteries esthétiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Remarquablement écrit (un personnage de marginal, conscience du héros, vient notamment aérer le récit) et mis en scène, le film dénonce de façon feutrée le poids des traditions qui pèse sur le quotidien des populations rurales. Une révélation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par La Rédaction
Si la mise en scène de ce premier long-métrage est maîtrisée, sa narration est un peu confuse et malhabile.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
Huitième film de fiction jamais produit au Soudan, "Tu mourras à 20 ans" invite le spectateur à redéfinir la poreuse frontière entre la vie et la mort.
L'Express
[...] "Tu mourras à 20 ans" séduit par son hybridité et sa beauté plastique. Un bel ovni cinématographique totalement stimulant.
L'Obs
Le cinéma africain, récemment révélé avec « Timbuktu » et « Mon nom est Tsotsi », est en train de surgir. Par exemple, le Nigeria, aujourd’hui, produit plus de films que Hollywood (2 000 titres par an, 150 millions de spectateurs). « Tu mourras à 20 ans », une Nouvelle Vague ? Un vrai coup de cœur.
La Voix du Nord
Un premier long-métrage fort, beau et riche sur la confiscation d’un avenir et l’instrumentalisation des croyances.
Le Journal du Dimanche
Avec des acteurs et une mise en scène magnifiques de tenue et d’éclat, [le film] s’arroge le pouvoir de nous embarquer dans une tout autre façon de sentir le monde et d’appréhender la vie.
Les Fiches du Cinéma
Un film beau comme une élégie antique, doublé d’un hymne vibrant à la liberté d’être.
Libération
Traversé par de belles séquences qui semblent viser la matérialité du songe, le film d’Abu Alala fait retentir haut le désir d’émancipation d’un peuple cerné par les interdits religieux.
Positif
Les acteurs [...] donnent corps, avec réalisme et conviction, à un conte philosophique dont le dénouement parvient à déjouer toutes les attentes.
Transfuge
Tu mourras à vingt ans, premier long-métrage soudanais de fiction depuis plus de deux décennies, propose une envoûtante fable initiatique et politique.
Télérama
Obscurantisme contre liberté : un premier film stupéfiant de profondeur.
Voici
Timbuktu + La Belle au bois dormant = Tu mourras à 20 ans.
aVoir-aLire.com
Un film rare, intense et d’un courage inouï, qui ose défier la pensée conformiste de toute une société.
Cahiers du Cinéma
S’il reste très allusif, le parti que le film prend pour l’émancipation et la raison ne l’empêche pas de garder un regard bienveillant sur les oiseaux de malheur religieux, et c’est cette justesse à la Chahine que l’on retient finalement.
Ecran Large
Très fort dans ce qu'il raconte, "Tu mourras à 20 ans" pêche un peu plus dans sa forme, inégale. Il n'en reste pas moins un film profond, saisissant et touchant, à découvrir.
La Croix
Dans ce joli film d’un réalisateur soudanais, le jeune héros vit avec le poids d’une malédiction qui l’empêche de s’émanciper. Une métaphore de l’état d’un pays engourdi par trente ans de dictature.
Le Monde
Fable politique, film de zombie, chronique sociale, tragédie : le film parvient à faire coexister toutes ces strates de récit en les enserrant dans une mise en scène élégante et maîtrisée.
Les Inrockuptibles
Le film se noie un peu dans la contemplation de ses idées formelles. Un premier long [tout de même] impressionnant de maturité malgré quelques coquetteries esthétiques.
Première
Remarquablement écrit (un personnage de marginal, conscience du héros, vient notamment aérer le récit) et mis en scène, le film dénonce de façon feutrée le poids des traditions qui pèse sur le quotidien des populations rurales. Une révélation.
Le Figaro
Si la mise en scène de ce premier long-métrage est maîtrisée, sa narration est un peu confuse et malhabile.