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Un film édifiant à plus d’un titre. Le réalisateur Diako Yazdani est lui toujours réfugié politique en France. Il a tourné ce documentaire malgré la désapprobation de sa famille.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ne se contentant pas de composer un portrait, le cinéaste accompagne et protège amicalement Kojin, il partage les risques qu’il prend à chaque coming out ou excès de maquillage, il l’aide à s’assumer, à s’épanouir. Le film devient ainsi le lieu, fragile et éphémère, où il peut enfin s’essayer à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Entre indignation et effarement, le constat est sans appel, et le film, tourné à la sauvette, non dépourvu d’humour : il faut voir le réalisateur défiler dans le cortège parisien de la Gay Pride avec une pancarte « Maman, je ne suis pas comme eux », écrit en arabe. Pour rassurer ses parents !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Fort heureusement, quelques échappées salutaires tirent le spectacle hors de cette dialectique pour le moins stérile. C’est la personnalité touchante de Kojin, garçon pour le moins intrépide qui met sa vie en jeu pour se sortir de l’enfer de l’exclusion que les siens lui réservent.
Il ne fait pas bon être gay au Kurdistan irakien. Diako Yazdani filme Kojin, un jeune homme incroyablement courageux, rencontrant divers interlocuteurs pour parler d’homosexualité. C’est drôle, effrayant, terrible, et passionnant de bout en bout.
Chaque dialogue arraché à ses interlocuteurs (sa famille, un imam ayant foi en sa « guérison »...) devient, par-delà le geste de rejet et d’incompréhension, un grand moment de surréalisme. L’arme utilisée par Kojin et Yazdani pour lutter contre la haine irrationnelle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
Un film édifiant à plus d’un titre. Le réalisateur Diako Yazdani est lui toujours réfugié politique en France. Il a tourné ce documentaire malgré la désapprobation de sa famille.
Le Journal du Dimanche
Dans ce document rare, le courage et la fraternité dessinent une forme d’espoir envers et contre tous.
Le Parisien
Un documentaire émouvant (...).
Les Inrockuptibles
Le film ouvre son spectre de nuances pour recueillir des voix magnifiquement dissonantes [...] sous l’œil bienveillant de la caméra. Poignant.
Libération
Ne se contentant pas de composer un portrait, le cinéaste accompagne et protège amicalement Kojin, il partage les risques qu’il prend à chaque coming out ou excès de maquillage, il l’aide à s’assumer, à s’épanouir. Le film devient ainsi le lieu, fragile et éphémère, où il peut enfin s’essayer à la liberté.
Positif
On peut hésiter à trop vite qualifier un film de "courageux", mais pas ici.
L'Express
Tout en cultivant une certaine légèreté, ce documentaire a le mérite de se confronter à une réalité glaçante.
L'Obs
Entre indignation et effarement, le constat est sans appel, et le film, tourné à la sauvette, non dépourvu d’humour : il faut voir le réalisateur défiler dans le cortège parisien de la Gay Pride avec une pancarte « Maman, je ne suis pas comme eux », écrit en arabe. Pour rassurer ses parents !
Le Monde
Fort heureusement, quelques échappées salutaires tirent le spectacle hors de cette dialectique pour le moins stérile. C’est la personnalité touchante de Kojin, garçon pour le moins intrépide qui met sa vie en jeu pour se sortir de l’enfer de l’exclusion que les siens lui réservent.
Les Fiches du Cinéma
Il ne fait pas bon être gay au Kurdistan irakien. Diako Yazdani filme Kojin, un jeune homme incroyablement courageux, rencontrant divers interlocuteurs pour parler d’homosexualité. C’est drôle, effrayant, terrible, et passionnant de bout en bout.
Première
Chaque dialogue arraché à ses interlocuteurs (sa famille, un imam ayant foi en sa « guérison »...) devient, par-delà le geste de rejet et d’incompréhension, un grand moment de surréalisme. L’arme utilisée par Kojin et Yazdani pour lutter contre la haine irrationnelle.
Télérama
Le documentaire met au jour le poids écrasant de la religion dans un rapport honteux et très peu éclairé à la sexualité.