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Le Tarino
20 critiques
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5,0
Publiée le 8 octobre 2023
Ce film, que dis-je, cette saga a du cœur. Elle est dans la lignée de Rocky avec l’adaptation de l’époque actuelle. L’histoire d’Adonis que ce soit dans le ring et en dehors est juste géniale. Petit plus encore dans la réalisation et la mise en scène des combats. Rien de plus à ajouter. Merci Michael B.
Il ne reste plus grand chose de Rocky là-dedans si ce n’est le même appât du gain qui pousse á continuer. Michael B. Jordan n’a pas le charisme de Stallone et même son personnage ne dégage rien.
L ami d enfance ressorti de derrière les fagots...bon facile le scenar... mais au delà de ça, un vrai travail est fait pour emmener l arrivée du Damian. Ensuite tous les ingrédients des Creed-Rocky sont présents et le résultat est pas mal. ça passe bien la soirée. Les combats sont bien filmés.
Un ton en dessous des précédents opus. On sent venir la rivalité et l'envie de revanche dès le début, mais la relation entre les deux amis d'enfance est bien interprétée et la predictible confrontation entre les deux protagonistes n'est pas dérangeante. Ce qui m'a le plus déplu, c'est le déroulement des matchs qui m'a paru bâclé. Par exemple, contre Chavez, Damian lui met un coup de coude qui lui fait saigner la paumette, il le tape plusieurs fois au bras gauche. On se dit qu'il suit une stratégie et qu'elle va finir par faire la différence. En réalité, pas du tout, il le met au tapis à la régulière. C'était donc juste pour nous montrer qu'il ne respecte pas les règles... pareil contre Adonis, son coach lui dit que Damian a étudié ses points faibles et qu'il va tenter des coups bas et sera prêt à tout pour gagner. Mais finalement, le match se déroule plutôt régulièrement et Damian ne semble tirer exploiter aucun point faible d'Adonis... bref, alors que les matchs de boxe doivent être l'attraction principale du film, c'est ce qui m'a le plus déçu.
C’est lourd à voir mais le problème c’est que ça manque cruellement de réalisme car on nous montre des personnages qui gravissent et dégringolent des échelons dans le monde de la boxe en un rien de temps. Inconcevable et irréaliste. Néanmoins les musiques, les images, les effets spéciaux, les interprétations ou encore les combats sont top. A voir même sans avoir vu les précédents volets. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 3/5
Aprés le 2... le 3 ! L'ami d'enfance qui revient de nulle part et réclame son dû ! La qualité du film est bonne, Stalone cette fois a disparu des radars. Plaisant a voir, indispensable a l'héritage des années 80 ? non
Très semblable au 2ème dans sa construction. Sans imagination. Émotionnellement plat et même les sessions d'entrainement et combat sonnent le déjà vu. Je n'ai pas vu l'intérêt de ce nouvel opus.
Le film est bon mais quand même moins bien que les précédents. Le combat final est bien réalisé mais beaucoup trop court alors qu'il aurait dû être le clou du spectacle. Le scénario est intéressant et renvoie sur le passé du héros. Bon casting d'ensemble.
Creed 3, c'est comme un tourbillon d'émotions et d'adrénaline qui vous catapulte dans l'arène. Les combats sont une véritable symphonie visuelle, et les personnages s'épanouissent avec une profondeur remarquable. Même si le film n'atteint pas la perfection à tous égards, ses imperfections deviennent insignifiantes face à sa qualité globale éblouissante. On pourrait reprocher au film de nous laisser en quête de plus lors du dernier round de boxe, mais il reste une suite exemplaire qui brille de mille feux.
Encore un qui a pris le melon .... MJ se prend pour Stallone! Mais pour cela, en plus du talent, il faut un peu plus de cœur que de sens du business. Et ça MJ ne l'as pas du tout... de plus il n'a pas compris le mécanisme d'un "Rocky". Enfin, exit de Stallone : le scénario veut nous faire croire que la mort d'un proche ne ferait pas apparaître Rocky???!!! On nous prend pour des jambons!
Creed III est un plutôt un bon film et une bonne conclusion (du moins j'espère que c'en est une) de cette trilogie spin-off de Rocky. Le film restera tout de même un peu moins marquant que les 2 précédents malgré un antagoniste plus réussi et incarné un Jonathan Majors particulièrement charismatique. Le principal défaut de ce film vient du fait que la dualité entre les deux boxeurs sonne faux. Et c'est un peu problématique dans une saga qui est réputée pour être à rallonge (6 films Rocky dont au moins 2 où Rocky était déjà vieillissant) mais qui a toujours plus ou moins su justifier le retour sur le ring de son personnage principal. Ici, alors que Creed a raccroché les gants depuis un moment et qu'il n'a aucune raison de retourner boxer, son retour sur le ring semble forcé (il lui était totalement inutile dans l'intrigue de régler son conflit avec Anderson par les poings). Malgré cette ficelle scénaristique un peu grossière, le film est tout de même convaincant. Les combats de boxe sont extrêmement percutants et on ressent les coups. Les acteurs sont au top et les personnages qu'ils incarnent attachants. Creed III ne fait pas partie des meilleurs films de la saga Rocky, mais pas non plus des plus mauvais (on est loin de l'ultra-kitsch Rocky IV).
Curieux film que ce Creed 3 qui flirte avec Rocky 3 (pour la brute qui défie le champion) et Rocky 5 (pour le coach qui reprend le combat pour se venger) et qui ne vaut que pour le combat final, original.
La plongée dans la primovie d’Adonis manque de cœur et d’épaisseur. Le challenger Damian, ombre du passé d’Adonis, se présente comme la bête d’Adonis et qu’il a dompté par la boxe dans les 2 premiers opus. Un retour incarné de cette bête, de cette rage, apparaît artificiel. Même spoiler: le décès de la mère d’Adonis n’est pas si émouvant et ne sert pas le récit . L’acteur qui joue Damian est convaincant, mais ce challenger est un homme seul, sans ami. Il est difficile de prendre fait et cause pour lui. De ce point de vue, le challenger de Creed 2 (le Russe) était nettement plus attachant. De fait, il est difficile de s’intéresser à ce Damian et donc à son combat.
Le premier combat sérieux qui introduit d’ailleurs Damian contre le poulain d’Adonis (Félix) dans le monde de la boxe, est la mise en scène de cet artifice: un champion du monde (Félix) de 75-80kg contre un inconnu sorti de prison d’au moins 95kg. Peu crédible. Ensuite les incohérences scénaristiques: quand la manipulation de Damian est découverte, pourquoi n’est-elle pas dénoncée?? Il fait une Tonya Harding sans être inquiété? Enfin les grosses ficelles: les personnages du film font d’Adonis un vieux, usé après 3 ans de retraite (assez peu crédible) alors que son challenger est plus vieux et a fait 18 ans de prison… « Creed a été champion, mais il n’est pas du tout le favoris » explique un présentateur. Sérieusement?
Seul le combat final tient les promesses du film. 20 bonnes minutes sur un film qui en compte 120.
Débarrassé des cabotinages boiteux d'un Rocky Balboa en plein radotage, ce troisième volet s'annonçait débridé! La promesse n'est pourtant qu'à moitié tenue. Il faut dire qu'il succède à un excellent "Creed II" au niveau duquel il peine à se hisser, malgré un Jonathan Majors assez impressionnant! La faute à un scénario un peu ronflant, malgré un beau potentiel et, comme souvent, un souci de vraisemblance dans l'enchainement des évènements. Une belle idée en pilote automatique et des ressorts dramatiques mal exploités ne permettront malheureusement pas à ce volet de surpasser ses prédécesseurs. Un divertissement tout à fait valable, cela étant!
Qu'est ce qu'on souffle devant un scénario aussi prévisible. Combien de fois ai-je roulé des yeux. L'origin story : cliché . Le combat organisé de dam : cramé à des kilomètres. La trahison de dam : cramé. La mort de la madre : cramé. Le dialogue sur les origines : cramé. Le combat revanche qui n'a NI QUEUE NI TÊTE en tant que dénouement : cramé. On veut voir de la boxe romancée, mais on regarde un disney avec une pointe de noble art. Trop de binarité dans les conflits également. C'est très dommage, le film reste encore et cependant bien réalisé, bien mis en scène (encore que). Il est temps pour cette franchise de faire ces adieux et de réfléchir à un autre axe central que celui d'adonis creed, qui manque cruellement de charisme sans son tonton Rocky.