Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Une petite merveille de vengeance, à découvrir absolument.
L'Express
par Antoine Le Fur
Une oeuvre inoubliable.
Transfuge
par Frédéric Mercier
[...] en s’attaquant à la mémoire même de son peuple, Bustamante a enfin trouvé sa voix de cinéaste : une voix sarcastique et lugubre, mélange étonnant de froide colère et de lyrisme incandescent.
Télérama
par Guillemette Odicino
D’une intensité rare.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Entre récit historique et drame fantastique, La Llorona déroule les derniers jours au sein de sa famille d’un dictateur sanguinaire. Fascinant et dérangeant à la fois.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Jayro Bustamante continue de révéler les plaies de son pays, avec ce conte oùl’intrusion du fantastique est por-teuse d’un puissant message poli-tique.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Dans La Llorona, le genre est un moyen pour amener le film ailleurs, pour le confronter à d’autres genres et à d’autres règles. Ici, celles du film politique.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Très prenant !
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Jayro Bustamante réussit cette alliance entre fantastique et politique. Il atteint ce qu’il nomme le "réalisme magique, qui est très présent dans les pays d’Amérique latine" : édifiant et envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michèle Leviieux
Jayro Bustamante évoque ses terreurs d’enfance liées à guerre civile qui a ravagé le Guatemala. Il rend visible un génocide effacé de l’histoire officielle. Et réaffirme sa volonté de créer dans son pays une industrie du 7e art viable.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
La force du film, c’est cette lente montée de la folie, la présence constante d’une justice immanente et la mise en scène très maîtrisée. Bienvenue à un nouveau genre : le cinéma politico-fantastique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
C’est comme une doublure de ténèbres, profonde, immémoriale, qui remue sous les apparences quotidiennes. Entre le politique et le légendaire, le film pénètre jusqu’à la moelle l’injustice des puissants et l’inconscient d’un peuple.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
[Une] mise en scène, à la fois élégante et percutante, [qui] dénonce la corruption, l’impunité, la superstition. Tout en installant le malaise et la peur lors de scènes glaçantes qui imprègnent durablement la rétine.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une mise en scène très stylisée – lumière fortement contrastée, pâleur funèbre des personnages sur fond d’obscurité, décors tirés au cordeau, raideur mortuaire des rituels domestiques – y prépare le lent dérèglement domestique que procure un passé qui ne passe pas.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Évoquant Saura, ou encore Buñuel, dans ce très sartrien huis clos, Bustamante associe en virtuose le bonheur esthétique à l’intelligence politique et humaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Jouant sur le fantastique, le cinéaste déploie une œuvre politique, hantée par le chagrin des uns, le remords des autres et le déni de ce patriarche devenu pitoyable. Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
CinemaTeaser
par Constantin Lacombe
La Llorona baigne dans une ambiance oppressante particulièrement réussie.
L'Ecran Fantastique
par Maryline Sandra
Instructif et passionnant.
La Croix
par Céline Rouden
Si l’idée de mêler l’actualité récente de son pays avec les légendes les plus anciennes du continent est ici brillamment traitée – l’eau qui ruisselle, les cris d’enfants inexpliqués, le spectre de la dame blanche errant la nuit – on aurait aimé que le film entretienne davantage l’ambiguïté sur la réalité de ce personnage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
La Llorona vient hanter un ancien général septuagénaire et ex-président du Guatemala, reclus chez lui à l'issue de son procès. Le mélange est audacieux, mais fonctionne bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Chèze
Bustamante raconte le retour dans son antre d’un homme qui va se retrouver peu à peu hanté par son passé. Et sa belle idée est de convoquer les codes d’un cinéma fantastique dépouillé de tout effet spécial ainsi que la légende de la Llorona pour raconter cet isolement grandissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Victor Touzé
Devant cette mise en scène, on assiste à une sorte de « colonisation de l’imaginaire » guatémaltèque par un autre, issu du cinéma occidental.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Jérôme D’estais
Si "La Llorona" convainc par sa sobriété et l’élégance de sa mise en scène, on pleure néanmoins devant le grand film qui, spectre paralysé par la peur de son créateur de s’abandonner aux excès liés au genre, refuse finalement d’apparaître.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le vernis glacé qui recouvre le film, les longs silences, le constant surlignage symbolique alourdissent l’exercice, dont la charge horrifique ne réveille pas d’un léger ennui.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
[...] le spectateur, qui n’a guère d’empathie pour les personnages vivants, se dit qu’il aurait mieux fait de se taper un doc télé sur le conflit civil au Guatemala [...].
Positif
par Fabien Baumann
Cinématographiquement, le résultat déçoit et nous prive, par facilité fantastique, de la description progressive d’une humaine prise de conscience.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Malheureusement, à la fois amorphe sur la représentation de l’épouvante et uniquement voué à la formulation d’un discours, c'est au contraire toute la raideur et l'inopérance de son cinéma qui sont, plus que jamais, exhibées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Elle
Une petite merveille de vengeance, à découvrir absolument.
L'Express
Une oeuvre inoubliable.
Transfuge
[...] en s’attaquant à la mémoire même de son peuple, Bustamante a enfin trouvé sa voix de cinéaste : une voix sarcastique et lugubre, mélange étonnant de froide colère et de lyrisme incandescent.
Télérama
D’une intensité rare.
aVoir-aLire.com
Entre récit historique et drame fantastique, La Llorona déroule les derniers jours au sein de sa famille d’un dictateur sanguinaire. Fascinant et dérangeant à la fois.
20 Minutes
Jayro Bustamante continue de révéler les plaies de son pays, avec ce conte oùl’intrusion du fantastique est por-teuse d’un puissant message poli-tique.
Cahiers du Cinéma
Dans La Llorona, le genre est un moyen pour amener le film ailleurs, pour le confronter à d’autres genres et à d’autres règles. Ici, celles du film politique.
Femme Actuelle
Très prenant !
Franceinfo Culture
Jayro Bustamante réussit cette alliance entre fantastique et politique. Il atteint ce qu’il nomme le "réalisme magique, qui est très présent dans les pays d’Amérique latine" : édifiant et envoûtant.
L'Humanité
Jayro Bustamante évoque ses terreurs d’enfance liées à guerre civile qui a ravagé le Guatemala. Il rend visible un génocide effacé de l’histoire officielle. Et réaffirme sa volonté de créer dans son pays une industrie du 7e art viable.
L'Obs
La force du film, c’est cette lente montée de la folie, la présence constante d’une justice immanente et la mise en scène très maîtrisée. Bienvenue à un nouveau genre : le cinéma politico-fantastique.
Le Figaro
C’est comme une doublure de ténèbres, profonde, immémoriale, qui remue sous les apparences quotidiennes. Entre le politique et le légendaire, le film pénètre jusqu’à la moelle l’injustice des puissants et l’inconscient d’un peuple.
Le Journal du Dimanche
[Une] mise en scène, à la fois élégante et percutante, [qui] dénonce la corruption, l’impunité, la superstition. Tout en installant le malaise et la peur lors de scènes glaçantes qui imprègnent durablement la rétine.
Le Monde
Une mise en scène très stylisée – lumière fortement contrastée, pâleur funèbre des personnages sur fond d’obscurité, décors tirés au cordeau, raideur mortuaire des rituels domestiques – y prépare le lent dérèglement domestique que procure un passé qui ne passe pas.
Les Fiches du Cinéma
Évoquant Saura, ou encore Buñuel, dans ce très sartrien huis clos, Bustamante associe en virtuose le bonheur esthétique à l’intelligence politique et humaine.
Sud Ouest
Jouant sur le fantastique, le cinéaste déploie une œuvre politique, hantée par le chagrin des uns, le remords des autres et le déni de ce patriarche devenu pitoyable. Magnifique.
CinemaTeaser
La Llorona baigne dans une ambiance oppressante particulièrement réussie.
L'Ecran Fantastique
Instructif et passionnant.
La Croix
Si l’idée de mêler l’actualité récente de son pays avec les légendes les plus anciennes du continent est ici brillamment traitée – l’eau qui ruisselle, les cris d’enfants inexpliqués, le spectre de la dame blanche errant la nuit – on aurait aimé que le film entretienne davantage l’ambiguïté sur la réalité de ce personnage.
Le Parisien
La Llorona vient hanter un ancien général septuagénaire et ex-président du Guatemala, reclus chez lui à l'issue de son procès. Le mélange est audacieux, mais fonctionne bien.
Première
Bustamante raconte le retour dans son antre d’un homme qui va se retrouver peu à peu hanté par son passé. Et sa belle idée est de convoquer les codes d’un cinéma fantastique dépouillé de tout effet spécial ainsi que la légende de la Llorona pour raconter cet isolement grandissant.
Critikat.com
Devant cette mise en scène, on assiste à une sorte de « colonisation de l’imaginaire » guatémaltèque par un autre, issu du cinéma occidental.
La Septième Obsession
Si "La Llorona" convainc par sa sobriété et l’élégance de sa mise en scène, on pleure néanmoins devant le grand film qui, spectre paralysé par la peur de son créateur de s’abandonner aux excès liés au genre, refuse finalement d’apparaître.
Libération
Le vernis glacé qui recouvre le film, les longs silences, le constant surlignage symbolique alourdissent l’exercice, dont la charge horrifique ne réveille pas d’un léger ennui.
Mad Movies
[...] le spectateur, qui n’a guère d’empathie pour les personnages vivants, se dit qu’il aurait mieux fait de se taper un doc télé sur le conflit civil au Guatemala [...].
Positif
Cinématographiquement, le résultat déçoit et nous prive, par facilité fantastique, de la description progressive d’une humaine prise de conscience.
Les Inrockuptibles
Malheureusement, à la fois amorphe sur la représentation de l’épouvante et uniquement voué à la formulation d’un discours, c'est au contraire toute la raideur et l'inopérance de son cinéma qui sont, plus que jamais, exhibées.