Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Filmsactu
par Veronica Sawyer
Série B salissante et décomplexée entre horreur et comédie, ce teen "body swap" movie revisite le slasher de manière cool, généreuse et festive.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Parisien
par La Rédaction
Le talent du réalisateur, Christopher Landon, déjà auteur, dans le même registre, des deux « Happy Birthdead », permet d’alterner entre fous rires et frissons, sans jamais virer à la pochade caricaturale.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
Foncièrement généreux dans le gore, "Freaky" s'avère un peu moins percutant dans le traitement narratif de son gimmick.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Des dialogues soignés et des scènes gore inventives suffisent à élever le film au rang d’amusant tour de manège.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Christopher Landon se repose sur le concept éculé du body swap, mais en fait un film attachant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Raphaël Iggui
Un peu trop sage et trop classique, Freaky souffre d'un manque de moyens et de son ciblage marketing sur les adolescents, tout en proposant un petit ride sanglant et volontiers drôle, notamment grâce à un discours malin et un casting qui prend son pied. Fin le pied de l'autre. Bref qui s'amuse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Bref, un film qui dose gore et humour potache. Ça ne tient pas toujours la route, mais son mauvais esprit est agréablement régressif.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Philippe Rouyer
Le mélange des genres donne un résultat mi-chair mi-poisson : si l’on peut trouver un certain plaisir à la comédie et à ses enjeux, la dimension horreur est beaucoup trop convenue pour réjouir les amateurs.
Première
par François Léger
Et tant pis si le film n’a pas grand-chose de plus à raconter : Freaky assume à 100 % sont statut divertissement. Sur ce point, c’est une franche réussite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Aussi saignant que jouissif, ce teen movie revisite le Freaky Friday de Gary Nelson, avec un humour horrifique à la Scream.
Télérama
par Frédéric Strauss
Sympathique, cette comédie joue avec l’horreur et le mélange des genres masculin et féminin, en évitant le trop scabreux…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Si le film s’autorise quelques effets de montage plus trash, on regrette que sa verve comique demeure finalement bien timorée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un spectacle inventif, festif, décomplexé et généreux qui fourmille de références et offre un contre-emploi savoureux à Vince Vaughn, crédible en psychopathe.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
C’est léger (trop) jusque dans son écriture et moyennement rythmé. Mais les acteurs s’amusent...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Teen horror beaucoup trop conscient de soi (passé l’ouverture réussie de carnage gore), le second degré oscille entre douce parodie et folie dure. On assiste à l’un de ces films gentils ayant pour unique principe l’inversion : de filiation, d’âge, de sexe, de personnalité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Filmsactu
Série B salissante et décomplexée entre horreur et comédie, ce teen "body swap" movie revisite le slasher de manière cool, généreuse et festive.
Le Parisien
Le talent du réalisateur, Christopher Landon, déjà auteur, dans le même registre, des deux « Happy Birthdead », permet d’alterner entre fous rires et frissons, sans jamais virer à la pochade caricaturale.
Mad Movies
Foncièrement généreux dans le gore, "Freaky" s'avère un peu moins percutant dans le traitement narratif de son gimmick.
Cahiers du Cinéma
Des dialogues soignés et des scènes gore inventives suffisent à élever le film au rang d’amusant tour de manège.
CinemaTeaser
Christopher Landon se repose sur le concept éculé du body swap, mais en fait un film attachant.
Ecran Large
Un peu trop sage et trop classique, Freaky souffre d'un manque de moyens et de son ciblage marketing sur les adolescents, tout en proposant un petit ride sanglant et volontiers drôle, notamment grâce à un discours malin et un casting qui prend son pied. Fin le pied de l'autre. Bref qui s'amuse.
L'Obs
Bref, un film qui dose gore et humour potache. Ça ne tient pas toujours la route, mais son mauvais esprit est agréablement régressif.
Positif
Le mélange des genres donne un résultat mi-chair mi-poisson : si l’on peut trouver un certain plaisir à la comédie et à ses enjeux, la dimension horreur est beaucoup trop convenue pour réjouir les amateurs.
Première
Et tant pis si le film n’a pas grand-chose de plus à raconter : Freaky assume à 100 % sont statut divertissement. Sur ce point, c’est une franche réussite.
Télé 7 Jours
Aussi saignant que jouissif, ce teen movie revisite le Freaky Friday de Gary Nelson, avec un humour horrifique à la Scream.
Télérama
Sympathique, cette comédie joue avec l’horreur et le mélange des genres masculin et féminin, en évitant le trop scabreux…
Critikat.com
Si le film s’autorise quelques effets de montage plus trash, on regrette que sa verve comique demeure finalement bien timorée.
Le Journal du Dimanche
Un spectacle inventif, festif, décomplexé et généreux qui fourmille de références et offre un contre-emploi savoureux à Vince Vaughn, crédible en psychopathe.
Les Fiches du Cinéma
C’est léger (trop) jusque dans son écriture et moyennement rythmé. Mais les acteurs s’amusent...
Libération
Teen horror beaucoup trop conscient de soi (passé l’ouverture réussie de carnage gore), le second degré oscille entre douce parodie et folie dure. On assiste à l’un de ces films gentils ayant pour unique principe l’inversion : de filiation, d’âge, de sexe, de personnalité.