AlloCiné
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Votre avis sur The Dig ?
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The Dig est un film qui m'a positivement surpris mêlant une photographie sublime, une très belle musique, des acteurs qui sont parfait et un côté historique tant sur la 2nd guerre mondiale que sur les cultures anciennent qui sublime le tout, c'est un peu moins de 2h de pur plaisir, je recommande
Yetcha
Une histoire historique et qui met en lumière le travail des archéologues amateurs qui aident le monde de la recherche académique et se heurtent bien trop souvent à des réticences administratives et des bâtons dans les roues. Romancé, cette histoire a mis au jour des artéfacts clé dans l'histoire de la Grande-Bretagne. Original et bien réalisé.
Clémentine K.
Une grande réussite. Le film est intéressant, instructif et met en scène de grands acteurs. La photographie est sublime et donne au film toute son atmosphère particulière.
Il y a tellement de bonnes choses dans ce film qui a une si belle histoire. Les acteurs sont excellents et tous ont donnait de grandes performances en particulier Lily James et Ralph Fiennes. Il ne s'agit pas seulement de fouilles archéologiques mais aussi de vies passées, de vies présentes et de la façon dont on se souvient des choses dans le futur. Il y a aussi plusieurs aspects des relations entre tous les acteurs y compris les relations de travail, les relations familiales, les relations de classe et les relations secrètes. Je ne sais pas dans quelle mesure l'histoire est une fiction ou un fait mais elle est bien racontée dans les deux sens. Tout cela avec pour toile de fond la Seconde Guerre mondiale qui approche. J'ai la chance d'avoir vu les trésors de Sutton Hoo au British Museum et j'ai toujours été très intéressée par l'archéologie c'est pourquoi ce film basé sur l'histoire vraie de cette découverte était tout à fait dans mes cordes...
film simple et efficace comme on aime les voir ,sans musique déchirant les dialogues qui les rende d'ailleurs inaudibles ,une belle histoire dont peu de gens connaissent l'existence ,du bon cinéma comme je 'aime !!!
De belles images tournées au centre de décors naturels, une superbe demeure anglaise entourée de vastes plaines ,tel la savane ,ou au milieu de tout cela ,trône un trésor enfouis, un immense bateau dans lequel une histoire vas se tisser durant deux heures sans le.moindre accros, sans le.moindre ennnuie, une histoire captivante de personnages atypiques dont les cœurs, sont plus ou moins meurtries, ou les espoirs s'avèrent incertain comme cette guerre qui arrive .
un très beau film qui mérite bien ses 4,5 !
un très beau film qui mérite bien ses 4,5 !
Je viens tout juste de le voir, à peine 3 minutes, que j'en suis encore pantois, les larmes qui coulent encore. Il m'est impossible de ne pas écrire concernant ce film Un chef-d'oeuvre qui vous prend aux-tripes, au coeur et tout le reste. 20/20
Très beau film sur cette époque troublée avec des acteurs bien choisis. Le sujet est génial. Beaucoup d'humanité.
Bien fait mais mou et lent..dommage ,du coup juste moyen malgré de beaux décors une belle image et des acteurs justes
Un excellent film avec une atmosphère so british si particulière (et qui rappelle parfois le merveilleux film de James Ivory Les vestiges du jour) Mise en scène parfaite et une interprétation magistrale et toute en finesse de Ralph Fiennes et Cary Mulligan. Et une leçon essentielle : c'est du passé que nous apprenons notre présent et notre futur.
À la veille de la Seconde Guerre mondiale, une richissime et jeune veuve, passionnée d’archéologie, embauche un archéologue autodidacte pour sonder de mystérieux monticules situés sur sa propriété. Le travail et la pugnacité de ce dernier vont permettre la découverte du site funéraire de Sutton Hoo.
Le film est l’adaptation du roman du même nom de John Preston. L’auteur du roman est le neveu de Peggy Piggott, qui fut l’une des personnes impliquées dans les fouilles.
L’histoire d'Edith Pretty et de Basil Brown , bien qu’il y ait plusieurs différences d’avec la réalité (à commencer par le couple Pretty/Brown car Edith Pretty était âgée de 56 ans et avait donc 5 ans de plus que Basil Brown) est fidèle dans l’ensemble au déroulement de cette ”extraordinaire” aventure et le film donne un résultat plus que convenable.
Les décors, les costumes, l’interprétation de tous les comédiens rendent le spectacle, lequel en plus est intéressant à connaître sur le plan historique, fort agréable à suivre.
Le film est l’adaptation du roman du même nom de John Preston. L’auteur du roman est le neveu de Peggy Piggott, qui fut l’une des personnes impliquées dans les fouilles.
L’histoire d'Edith Pretty et de Basil Brown , bien qu’il y ait plusieurs différences d’avec la réalité (à commencer par le couple Pretty/Brown car Edith Pretty était âgée de 56 ans et avait donc 5 ans de plus que Basil Brown) est fidèle dans l’ensemble au déroulement de cette ”extraordinaire” aventure et le film donne un résultat plus que convenable.
Les décors, les costumes, l’interprétation de tous les comédiens rendent le spectacle, lequel en plus est intéressant à connaître sur le plan historique, fort agréable à suivre.
Cinememories
Simon Stone est une main, guidée par les intérêts d’une plateforme qui ne cherche pas plus qu’à déterrer quelques clics supplémentaires. Cependant, le réalisateur australien prend soin de placer méticuleusement son sarcophage doré dans l’antre de l’espérance, là où ne nous l’attendions évidemment pas. Etant donné l’estampille « histoire vraie », il n’y avait qu’à surfer sur l’occasion de rendre cette ballade à terre battue plus crédible et plus émouvante. Le film semble alors trouver un bon équilibre sur le concept fondamental des témoins du temps et du temps lui-même, témoin de l’Homme. Cette adaptation du roman éponyme de John Preston trouve ainsi une sublimation, certes inégale dans l’ensemble, mais qui réconforte dès lors que l’on confronte la galerie de personnage à cette découverte des plus remarquable et des plus mélodramatique.
L’archéologie s’illustre non plus avec des fouets et autres surprises à coup de tombeau piégé. Ici, nous sommes bien armés de sentiments et de bonnes intentions, malgré la convoitise qui rôde autour du site de Sutton Hoo. Le tertre funéraire appelle ainsi à la clarté et l’espérance de vie des protagonistes, à commencer par la veuve et mère Edith Pretty (Carey Mulligan). Nous pouvions déjà le sentir dès les premiers plans, qui empruntent au contemplatif, sans sa forme la plus classique, pour ne pas dire académique. Mais ce serait la même erreur de jugement que de se contenter de cette strate, alors que d’autres merveilles viendront justifier cet accompagnement solennel et touchant. Cette femme est bel et bien torturée par ce qui lui restera après sa disparition. Et ce tombeau s’articule avec précision autour de l’éternel souvenir des défunts. D’une certaine manière, elle finit par gagner à ce jeu dans le temps, où elle entre en symbiose avec ce vestige du VIIe siècle. C’est à la fois un miroir tragique et une réalité qu’il convient d’entretenir et de partager avec le plus de monde possible.
Seule face à la crise, elle trouvera tout de même du soutien en la personne de Basil Brown (Ralph Fiennes), l’astronome et archéologue réhabilité dans le temps. Il ne constitue pas une roue de secours des plus efficace, mais possède tout de même suffisamment de flair, afin de croiser la science et l’éthique. Au fur et à mesure que l’on creuse un peu plus vers la vérité, de nouveaux personnages viennent se greffer au projet et à cette ambition, qui mesure avant tout leur sensibilité. Chacun donne de son intimité afin de renvoyer toute une énergie valorisante pour une fouille des plus prometteuse. Fouler ses terres impures conduit donc des hommes, venus d’ailleurs. Toutefois, notons que la résistance de la bourgeoise Pretty l’emporte constamment, malgré les cicatrices qu’elle porte à visage découvert. Tout passe par un jeu de regard perçant, qui n’aboutissent pas toujours ou qui se cantonne à une approche classique et prévisible de la chose. Le cas de Peggy Preston (Lily James) le justifie, de même que pour le mari Stuart Piggott (Ben Chaplin).
Ce n’est donc pas une question d’interprétation, mais encore de narration, qui s’éparpille sans doute un peu trop dans l’espoir de varier les goûts, les mauvaises romances et surtout de pointer la spontanéité, qui restera assez loin des esprits. « The Dig » soulignera néanmoins l’effort de verser de la poésie et du frisson sur cette richesse, qui ne s’estime pas uniquement à la valeur marchande ou patrimoniale d’un tombeau. L’œuvre prône une délicatesse aux vertus thérapeutiques, en complicité avec un destin des plus bouleversant, à l’aube d’une révolte mondiale.
L’archéologie s’illustre non plus avec des fouets et autres surprises à coup de tombeau piégé. Ici, nous sommes bien armés de sentiments et de bonnes intentions, malgré la convoitise qui rôde autour du site de Sutton Hoo. Le tertre funéraire appelle ainsi à la clarté et l’espérance de vie des protagonistes, à commencer par la veuve et mère Edith Pretty (Carey Mulligan). Nous pouvions déjà le sentir dès les premiers plans, qui empruntent au contemplatif, sans sa forme la plus classique, pour ne pas dire académique. Mais ce serait la même erreur de jugement que de se contenter de cette strate, alors que d’autres merveilles viendront justifier cet accompagnement solennel et touchant. Cette femme est bel et bien torturée par ce qui lui restera après sa disparition. Et ce tombeau s’articule avec précision autour de l’éternel souvenir des défunts. D’une certaine manière, elle finit par gagner à ce jeu dans le temps, où elle entre en symbiose avec ce vestige du VIIe siècle. C’est à la fois un miroir tragique et une réalité qu’il convient d’entretenir et de partager avec le plus de monde possible.
Seule face à la crise, elle trouvera tout de même du soutien en la personne de Basil Brown (Ralph Fiennes), l’astronome et archéologue réhabilité dans le temps. Il ne constitue pas une roue de secours des plus efficace, mais possède tout de même suffisamment de flair, afin de croiser la science et l’éthique. Au fur et à mesure que l’on creuse un peu plus vers la vérité, de nouveaux personnages viennent se greffer au projet et à cette ambition, qui mesure avant tout leur sensibilité. Chacun donne de son intimité afin de renvoyer toute une énergie valorisante pour une fouille des plus prometteuse. Fouler ses terres impures conduit donc des hommes, venus d’ailleurs. Toutefois, notons que la résistance de la bourgeoise Pretty l’emporte constamment, malgré les cicatrices qu’elle porte à visage découvert. Tout passe par un jeu de regard perçant, qui n’aboutissent pas toujours ou qui se cantonne à une approche classique et prévisible de la chose. Le cas de Peggy Preston (Lily James) le justifie, de même que pour le mari Stuart Piggott (Ben Chaplin).
Ce n’est donc pas une question d’interprétation, mais encore de narration, qui s’éparpille sans doute un peu trop dans l’espoir de varier les goûts, les mauvaises romances et surtout de pointer la spontanéité, qui restera assez loin des esprits. « The Dig » soulignera néanmoins l’effort de verser de la poésie et du frisson sur cette richesse, qui ne s’estime pas uniquement à la valeur marchande ou patrimoniale d’un tombeau. L’œuvre prône une délicatesse aux vertus thérapeutiques, en complicité avec un destin des plus bouleversant, à l’aube d’une révolte mondiale.
Très beau film, une belle retransciption de ce qu'est la vie et de ce qu'était la vie à cette époque. Les personnages sont attachants et la photographie est très belle. Rien à redire, j'ai adoré.
Dans un somptueux décor de l'Angleterre rurale d'avant-guerre, on assiste à l'exhumation de vestiges ancestraux. On n'y déterre pas seulement les trésors enfouis mais également les sentiments oubliés entre les principaux personnages.
Un réel moment de douceur, de poésie et de tragédie.
Une métaphore du temps qui passe, de notre existence ...
Belle surprise que cette production Netflix, inspirée d'une histoire vraie !
Un réel moment de douceur, de poésie et de tragédie.
Une métaphore du temps qui passe, de notre existence ...
Belle surprise que cette production Netflix, inspirée d'une histoire vraie !
Excellente adaptation du roman éponyme de Preston. Une fois encore les grandes institutions qui n'hésitent nullement à s'approprier les découvertes d'autrui surtout si la personne est autodidacte ce qui ne l'empêche pas de faire un travail aussi bon sinon meilleur que bien des diplômés. Si l'action est un peu lente , les émotions à fleur de peau sont perceptible avec toute la délicatesse de la bourgeoisie britannique . Formidable page d'histoire que nous fait partager le réalisateur.
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