Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Malgré une intrigue superficielle, cette comédie à rebours de l’époque séduit par son impertinence bienveillante et son originalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
Les Sans-dents parvient à relever le défi d’un film sans dialogue : pour s’exprimer, la bande grogne, glousse, rit, s’agite en tous sens et fait montre d’une créativité sans bornes. Le commentaire politique tient dans cette poésie foutraque qui émane de la peinture de ces parias s’ébattant comme des enfants dans cette sorte de ZAD surréaliste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Camille Brun
Charmant, malgré quelques baisses de rythme.
Voici
par La Rédaction
Qui a vu les précédents films de l'auteur de BD sait que Rabaté aime la radicalité crade et poétique.
Le Parisien
par La Rédaction
On soupire un peu en regardant sa montre, le temps passe lentement quand on reste en plan fixe de longues minutes à observer Yolande Moreau ou Gustave Kervern pouffant ou grognant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
On a beaucoup de mal à comprendre ce que Pascal Rabaté a voulu dire à travers le portrait de cette communauté vivant coupée du monde. Les acteurs, en roue libre, finissent par nous épuiser, et aucun ne réussit à nous intéresser au sort de son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Rabaté se réclame de Scola et de Tati, mais ce qui compte au cinéma, ce sont moins les modèles que le point de vue. Ici, il est effroyablement flou, contre-productif et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Le spectateur, lui, passe tout le film les yeux dans la boue, sans une seule réplique poétique à se mettre sous la dent…
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par La Rédaction
N'est pas Jacques Tati qui veut. Et l'exercice fait pschitt.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
À force d’en rajouter dans l’outré, ces sans-dents mordent la poussière dans ce délire faussement subversif, presque malaisant, si loin du propos qu’il voulait défendre. Pénible.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
Le cinéaste s’ébroue dans son champ d’épandage, le nez sur ses personnages qu’il a plongés dans la fange. Revoyez plutôt "Affreux, sales et méchants" !
Première
par Thierry Chèze
Tout sonnant faux, on reste totalement à la porte de son film dont les 85 minutes paraissent durer des heures, en dépit des efforts de Yolande Moreau, Gustave Kervern, François Morel et consorts.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Réduits à une pantomime grognante, les « sans-dents », référence à l’affreuse expression attribuée à François Hollande, enchaînent des saynètes entre provoc gênante et bons sentiments convenus. Ça grince bien un peu mais, pour l’essentiel, ça coince.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
Malgré une intrigue superficielle, cette comédie à rebours de l’époque séduit par son impertinence bienveillante et son originalité.
Le Monde
Les Sans-dents parvient à relever le défi d’un film sans dialogue : pour s’exprimer, la bande grogne, glousse, rit, s’agite en tous sens et fait montre d’une créativité sans bornes. Le commentaire politique tient dans cette poésie foutraque qui émane de la peinture de ces parias s’ébattant comme des enfants dans cette sorte de ZAD surréaliste.
Télé Loisirs
Charmant, malgré quelques baisses de rythme.
Voici
Qui a vu les précédents films de l'auteur de BD sait que Rabaté aime la radicalité crade et poétique.
Le Parisien
On soupire un peu en regardant sa montre, le temps passe lentement quand on reste en plan fixe de longues minutes à observer Yolande Moreau ou Gustave Kervern pouffant ou grognant.
Les Fiches du Cinéma
On a beaucoup de mal à comprendre ce que Pascal Rabaté a voulu dire à travers le portrait de cette communauté vivant coupée du monde. Les acteurs, en roue libre, finissent par nous épuiser, et aucun ne réussit à nous intéresser au sort de son personnage.
L'Obs
Rabaté se réclame de Scola et de Tati, mais ce qui compte au cinéma, ce sont moins les modèles que le point de vue. Ici, il est effroyablement flou, contre-productif et dérangeant.
Le Figaro
Le spectateur, lui, passe tout le film les yeux dans la boue, sans une seule réplique poétique à se mettre sous la dent…
Ouest France
N'est pas Jacques Tati qui veut. Et l'exercice fait pschitt.
Paris Match
À force d’en rajouter dans l’outré, ces sans-dents mordent la poussière dans ce délire faussement subversif, presque malaisant, si loin du propos qu’il voulait défendre. Pénible.
Positif
Le cinéaste s’ébroue dans son champ d’épandage, le nez sur ses personnages qu’il a plongés dans la fange. Revoyez plutôt "Affreux, sales et méchants" !
Première
Tout sonnant faux, on reste totalement à la porte de son film dont les 85 minutes paraissent durer des heures, en dépit des efforts de Yolande Moreau, Gustave Kervern, François Morel et consorts.
Télérama
Réduits à une pantomime grognante, les « sans-dents », référence à l’affreuse expression attribuée à François Hollande, enchaînent des saynètes entre provoc gênante et bons sentiments convenus. Ça grince bien un peu mais, pour l’essentiel, ça coince.