Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Ouest France
par Thierry Cheze
La violence sourde et oppressante laisse sa place à une oeuvre plus enveloppante mais non moins captivante.
Bande à part
par Hava Sarfati
L’art de Yaron Shani consiste à exacerber les frontières pour mieux les abolir.
Elle
par Françoise Delbecq
En flic déboussolé par une enquête interne, Eran Naim est parfait. Quant à Stav Almagor, elle est bouleversante dans la peau d’une femme en plein conflit intérieur.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le mode opératoire et l’interprétation placent ce diptyque dans la droite ligne d’un Maurice Pialat. Une étude de mœurs, certes, mais dont les tenants et aboutissants flirteraient avec une métaphysique du couple.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un impressionnant drame intimiste.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec ce diptyque [...], l'Israélien Yaron Shani explore le versant masculin et féminin d'une rupture. Un procédé qui se révèle subtil pour traduire la complexité des sentiments.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Jouant ainsi avec la déformation, esthétique et narrative (le vrai et le faux), Yaron Shani propose un autre regard sur le couple, cette énigme.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Le film expose alors, à travers de longues séquences peu chargées narrativement mais qui bouillonnent de l’intérieur, la complexité des rapports humains, la fabrique de ses monstres [...] Fresque éprouvante, radioscopie à vif des écorchures humaines, "Chained" et "Beloved" forment un double film en crise (identitaire, familiale, sociétale).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Ophir Levy
Le cinéaste israélien semble en effet particulièrement habité par ce sens aigu du tragique qui se caractérise par une grande clairvoyance à l’endroit de la fatalité, mêlée au plus parfait aveuglement quant au rôle exact que chacun s’apprête à jouer dans la série d’événements funestes que ses pressentiments convertissent en destin.
Première
par Thomas Baurez
Avec le diptyque "Chained/ Beloved" autour d’un couple en crise, l’israélien Yaron Shani signe un drame intime passionnant où les points de vue se répondent pour mieux rendre compte de la complexité des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
On a rarement fait plus dense et plus sensible que cette exploration au couteau d’un couple, de ce qui le porte, de ce qui le brise.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Le travail de longue haleine mené avec les actrices non professionnelles donne du relief à des personnages qui tentent de composer avec leurs failles.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un film lucide et passionnant, même si les quelques errements du scénario rendent ce second volet moins percutant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
L’intérêt du projet de Yaron Shani est de faire sauter allègrement les barrières entre fiction et documentaire en partant de situations ou d’émotions, vécues par les acteurs eux-mêmes, nous donnant le sentiment d’entrer dans l’intimité d’un vrai couple avec tout ce que cela peut avoir d’impudique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Al.C.
Lorsque deux personnages qui paraissaient très secondaires - deux sœurs dont le père est devenu un légume dans un EPHAD - prennent le dessus, le propos du diptyque prend tout son sens, au risque d’en faire un peu trop et de nous déprimer pour de bon.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Il y a du Asghar Farhadi dans ce cinéma exigeant mais profondément tourné vers l’humain. Deux films durs mais d’une infinie tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Mathilde Blottière
Moins fort que Chained, le film s’attarde de façon un peu naïve sur la découverte de la sororité et de ses bienfaits. Sa deuxième partie touche davantage : Yaron Shani s’éloigne des clichés sur la douceur et la bienveillance féminines pour creuser des ambiguïtés et des traumatismes restés sous le tapis.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une chronique troublante, inconfortable et même parfois éprouvante.
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Alors que Rashi occupe presque toutes les scènes de Chained, Avigail n’est pas forcément le personnage principal de Beloved, et aurait gagné à s’exprimer encore davantage. En la faisant entrer dans un cercle féminin (...) Yaron Shani signe un film lumineux, là où son premier opus était mortifère.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par Renaud Baronian
Hélas, le réalisateur ne va pas au bout de son idée, et lâche Avigail pour s'intéresser à d'autres personnages féminins, brouillant ainsi les cartes et son message, et perdant le spectateur en route. Dommage…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
La violence sourde et oppressante laisse sa place à une oeuvre plus enveloppante mais non moins captivante.
Bande à part
L’art de Yaron Shani consiste à exacerber les frontières pour mieux les abolir.
Elle
En flic déboussolé par une enquête interne, Eran Naim est parfait. Quant à Stav Almagor, elle est bouleversante dans la peau d’une femme en plein conflit intérieur.
Franceinfo Culture
Le mode opératoire et l’interprétation placent ce diptyque dans la droite ligne d’un Maurice Pialat. Une étude de mœurs, certes, mais dont les tenants et aboutissants flirteraient avec une métaphysique du couple.
La Voix du Nord
Un impressionnant drame intimiste.
Le Figaro
Avec ce diptyque [...], l'Israélien Yaron Shani explore le versant masculin et féminin d'une rupture. Un procédé qui se révèle subtil pour traduire la complexité des sentiments.
Le Monde
Jouant ainsi avec la déformation, esthétique et narrative (le vrai et le faux), Yaron Shani propose un autre regard sur le couple, cette énigme.
Les Inrockuptibles
Le film expose alors, à travers de longues séquences peu chargées narrativement mais qui bouillonnent de l’intérieur, la complexité des rapports humains, la fabrique de ses monstres [...] Fresque éprouvante, radioscopie à vif des écorchures humaines, "Chained" et "Beloved" forment un double film en crise (identitaire, familiale, sociétale).
Positif
Le cinéaste israélien semble en effet particulièrement habité par ce sens aigu du tragique qui se caractérise par une grande clairvoyance à l’endroit de la fatalité, mêlée au plus parfait aveuglement quant au rôle exact que chacun s’apprête à jouer dans la série d’événements funestes que ses pressentiments convertissent en destin.
Première
Avec le diptyque "Chained/ Beloved" autour d’un couple en crise, l’israélien Yaron Shani signe un drame intime passionnant où les points de vue se répondent pour mieux rendre compte de la complexité des sentiments.
Sud Ouest
On a rarement fait plus dense et plus sensible que cette exploration au couteau d’un couple, de ce qui le porte, de ce qui le brise.
Cahiers du Cinéma
Le travail de longue haleine mené avec les actrices non professionnelles donne du relief à des personnages qui tentent de composer avec leurs failles.
L'Obs
Un film lucide et passionnant, même si les quelques errements du scénario rendent ce second volet moins percutant.
La Croix
L’intérêt du projet de Yaron Shani est de faire sauter allègrement les barrières entre fiction et documentaire en partant de situations ou d’émotions, vécues par les acteurs eux-mêmes, nous donnant le sentiment d’entrer dans l’intimité d’un vrai couple avec tout ce que cela peut avoir d’impudique.
Le Journal du Dimanche
Lorsque deux personnages qui paraissaient très secondaires - deux sœurs dont le père est devenu un légume dans un EPHAD - prennent le dessus, le propos du diptyque prend tout son sens, au risque d’en faire un peu trop et de nous déprimer pour de bon.
Paris Match
Il y a du Asghar Farhadi dans ce cinéma exigeant mais profondément tourné vers l’humain. Deux films durs mais d’une infinie tendresse.
Télérama
Moins fort que Chained, le film s’attarde de façon un peu naïve sur la découverte de la sororité et de ses bienfaits. Sa deuxième partie touche davantage : Yaron Shani s’éloigne des clichés sur la douceur et la bienveillance féminines pour creuser des ambiguïtés et des traumatismes restés sous le tapis.
Voici
Une chronique troublante, inconfortable et même parfois éprouvante.
aVoir-aLire.com
Alors que Rashi occupe presque toutes les scènes de Chained, Avigail n’est pas forcément le personnage principal de Beloved, et aurait gagné à s’exprimer encore davantage. En la faisant entrer dans un cercle féminin (...) Yaron Shani signe un film lumineux, là où son premier opus était mortifère.
Le Parisien
Hélas, le réalisateur ne va pas au bout de son idée, et lâche Avigail pour s'intéresser à d'autres personnages féminins, brouillant ainsi les cartes et son message, et perdant le spectateur en route. Dommage…